Polémique sur un stage syndical non mixte

may68 a écrit:Daniele Obono a pris la défense de Sud Education 93, je vous invite à aller voir les commentaires sous le lien de la page FB "Les patriotes en colère", afin de voir où sont les VRAIS racistes. On la traite de singe bien sûr et je me suis arrêtée là car sinon je pète l'écran ...

Sud Radio @sudradio

#GdMatinSudRadio ➽ Pour @Deputee_Obono, "la non-mixité n'est pas dangereuse et existe dans beaucoup de mouvements, @jmblanquer devrait se renseigner". Retrouvez ici toute son interview ➔ http://bit.ly/2ziucN7
8:54 AM - Nov 24, 2017

La non-mixité existe dans bcp de mvts ????
Il faudrait peut-être se réveiller, là !

PauvreYorick a écrit:

Docteur OX a écrit: « Quand on est fonctionnaire d’Etat, on n’a pas été victime du racisme d’Etat »

C'est vrai que ce n'est pas bien malin, mais à la décharge de Fatiha Boudjahlat, l'expression de « racisme d'État » n'est sûrement pas bien choisie, et prête à ce genre de confusions.

Pas victime soi même ne signifie pas que ça n'existe pas. Et qu'on ne doit pas le dénoncer.

Celadon a écrit:

may68 a écrit:Daniele Obono a pris la défense de Sud Education 93, je vous invite à aller voir les commentaires sous le lien de la page FB "Les patriotes en colère", afin de voir où sont les VRAIS racistes. On la traite de singe bien sûr et je me suis arrêtée là car sinon je pète l'écran ...

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8:54 AM - Nov 24, 2017

La non-mixité existe dans bcp de mvts ????
Il faudrait peut-être se réveiller, là !

Groupes LGBT et groupes féministes pratiquent les réunions en non mixité.

Il se peut que la France actuellement emprunte un chemin qui n'est pas le sien. Je le déplore.

Fenrir a écrit:

Delia a écrit: La liberté de parole est morte. Requiescat in pace.

C'est ce qu'a du se dire le borgne quand il détaillait l'histoire.

Tu connais Yves Leborgne ? Bon exemple, en effet, de victime du colonialisme d'Etat : muté d'office pour délit d'indépendantisme. A peu de choses près dans la même charrette qu'Alain Plenel.
Je m'effare de voir des Universitaires, gens censés être sensés et savoir ce qu'ils disent et ce qu'ils font, renoncer à l'organisation d'un séminaire parce qu'ils craignent de se faire casser la g*****. Je ne trouve pas cela très constructif, pour reprendre un terme à la mode. En même temps, c'est réconfortant généralement parlant : telle est la force des idées puisque il n'y a plus que les poings pour les contrer. Elles sont donc plus fortes que les poings. Réconfortant... et affligeant aussi : vraiment, cette dame a des arguments si imparables que ses adversaires ne trouvent que la force pour lui répondre ?

Celadon a écrit:Il se peut que la France actuellement emprunte un chemin qui n'est pas le sien. Je le déplore.

D'autres pensent le contraire :

http://www.liberation.fr/debats/2017/05/29/la-non-mixite-est-une-necessite-politique_1573085

Zagara a écrit:Du coup j'ai googlé Fatiha Boudjahlat et je tombe sur un article un peu plus caustique que ma pensée, mais que je trouve juste : http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2017/10/27/31003-20171027ARTFIG00359-fatiha-boudjahlat-les-neo-feministes-sont-les-idiotes-utiles-des-indigenistes.php

L'argument de l'« idiot utile » s'est beaucoup répandu ces dernières années, et je dois dire que je l'ai toujours trouvé d'une grande pauvreté. J'ai, en outre, toujours beaucoup de mal à lire cette expression sans me demander qui au juste, si on la prenait réellement au sérieux, il faudrait appeler les « idiots nuisibles ».

Bon, il n'y a pas que ça dans cet article, heureusement.

