La pédagogie en CPGE

Exactement RogerMartin, mais d'expérience, on ne nous donne jamais de chiffres précis et vérifiables en réunion... (que cela concerne les CPGE ou autre). Pour répondre à tes deux points, je n'en ai aucune idée, j'avoue que je ne vois pas ce que la réforme du collège (qui a aussi été mentionnée d'ailleurs, en passant) puis du lycée va changer là-dedans. J'avoue que je me suis peu renseigné, étant concentré sur mes débuts en CPGE et l'assimilation du fonctionnement. Peut-être pense-t-il à la pédagogie par projet déjà appliquée dans plusieurs disciplines ? Et je suis bien d'accord pour le point 2. 

Je m'excuse si ce que je rapporte n'est peut-être pas assez précis mais c'est car le propos de base ne l'était pas vraiment non plus (comme je l'ai dit, la réunion ne fut pas sereine, vos remarques furent les mêmes que celles de mes collègues et certains échanges furent vifs). Gauvain31: il ne s'agit pas d'un IG de langue, le discours ne m'aurait pas du tout surpris en langue en effet. Après, il a bien insisté sur le fait qu'il ne parlait pas que pour sa matière. 

Ce document datant de 2011 sur Eduscol s'intitule 'l'approche par compétences en CPGE', et n'est pas inintéressant doc eduscol (ce document contient tout de même des points intéressants). On trouve aussi ce rapport de 2014 de l'inspection générale sur l'approche par compétences en CPGE (rapport 2014). Les termes ne recouvrent peut-être pas nécessairement les mêmes pratiques que dans le secondaire.

klaus: il s'agissait d'une inspection classique dans le cadre du PPCR, rien d'exceptionnel, mais après tu as raison, je n'ai pas toutes les données, seulement les propos du collègue et ceux de l'IG lors de la réunion imposée ensuite.

Je découvre dans ce topic que "pédagogie" et "CPGE" peuvent faire partie de la même phrase. Quand j'étais en khâgne, on considérait qu'un bon professeur de CPGE faisait passer le maximum de contenu dans son cours, donnait la bibliographie la plus pertinente, corrigeait les copies le plus vite et avec le maximum d'annotations et de conseils pour progresser, rendait le plus explicite possible les attendus méthodologiques. Le tout sans trop jargonner et sans mépriser les élèves. Le reste ("actionnel", "situationnel" ou que sais-je) nous serait passé complètement au dessus de la tête. Ce sont les concours (le type d'épreuves et le niveau requis) qui fixent les attendus d'un enseignement en CPGE, il me semble.

Oui, absolument. J’organise tout mon cours autour des connaissances et compétences exigées par les concours.
Certes, j’utilise les moyens audio-vidéo aujourd’hui disponibles et j’essaie de faire participer le plus possible les élèves, d’intégrer même de nouvelles approches pédagogiques (la classe dite « inversée », par exemple, pour l’apport culturel et civilisationnel), mais ce sont bien les contenus et attentes méthodologiques des concours qui orientent l’essentiel de ce qu’on fait en prépa.
En tout état de cause, ce qui marche, c’est d’installer une relation de confiance mutuelle et réciproque et d’obtenir l’adhesion des étudiant.e.s., le tout dans une forme d’exigence bienveillante. Il va de soi que si ce minimum vital est garanti, il y a plein d’approches possibles (on est loin des modes pédago-idéologo-dogmatiques régulièrement préconisées par l’inspection, notamment dans le secondaire). Ce qui m’a beaucoup plu quand je suis arrivé en prépa, c’était cette grande liberté pédagogique qui était donnée aux profs. L’inspection générale, durant ses visites, est généralement beaucoup moins tatillonne sur l’application des dernières modes pédagogiques que les IPR dans le secondaire, voit les choses avec plus de hauteur. C’est l’impression que j’avais eue en tout cas lors de mes deux inspections par des IG en prépa.

