Blanquer annonce aux stylos rouges une augmentation du salaire des profs

Rendre visible le travail invisible ... et hop! tout le monde sait lire, tout le monde a le bac, tout le monde réussit ...



Sinon, plus sérieusement, je rejoins Poupoutch à 1000%.

Avec touts ces conneries qui puent le management clinquant sans le sou (parce qu'on ne fait pas ce métier pour l'argent hi, hi....), c'est moi qui vais me faire invisible....

Ici: 28 places en SDP en comptant les 8 chaises devant les 4 ordis. Mais avec toutes mes heures de présence en SDP, j'ai l'impression d'y avoir mon bureau.
Je suis d'accord avec Poupoutch. Vivement les 35 h!

Part on vraiment sur 35h ou sur 42 comme les administratifs?

Exact. Aux adeptes du 35h de présence et basta, rappelez-vous que tant qu'il y aura des vacances, on nous fera faire une "moyenne".

Pour ma part, comme une heure de cours, c'est plus fatiguant qu'une heure de bureau, je préfère, en compensation, pouvoir organiser mon temps de "reste du travail" comme je le souhaite, dans le lieu que je souhaite et aux heures que je souhaite.

pseudo-intello a écrit:Exact. Aux adeptes du 35h de présence et basta, rappelez-vous que tant qu'il y aura des vacance,s on nous fera faire une "moyenne".

Pour ma part, comme une heure de cours, c'est plus fatiguant qu'une heure de bureau, je préfère, en compensaiton, pouroiv organiser mon temps de "reste du travail" comme je le souhaite, dans le lieu que je souhaite et aux heures que je souhaite.

Ce à quoi il faut répondre que les salaires le prennent déjà en compte. On va pas le payer 2 fois ce "oh, mais y'a les vacances". Donc si c'est le cas :

• un bureau par prof, avec un matériel info qui ne relève pas de la dernière génération...avec 10 ans de retard
  possibilité de disposer des droits sur lesdits postes info (bin oui, quand je travaille chez moi, je n'attends pas 15 jours pour avoir un logiciel dont j'ai besoin
  le salaire qui va avec : je suis docteur-ingénieur, le salaire ne doit donc que suivre

PS : je suis sur trois établissements, cela fera donc 3 bureaux !

Si on veut jouer le "privé" à fond, autant vraiement le faire à fond, et pas des demi mesures !

Évidemment je suis d'accord avec ce que vous dites. Mais je vous parie mon salaire annuel que nombre de collègues continueront à faire comme avant et subiront les heures de présence + le boulot à la maison. L'échantillon de professeurs que l'on trouve sur néo ne correspond pas à la réalité d'une profession devenue, pardon de le dire, servile et focalisée sur le petit quotidien (ah mais mon projet gnagna je ne peux pas faire les préparations au collège mais quand même je ne veux pas laisser tomber mais tu as raison nous sommes mal payés mais blablabla), dépolitisée et complètement piégée par l'idée de la vocation.

Mon nouveau collègue vient de se rendre compte que nos élèves, fraîchement sortis du lycée, pouvaient prétendre à un CDI avec un salaire supérieur au sien. Bienvenue dans l'EN !

Pourquoi 3,14159 a écrit:Mon nouveau collègue vient de se rendre compte que nos élèves, fraîchement sortis du lycée, pouvaient prétendre à un CDI avec un salaire supérieur au sien. Bienvenue dans l'EN !

Et ton collègue n'a pas postulé pour ce poste ?????

Pourquoi 3,14159 a écrit:Mon nouveau collègue vient de se rendre compte que nos élèves, fraîchement sortis du lycée, pouvaient prétendre à un CDI avec un salaire supérieur au sien. Bienvenue dans l'EN !

Le boulot que j'avais avant d'entrer dans l'EN (dans une PME) était en soi mieux payé. J'étais certes à temps partiel, donc mon salaire net était moindre, mais si j'avais été à temps plein, en salaire annuel, je gagnais mieux qu'à l'échelon 1 des certifiés dans l'EN. J'avais un 13ème mois, des primes, des tickets restaurant, et quand je sortais du boulot, je n'avais plus à y penser jusqu'à mon retour au bureau. C'était un poste niveau Bac+2.
Les cadres de l'entreprise, recrutés au niveau bac pro ou BTS, touchaient entre 2500 et 3300 euros par mois. Ils étaient également actionnaires de l'entreprise et donc pouvaient toucher des dividendes...
Les non-cadres touchaient entre 1800 et 2300 euros par mois... Ils n'étaient pas actionnaires.
Le gérant touchait 4500 euros par mois (+ des dividendes quand on en reversait)

Pourquoi suis-je partie?:

Poupoutch a écrit:

Pourquoi 3,14159 a écrit:Mon nouveau collègue vient de se rendre compte que nos élèves, fraîchement sortis du lycée, pouvaient prétendre à un CDI avec un salaire supérieur au sien. Bienvenue dans l'EN !

Le boulot que j'avais avant d'entrer dans l'EN (dans une PME) était en soi mieux payé. J'étais certes à temps partiel, donc mon salaire net était moindre, mais si j'avais été à temps plein, en salaire annuel, je gagnais mieux qu'à l'échelon 1 des certifiés dans l'EN. J'avais un 13ème mois, des primes, des tickets restaurant, et quand je sortais du boulot, je n'avais plus à y penser jusqu'à mon retour au bureau. C'était un poste niveau Bac+2.
Les cadres de l'entreprise, recrutés au niveau bac pro ou BTS, touchaient entre 2500 et 3300 euros par mois. Avec de heures sup, certes.