Mais enfin la guéguerre entre universalisme et différentialisme ressemble aux deux premières partie d'une mauvaise dissertation de philosophie : une opposition qui tourne en rond et ne paraît insurmontable que par refus de quitter le régime de l'abstraction.

@May68 suite à l'article de Libération :

Par contre, la réaction à chaud de la maire de Paris, hier, de demander l’interdiction du festival me paraissait choquante, une décision prise trop rapidement, en cédant à la pression de la doxa dominante, «style Manuel Valls». Elle s’honore en rouvrant le dossier, et en trouvant une solution raisonnable d’ateliers d’échanges et de travail non mixtes dans des locaux privés, et d’une réunion publique dans un local communal ouverte à tous. Raisonnable dans l’immédiat.

Je crois que tout est dit. Il n'est pas question de dénier le droit de se retrouver entre soi pour en parler, mais organiser des ateliers non mixtes dans le cadre d'une "formation" dont les participants sont payés par l'Etat, c'est de mon point de vue inacceptable.

Je suis tombé sur cette vidéo :
"Tous racistes ? Les biais implicites — Crétin de Cerveau #7"

Oui, Will l'a postée dans un topic à part.

Désolé, je ne l'avais pas vu ...

Celadon a écrit:Il se peut que la France actuellement emprunte un chemin qui n'est pas le sien. Je le déplore.

+1. La République doit être universelle, démocratique et sociale. Et combative.

Delia a écrit:Tu connais Yves Leborgne ?

Non, je parlais du borgne. celui qui a engendré une dynastie nauséabonde

may68 a écrit:

Celadon a écrit:

may68 a écrit:Daniele Obono a pris la défense de Sud Education 93, je vous invite à aller voir les commentaires sous le lien de la page FB "Les patriotes en colère", afin de voir où sont les VRAIS racistes. On la traite de singe bien sûr et je me suis arrêtée là car sinon je pète l'écran ...

Sud Radio @sudradio

#GdMatinSudRadio ➽ Pour @Deputee_Obono, "la non-mixité n'est pas dangereuse et existe dans beaucoup de mouvements, @jmblanquer devrait se renseigner". Retrouvez ici toute son interview ➔ http://bit.ly/2ziucN7
8:54 AM - Nov 24, 2017

La non-mixité existe dans bcp de mvts ????
Il faudrait peut-être se réveiller, là !

Groupes LGBT et groupes féministes pratiquent les réunions en non mixité.

Ce n'est pas ce qu'ils font de mieux.

Celadon a écrit:@May68 suite à l'article de Libération :

Par contre, la réaction à chaud de la maire de Paris, hier, de demander l’interdiction du festival me paraissait choquante, une décision prise trop rapidement, en cédant à la pression de la doxa dominante, «style Manuel Valls». Elle s’honore en rouvrant le dossier, et en trouvant une solution raisonnable d’ateliers d’échanges et de travail non mixtes dans des locaux privés, et d’une réunion publique dans un local communal ouverte à tous. Raisonnable dans l’immédiat.

Je crois que tout est dit. Il n'est pas question de dénier le droit de se retrouver entre soi pour en parler, mais organiser des ateliers non mixtes dans le cadre d'une "formation" dont les participants sont payés par l'Etat, c'est de mon point de vue inacceptable.

Il s'agit d'un compromis trouvé dans l'urgence, ça n'a pas valeur de solution.
Soit la non mixité est légale, soit elle ne l'est pas. Pour l'instant elle l'est.En tout cas elle se pratique sans que la justice n'y ait trouvé quelque chose à redire.
Après on peut être d'accord ou pas avec la méthode. Je suis plus dans le questionnement que dans la réponse tranchée n'ayant jamais été victime de racisme ou sexisme.

Fenrir a écrit:

Delia a écrit:Tu connais Yves Leborgne ?