JayKew a écrit:Oui, absolument. J’organise tout mon cours autour des connaissances et compétences exigées par les concours.
Certes, j’utilise les moyens audio-vidéo aujourd’hui disponibles et j’essaie de faire participer le plus possible les élèves, d’intégrer même de nouvelles approches pédagogiques (la classe dite « inversée », par exemple, pour l’apport culturel et civilisationnel), mais ce sont bien les contenus et attentes méthodologiques des concours qui orientent l’essentiel de ce qu’on fait en prépa.
En tout état de cause, ce qui marche, c’est d’installer une relation de confiance mutuelle et réciproque et d’obtenir l’adhesion des  étudiant.e.s., le tout dans une forme d’exigence bienveillante. Il va de soi que si ce minimum vital est garanti, il y a plein d’approches possibles (on est loin des modes pédago-idéologo-dogmatiques régulièrement préconisées par l’inspection, notamment dans le secondaire). Ce qui m’a beaucoup plu quand je suis arrivé en prépa, c’était cette grande liberté pédagogique qui était donnée aux profs. L’inspection générale, durant ses visites, est généralement beaucoup moins tatillonne sur l’application des dernières modes pédagogiques que les IPR dans le secondaire, voit les choses avec plus de hauteur. C’est l’impression que j’avais eue en tout cas lors de mes deux inspections par des IG en prépa.

Les IG sont comme les IPR, certains prennent de la hauteur, d'autres non. D'ailleurs, certains IG sont d'anciens IPR.
Il y a des caractériels et d'autres qui veulent juste voir si tout se passe bien.

C'est possible. Moi, j'avais constaté une nette différence entre mes 2 inspections par des IGEN et mes 3 inspections par des IPR, mais il est fort possible qu'on rencontre des illuminés partout...

Tous les IG ne passent pas par la fonction d'IPR d'abord?

Forster a écrit:Tous les IG ne passent pas par la fonction d'IPR d'abord?

Hormis S. Ayada qui est passée par la case IPR, en philo, ils étaient enseignants en prépa, PRAG ou MCF/directeur d'IUFM.

Forster a écrit:Tous les IG ne passent pas par la fonction d'IPR d'abord?

Toi, tu es jeune et un brin naïf ;-)
Il y a beaucoup d'ex-IPR parmi les IG mais pas que, loin de là. J'imagine que ça dépend peut-être aussi des groupes.
Tu peux passer directement d'enseignant à IG par exemple, ou si tu as des amitiés politiques solides et qu'il faut te filer 5 000 € par mois avec un "presqu'emploi fictif", ou... bref...

Forster a écrit:Tous les IG ne passent pas par la fonction d'IPR d'abord?

Ah Ah Relis le livre de Sophie Coignard sur l'école. Elle y explique bien que certains IG (à Paris notamment) sont d'anciens élus qui n'ont pas trouvé de mandat électif. Et ils faut bien manger. C'est là que les copains élus recasent leur compagnons d'infortune aux fonction d'IG. C'est de l'humanitaire.

J'avoue que je ne me suis jamais renseigné, les seuls IG que j'ai vu dans ma matière étaient IPR avant (edit: à ma connaissance!). Ca me semblait logique que ce soit une promotion. On en apprend tous les jours .

Gauvain: pour le relire, il faudrait que je le lise une fois déjà, quel est le titre?

"Le pacte immoral"

Bouboule a écrit:

Forster a écrit:Tous les IG ne passent pas par la fonction d'IPR d'abord?

Toi, tu es jeune et un brin naïf ;-)
Il y a beaucoup d'ex-IPR parmi les IG mais pas que, loin de là. J'imagine que ça dépend peut-être aussi des groupes.
Tu peux passer directement d'enseignant à IG par exemple, ou si tu as des amitiés politiques solides et qu'il faut te filer 5 000 € par mois avec un "presqu'emploi fictif", ou... bref...

gauvain31 a écrit:

Forster a écrit:Tous les IG ne passent pas par la fonction d'IPR d'abord?

