Oraux de l'agrégation externe de philosophie 2015 - Impressions

À prononcer "baboss", si ne je m'abuse. Entre le babil et le cassos, la langue française a le babos :livre:

Après, rien d'étonnant à ce qu'un étudiant éloquent puisse faire un hors sujet. Beaucoup de candidats peu à l'aise à l'oral le réussisse...l'important est de traiter le sujet.

C'est une sorte de néo-baba (cool), peut-être?

J'aime bien "post-hippie", pour ma part.

Pour revenir au sujet du fil, cette histoire de leçon talentueusement ratée peut, de mon point vue, rappeler utilement que les impressions du public ne servent qu'à une chose : rassurer le candidat lorsqu'elles sont positives. Avec le recul, je crois que le seul indicateur un tant soit peu fiable de la réussite à l'oral, ce sont les réactions du jury, donc ses questions (quand il y en a, les épreuves sans entretien sont à mon avis les pires, de ce point de vue...), et notre capacité à interagir avec elles. Cf. Sur ce sujet les rapports de jury et la description de la bonne attitude à avoir durant l'entretien : ne pas camper sur ses positions, ni tout abandonner... En l'occurrence, "garder le silence" n'est pas nécessairement le bon choix : on n'est ni sur l'Île de Beauté ni en GAV.