Non, je parlais du borgne. celui qui a engendré une dynastie nauséabonde

Et tu lui fais l'honneur de retenir ses propos et d'y faire référence ?
Surtout que tu me fais prendre conscience que je réagis exactement comme lui quand on lui a gâché ses belles vacances sous les cocotiers, en l'empêchant de débarquer au Raizet, et rebelote quelques heures pus tard à Lamentin. Il s'est retrouvé à Paris sans avoir pu mettre le pied sur le plancher des vaches et il a hautement protesté contre l'impuissance de l'État. A l'époque, j'avais ri du bon tour, comme tout le monde.
Cela pose bel et bien le problème de la démocratie : la loi est égale pour tous. Doit-on mesurer son application selon les idées ?

http://www.liberation.fr/debats/2017/11/24/nous-exigeons-l-abandon-des-poursuites-a-l-egard-de-sud-education-93_1612347

Alors, on peut avoir des réserves sur la pertinence des méthodes employées par SUD Éducation 93 dans ce stage, dont celle qui fait couler beaucoup d’encre, les ateliers en non-mixité. Nous pouvons même, après tout, être en désaccord et en débattre. Mais il y a des impostures agitées par les détracteurs de SUD Éducation 93 que nous ne pouvons accepter.

Les deux ateliers non-mixtes (sur neuf) constituent une partie seulement du programme du stage, dont une grande part se déroule en plénière, mixte. Il ne s’agit donc absolument pas d’un stage «interdit aux blancs» comme plusieurs médias ont cru pouvoir l’affirmer. Ces ateliers restent organisés dans un but : déconstruire des mécanismes d’oppressions avec pour finalité de mieux comprendre le racisme pour mieux le combattre aujourd’hui. Comme l’a expérimenté le mouvement féministe avec intérêt, l’intention de la méthode de non-mixité est bien de chercher à faire avancer l’égalité… celle-là même qui s’inscrit aux frontons de nos mairies sans se traduire dans les faits pour des millions de nos concitoyen·nes. Et c’est cela qui devrait être la préoccupation des pouvoirs publics.

Delia a écrit:

Fenrir a écrit:

Delia a écrit:Tu connais Yves Leborgne ?

Non, je parlais du borgne. celui qui a engendré une dynastie nauséabonde

Et tu lui fais l'honneur de retenir ses propos et d'y faire référence ?
Surtout que tu me fais prendre conscience que je réagis exactement comme lui quand on lui a gâché ses belles vacances sous les cocotiers, en l'empêchant de débarquer au Raizet, et rebelote quelques heures pus tard à Lamentin.  Il s'est retrouvé à Paris sans avoir pu mettre le pied sur le plancher des vaches et il a hautement protesté contre l'impuissance de l'État. A l'époque, j'avais ri du bon tour, comme tout le monde.
Cela pose bel et bien le problème de la démocratie : la loi est égale pour tous. Doit-on mesurer son application selon les idées ?

Justement non. Mais je vais arrêter là sur ce point parce que je sens pointer le dialogue de sourd avec ses grosses bottes. Et que je n'ai pas l'énergie et encore moins l'envie de le nourrir.

may68 a écrit:http://www.liberation.fr/debats/2017/11/24/nous-exigeons-l-abandon-des-poursuites-a-l-egard-de-sud-education-93_1612347

Alors, on peut avoir des réserves sur la pertinence des méthodes employées par SUD Éducation 93 dans ce stage, dont celle qui fait couler beaucoup d’encre, les ateliers en non-mixité. Nous pouvons même, après tout, être en désaccord et en débattre. Mais il y a des impostures agitées par les détracteurs de SUD Éducation 93 que nous ne pouvons accepter.