Ah Ah    Relis le livre de Sophie Coignard sur l'école. Elle y explique bien que certains IG (à Paris notamment) sont d'anciens élus qui n'ont pas trouvé de mandat électif. Et ils faut bien manger. C'est là que les copains élus recasent leur compagnons d'infortune aux fonction d'IG. C'est de l'humanitaire.

Ceux-là sont, je crois, nommés au "tour extérieur" et le plus souvent dans l'IGAENR (IG de l'administration de l'ENR) et pas dans une IG disciplinaire. En SES, je crois que c'est assez équilibré : 2 universitaires (un MCF, un PU) et 2 anciens prof de prépa passés aussi (pour au moins un d'entre eux) par la case IPR.

Laverdure a écrit:

Bouboule a écrit:

Forster a écrit:Tous les IG ne passent pas par la fonction d'IPR d'abord?

Toi, tu es jeune et un brin naïf ;-)
Il y a beaucoup d'ex-IPR parmi les IG mais pas que, loin de là. J'imagine que ça dépend peut-être aussi des groupes.
Tu peux passer directement d'enseignant à IG par exemple, ou si tu as des amitiés politiques solides et qu'il faut te filer 5 000 € par mois avec un "presqu'emploi fictif", ou... bref...

gauvain31 a écrit:

Forster a écrit:Tous les IG ne passent pas par la fonction d'IPR d'abord?

Ah Ah    Relis le livre de Sophie Coignard sur l'école. Elle y explique bien que certains IG (à Paris notamment) sont d'anciens élus qui n'ont pas trouvé de mandat électif. Et ils faut bien manger. C'est là que les copains élus recasent leur compagnons d'infortune aux fonction d'IG. C'est de l'humanitaire.

Ceux-là sont, je crois, nommés au "tour extérieur" et le plus souvent dans l'IGAENR (IG de l'administration de l'ENR) et pas dans une IG disciplinaire. En SES, je crois que c'est assez équilibré : 2 universitaire (un MCF, un PU) et 2 anciens prof de prépa passés aussi (pour au moins un d'entre eux) par la case IPR.

Certains sont aussi nommés lors des tours normaux car parmi les hommes politiques, il y a des (ex)-enseignants et ils vont direct dans un groupe disciplinaire (les notices succinctes publiées dans la presse lors des nominations ou des potentielles nominations sont instructives).

Bonjour,
Je déterre un peu ce fil car je me pose de nombreuses questions concernant l'organisation des cours en CPGE.

Je débute en septembre en LV B/L.
Comment débuter l''année en hipokhâgne et en Khâgne?
J'ai cru comprendre que pour les HK il fallait prendre le temps de revoir les bases.
Je pense commencer avec des cours ciblés principalement sur la grammaire et la conjugaison. Un peu de traduction. Et introduire la civi.
Et vous qui avez un peu de bouteille, comment faites-vous?

Pour les Khâgnes j'ai plus de mal à me projeter....
Comment organiser la reprise/la rentrée?

Plusieurs questions commencent à perturber ma tranquillité intérieure...
Comment élaborez-vous vos progressions?
Faites vous essentiellement des cours magistraux ou alternez-vous avec d'autres types d'enseignement?

Merci par avance à celles et ceux qui voudront bien m'orienter par leurs réponses, par le partage de vos expériences.
🧗

Répondre à toutes tes questions produirait un texte trop long donc juste quelques pistes:

Pars des contenus des concours auxquels tu dois les préparer des l' hypokhâgne .
Tu as de la version, du thème , des commentaires de texte écrits et oraux, de la compréhension audio.
Tu auras des LVA ou des Lvb ou les 2?

Merci Maroussia, c'est ce que j'imagine faire oui, m'adapter aux épreuves des concours même s'il y en a beaucoup et que je commence à peine à m'y retrouver (BCE, Ens, Ecricome,IEP, ...).

J'aurai des LVA et LVB, oui

Pardon pour la quantité de questions 🥴  
Je les ai (presque) toutes posées d'un coup... pensant que, peut-être, différents neoprofs pourront apporter leurs expériences sur quelques-unes d'entre elles.
J'aimerais en savoir plus sur vos pratiques pédagogiques, dans la continuité des échanges commencés sur ce fil.

tu as raison, et c'est ce que je t'ai conseillé de faire en réponse à ton MP.