Les deux ateliers non-mixtes (sur neuf) constituent une partie seulement du programme du stage, dont une grande part se déroule en plénière, mixte. Il ne s’agit donc absolument pas d’un stage «interdit aux blancs» comme plusieurs médias ont cru pouvoir l’affirmer. Ces ateliers restent organisés dans un but : déconstruire des mécanismes d’oppressions avec pour finalité de mieux comprendre le racisme pour mieux le combattre aujourd’hui. Comme l’a expérimenté le mouvement féministe avec intérêt, l’intention de la méthode de non-mixité est bien de chercher à faire avancer l’égalité… celle-là même qui s’inscrit aux frontons de nos mairies sans se traduire dans les faits pour des millions de nos concitoyen·nes. Et c’est cela qui devrait être la préoccupation des pouvoirs publics.

Dans la même tribune, on retrouve toujours cette idée que ceux qui critiquent les réunions non-mixtes sont forcément de la "fachosphère" ou "d'extrême-droite" :

Reprenant les inepties propagées par la fachosphère, c’est un ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, qui a attaqué publiquement et devant la représentation nationale le syndicat SUD Éducation 93 pour son stage de formation syndicale «Au croisement des oppressions : où en est-on de l’antiracisme à l’école ?»

Nous sommes pour tout dire stupéfait·es de cette atteinte grave aux libertés syndicales comme de la tournure que prend le débat public, virant littéralement au lynchage avec beaucoup d’amalgames, d’approximations, voire de mensonges. Cette médiatisation a des conséquences pour les militant·es de ce syndicat qui subissent depuis plusieurs jours menaces, injures, calomnies émanant de l’extrême droite. Et il est inacceptable qu’un ministre légitime cette entreprise.

Ensuite, de façon habile, les signataires inscrivent la critique de ces réunions antiracistes dans le cadre de la répression des mouvements sociaux, pour solliciter une forme de solidarité des collègues en leur faveur.

Nous ne pouvons pas non plus accepter la répression syndicale et sa judiciarisation croissante, impulsée par le sommet de l’État. Au moment où Jean-Michel Blanquer attaque le syndicat SUD Éducation, Muriel Pénicaud met à pied une inspectrice du travail également membre de SUD et sanctionne deux militants de la CGT.

Le cas présent nous amène bien «au croisement des répressions» : surfant sur les paniques identitaires, le ministre de l’Éducation nationale s’aligne sur le calendrier dicté par l’extrême droite pour chercher à disqualifier le mouvement social et faire diversion face aux contestations.

Hydrophile a écrit:Dans la même tribune, on retrouve toujours cette idée que ceux qui critiquent les réunions non-mixtes sont forcément de la "fachosphère" ou "d'extrême-droite"

C'est l'insulte à la mode dans une certaine gauche : si tu critiques quoique ce soit qui vient d'elle, tu es de la fachosphère.

Il n'empêche que là c'est bien Français de souche qui a lancé le truc et se montre des plus virulents. Marine Le Pen a applaudi à tout rompre à l'assemblée quand le ministre a annoncé qu'il portait plainte. Elle a du avoir un orgasme.
Plainte qui n'ira pas loin à mon avis.

Hydrophile a écrit:

may68 a écrit:http://www.liberation.fr/debats/2017/11/24/nous-exigeons-l-abandon-des-poursuites-a-l-egard-de-sud-education-93_1612347

Alors, on peut avoir des réserves sur la pertinence des méthodes employées par SUD Éducation 93 dans ce stage, dont celle qui fait couler beaucoup d’encre, les ateliers en non-mixité. Nous pouvons même, après tout, être en désaccord et en débattre. Mais il y a des impostures agitées par les détracteurs de SUD Éducation 93 que nous ne pouvons accepter.

Les deux ateliers non-mixtes (sur neuf) constituent une partie seulement du programme du stage, dont une grande part se déroule en plénière, mixte. Il ne s’agit donc absolument pas d’un stage «interdit aux blancs» comme plusieurs médias ont cru pouvoir l’affirmer. Ces ateliers restent organisés dans un but : déconstruire des mécanismes d’oppressions avec pour finalité de mieux comprendre le racisme pour mieux le combattre aujourd’hui. Comme l’a expérimenté le mouvement féministe avec intérêt, l’intention de la méthode de non-mixité est bien de chercher à faire avancer l’égalité… celle-là même qui s’inscrit aux frontons de nos mairies sans se traduire dans les faits pour des millions de nos concitoyen·nes. Et c’est cela qui devrait être la préoccupation des pouvoirs publics.