Il n'y a pas de "bonne" façon de commencer, personne ne pourra t'indiquer la "bonne" méthode, chacun développe ses propres pratiques pédagogiques.

En LVA et LVB, tu peux commencer par de la civi avec de la grammaire en application. Un cours de grammaire "sec" me semble plus difficile à mettre en oeuvre, en tout cas en début d'année.
Par exemple, tu choisis un document audio ou video avec script, ou un article de presse, tu fais la partie compréhension / expression et tu conçois un ou des exercices de grammaire à partir du support écrit en fonction du point de grammaire que tu souhaites revoir.
Dans les sujets de BL il y a aussi des documents iconographiques (dans les documents à mettre en synthèse), cela peut donc aussi être un support intéressant.

J'enseigne en A/L et j'ai surtout de la littérature, qui n'est pas au programme de la B/L, donc j'espère que des collègues enseignant en B/L pourront intervenir aussi.

Merci beaucoup Maroussia.

En effet, je pense aussi que la bonne méthode n'existe pas mais en partageant nos questionnements et expériences on peut trouver des chemins et des manières d'aborder les choses qui nous conviennent, ou pas, et cela évolue aussi. Pour ma part, j'aime bien ce côté tâtonnant
Merci donc pour tes réponses qui me permettent déjà de m'orienter.

Je m'interroge aussi sur le côté cours magistral (question abordée il y a quelques années sur ce fil). En civi notamment.
Travaillez-vous à partir de documents ou d'une problématique/thématique? Ou chronologiquement?
Ou une alternance de tout ça?
Rédigez-vous vos propres cours ?

Pratiquez-vous /avez-vous pratiqué la classe inversée ?  Qu'en pensez-vous ?
Dans ce cadre, utilisez-vous vos propres supports ou renvoyez-vous les étudiants vers des supports existants (manuels, sites, vidéos...)?

Enfin, j'ai bcp de questions et les réponses m'envoient vers d'autres questions 🥴🫣🤭...
J'espère ne pas noyer ceux qui liront ce message et que ces questions inciteront plutôt à partager nos pratiques  
Pour ma part, n'ayant pas commencer je ne peux partager que mes questionnements 🥴


.

Encore moi..
En LV je ne vois pas comment faire un cours magistral.
C'est forcément interactif.

Je travaille en civi uniquement sur les sujets d'actualité sans manuel.
Je choisis dans la presse écrite ou audio les sujets qui me semblent devoir être vus.
Je les propose ensuite en cours.
Pas d'approche chronologique mais évidemment des rappels historiques s'il faut.
Je ne pratique pas la pédagogie inversée et tous les documents viennent de moi.

pour reprendre ta question " rédigez-vous vos propres cours?": pour ma part je ne rédige rien, je propose le document, de toute nature, je construis la restitution avec les élèves en interactif, je note la progression et le lexique au tableau, ils prennent en note, mais je ne rédige rien, ni en amont ni après , sauf ces notes pendant le cours. Et si j'ai besoin d'une explication plus approfondie sur un point historique notamment, je l'ai effectivement préparé en amont pour le distribuer en photocopie.
Je prends un exemple: si tu proposes texte ou audio ou vidéo sur un fait d'actualité sur un pays hispanophone (par ex. l'assassinat de Fernando Villavicencio), tu peux en amont préparer un document synthétisant les connaissances à avoir sur ce pays (histoire, politique) .


Je reviens sur un point: quand je propose un document, une fois que les élèves lont découvert (= lu/entendu/vu), je les fais parler dessus et je note au tableau au fur et à mesure leurs réponses en leur montrant comment on peut 1. reformuler pour parvenir à une formulation plus riche (apport d'un lexique nouveau) 2. organiser les réponses pour arriver à un résumé/commentaire structuré. A la fin du cours, j'ai au tableau un résumé ordonné avec des idées et du lexique nouveau.
Le travail de préparation consiste donc, pour moi, à avoir lu/entendu plusieurs fois mon document pour voir quel plan de restitution me semble pertinent et quel lexique nouveau pourrait être apporté. Avec l'expérience, en réalité maintenant, je ne fais plus que du surlignage sur le document et je sais vite où je veux les emmener.

Merci beaucoup Maroussia pour tes réponses détaillées.
Ta pratique s'approche beaucoup de ma façon de faire en lycée, en plus approfondie, et cela me rassure.

Je pensais qu'en B/L il fallait des cours plus lourds en civi et passer par le cours magistral pour transmettre beaucoup de connaissances (mais c'est peut être surtout pour les concours EnS).
Je suis sans doute encore trop marquée par mes souvenirs de cours de civi àla fac (LLCE) mais, ici, il ne s'agit pas de former des spécialistes...

La rentrée approche, je fonctionne depuis longtemps de façon assez spontanée mais avec ce nouveau poste je crains de crouler sous les préparations/corrections en n'anticipant pas pdt ces grandes vacances. En même temps, ne connaissant pas encore très bien ces niveaux je ne sais pas par où commencer... Et c'est là que l'inquiétude arrive...🥴 D'où mes nombreuses questions...
Merci encore pour tes messages.

Peut être ma méthode n'est-elle pas la bonne et il serait bon que d'autres collègues interviennent mais je fais intégrer tous les ans quelques-uns de mes élèves aux ENS , IEP et Écoles de Management donc je ne dois pas leur nuire.

Je pense aussi que tu ne dois pas présumer que des HK ont un niveau de langue très élevé. Ils sortent juste du bac avec 1h30 de LV donc très peu.
Pars justement de ce que tu faisais en lycée en proposant des documents progressivement plus soutenus et complexes, en apportant un lexique de plus en plus riche.
Pour les concours la méthode est un des points clé.
Les attendus en terme de rédaction de la synthèse ( ENS) sont très précis et tu dois leur permettre de maîtriser cela en khâgne .

Nos échanges me permettent de ne pas voir trop haut, oui, merci encore Maroussia. J'essaierai d'y aller progressivement.

Pour les concours des IEP et écoles de management, ce sont les épreuves communes de la BCE? Les épreuves ont été modifiées il y a peu c'est ça?
Pour ce qui est de maîtriser la méthode, il y a autre chose a consulter/connaître que les rapports de la BCE et ceux des ENs?

J'espère aussi que d'autres collègues pourront intervenir sur ce fil , cela serait enrichissant.

Pour l'instant ce sera encore moi.
Le concours des IEP se passe en fin de 1e année (HK donc) et ne concerne que les LVA ( mais la LVB est obligatoire en IEP même si elle n'est pas au concours ).
Il faut que tu regardes les annales du concours commun et des concours isolés comme celui de Bordeaux
https://www.reseau-scpo.fr/annales-2022.

Les concours de la BCE,c'est à dire des écoles de management, ce sont des épreuves très différentes qui se passent en 2 année (K Donc)
Elles différent selon la banque d'épreuves.

https://www.concours-bce.com/annales


En LVB tu n'as pas d'épreuves aux concours donc, ni à l'ENS ni aux IEP mais aux concours de la BCE oui.


En B\L, la LVA fait partie des options pour la 5e épreuve, donc tu peux avoir des élèves qui suivent le cours sans présenter leur LVA sur aucune épreuve.

Le ou la collègue dont tu prends le poste ne peut pas t'aider en te donnant quelques tuyaux et cours?

Merci Marcoussia pour cette synthèse. J'ai consulté les différents sites' notamment celui de la BCe, assez bien fait, mais il est difficile d'avoir une vue d'ensemble et je m'y perds parfois (entre les différents IEP et les différentes ens, les différents concours, les différences LVA/LVB...). Je suis en train de me préparer une fiche récapitulative.

(En revanche le premier lien ne me renvoie sur rien -erreur 404).