Dans la même tribune, on retrouve toujours cette idée que ceux qui critiquent les réunions non-mixtes sont forcément de la "fachosphère" ou "d'extrême-droite" :

Reprenant les inepties propagées par la fachosphère, c’est un ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, qui a attaqué publiquement et devant la représentation nationale le syndicat SUD Éducation 93 pour son stage de formation syndicale «Au croisement des oppressions : où en est-on de l’antiracisme à l’école ?»

Nous sommes pour tout dire stupéfait·es de cette atteinte grave aux libertés syndicales comme de la tournure que prend le débat public, virant littéralement au lynchage avec beaucoup d’amalgames, d’approximations, voire de mensonges. Cette médiatisation a des conséquences pour les militant·es de ce syndicat qui subissent depuis plusieurs jours menaces, injures, calomnies émanant de l’extrême droite. Et il est inacceptable qu’un ministre légitime cette entreprise.

Ensuite, de façon habile, les signataires inscrivent la critique de ces réunions antiracistes dans le cadre de la répression des mouvements sociaux, pour solliciter une forme de solidarité des collègues en leur faveur.

Nous ne pouvons pas non plus accepter la répression syndicale et sa judiciarisation croissante, impulsée par le sommet de l’État. Au moment où Jean-Michel Blanquer attaque le syndicat SUD Éducation, Muriel Pénicaud met à pied une inspectrice du travail également membre de SUD et sanctionne deux militants de la CGT.

Le cas présent nous amène bien «au croisement des répressions» : surfant sur les paniques identitaires, le ministre de l’Éducation nationale s’aligne sur le calendrier dicté par l’extrême droite pour chercher à disqualifier le mouvement social et faire diversion face aux contestations.

C'est sans doute pour ça qu'ils disent qu'apparemment ils ne sont pas tous d'accord sur le principe de non-mixité et que ça peut être mis en débat ... C'est écrit noir sur blanc. Si j'ose dire !

Celadon a écrit:Il se peut que la France actuellement emprunte un chemin qui n'est pas le sien. Je le déplore.

Ce que veulent ces gens, en fait, c'est le séparatisme,  au moyen de la guerre civile à terme s'il le faut. Et un séparatisme fondé sur  leurs critères, un séparatisme obligatoire : un noir, un bronzé, est obligatoirement un "racisé", sommé de choisir le camp de ceux qui se vengeront (cf. Bouteldja)  sur plusieurs générations, comme dans la Bible. Un "blanc" sera obligatoirement un bourreau, qui devra faire acte de contrition, accepter de "payer" (pour quoi exactement)  ou céder la place. Beeuurk ...
Le philosophe- essayiste qui intervient,  je ne sais pas trop où ces dingues le mettraient, vu sa couleur incertaine, son discours. Racisé ou pénitent ?

Fenrir a écrit:

Justement non. Mais je vais arrêter là sur ce point parce que je sens pointer le dialogue de sourd avec ses grosses bottes. Et que je n'ai pas l'énergie et encore moins l'envie de le nourrir.

Le plus rigolo, c'est que tu ne te rends pas compte que nous sommes d'accord ! Mais tu es dans la persuasion, et moi dans la conviction.

Delia a écrit:
Le plus rigolo, c'est que tu ne te rends pas compte que nous sommes d'accord !

En partie oui, tu en as plus dit que moi sur ce fil.

Un petit dernier pour la route :

http://www.liberation.fr/debats/2017/11/24/la-non-mixite-etape-sur-le-chemin-de-l-egalite_1612401