Pourquoi suis-je partie?:

Qu'y faisais-tu ?

Kilmeny a écrit:

Poupoutch a écrit:

Pourquoi 3,14159 a écrit:Mon nouveau collègue vient de se rendre compte que nos élèves, fraîchement sortis du lycée, pouvaient prétendre à un CDI avec un salaire supérieur au sien. Bienvenue dans l'EN !

Le boulot que j'avais avant d'entrer dans l'EN (dans une PME) était en soi mieux payé. J'étais certes à temps partiel, donc mon salaire net était moindre, mais si j'avais été à temps plein, en salaire annuel, je gagnais mieux qu'à l'échelon 1 des certifiés dans l'EN. J'avais un 13ème mois, des primes, des tickets restaurant, et quand je sortais du boulot, je n'avais plus à y penser jusqu'à mon retour au bureau. C'était un poste niveau Bac+2.
Les cadres de l'entreprise, recrutés au niveau bac pro ou BTS, touchaient entre 2500 et 3300 euros par mois. Avec de heures sup, certes.

Pourquoi suis-je partie?:

Qu'y faisais-tu ?

L'administration. J'étais l'assistante de direction. Donc compta, factures, devis, relations clients et gestion sociale (paies, arrêts maladie, contrats de travail, ruptures conventionnelles, licenciement, déclarations URSSAFF et autres joyeusetés).

Il faut préciser que le patron était une personne avec une grande conscience sociale. Il faisait donc le maximum pour que ses employés soient bien payés et bien traités. Dès que les finances permettaient des augmentations, des embauches en CDI de personnes en CDD, etc., il le faisait. Le cadre humain était chouette. (les clients étaient des c****, ceci dit).

Être présent 35 ou 42h et obligés de bosser sur l'établissement ? Ce serait une catastrophe. Ils négligent complètement l'épuisement inhérent au fait d'assurer un cours face à 35 ados récalcitrants. Je suis incapable de bosser efficacement après avoir enchaîné 3-4h de cours... Ou alors faut un système qui nous compte, pour chaque heure de cours, 20-30 min de récupération (temps de repos compté dans ces heures de présence). Et puis, de toute façon, ils n'ont pas les moyens de nous procurer à chacun un bureau au calme et un ordinateur, ça coûterait bien trop cher. Donc je ne m'inquiète pas tant que ça. Mais la peur pourrait amener, par contraste, certains à être soulagés d'accepter autre chose de moins pire...

Poupoutch a écrit:
L'administration. J'étais l'assistante de direction. Donc compta, factures, devis, relations clients et gestion sociale (paies, arrêts maladie, contrats de travail, ruptures conventionnelles, licenciement, déclarations URSSAFF et autres joyeusetés).

Il faut préciser que le patron était une personne avec une grande conscience sociale. Il faisait donc le maximum pour que ses employés soient bien payés et bien traités. Dès que les finances permettaient des augmentations, des embauches en CDI de personnes en CDD, etc., il le faisait. Le cadre humain était chouette. (les clients étaient des c****, ceci dit).

Je fais actuellement un boulot proche de ce que tu faisais Poupoutch, et dans un cadre semblable. Le bac est mon plus haut diplôme, et à ancienneté égale, je gagne bien plus qu'un(e) certifié(e), avec les avantages qui vont avec comme l'a cité Poupoutch. Même si le boulot ne me plait pas (plus) vraiment, c'est en partie ce qui me fait hésiter à rejoindre l'EN, d'autant plus quand je vois la dégradation des conditions de travail.

Pat B a écrit:Être présent 35 ou 42h et obligés de bosser sur l'établissement ? Ce serait une catastrophe. Ils négligent complètement l'épuisement inhérent au fait d'assurer un cours face à 35 ados récalcitrants. Je suis incapable de bosser efficacement après avoir enchaîné 3-4h de cours... Ou alors faut un système qui nous compte, pour chaque heure de cours, 20-30 min de récupération (temps de repos compté dans ces heures de présence). Et puis, de toute façon, ils n'ont pas les moyens de nous procurer à chacun un bureau au calme et un ordinateur, ça coûterait bien trop cher. Donc je ne m'inquiète pas tant que ça. Mais la peur pourrait amener, par contraste, certains à être soulagés d'accepter autre chose de moins pire...

Je pense que là, avec ces forcenés aux manettes, il faut s'inquiéter. L'annualisation et l'alourdissement des ORS, faites de cours ou non, nous pendent au nez. Que l'agent soit lessivé ou pas par la fatigue inhérente au travail, qu'il soit dans des conditions matérielles élémentaires pour l'exercer, ça n'a aucune importance. Un agent = une unité qui doit cracher de la productivité, à coût constant dans le meilleur des cas, donc qui doit assurer un maximum de tâches. D'ailleurs, que ces tâches soient utiles ou non en termes de service rendu au public, ça n'a non plus aucune espèce d'importance. Cf la logique comptable qui a détruit l'hôpital. Cf l'inclusion dans l'éducation nationale, qui relève plus de la maltraitance institutionnelle que d'une vraie réflexion profondément humaine, sincère, complexe sur le regard social porté sur le handicap et ceux qui le vivent.

HORA a écrit:

Pat B a écrit:Être présent 35 ou 42h et obligés de bosser sur l'établissement ? Ce serait une catastrophe. Ils négligent complètement l'épuisement inhérent au fait d'assurer un cours face à 35 ados récalcitrants. Je suis incapable de bosser efficacement après avoir enchaîné 3-4h de cours... Ou alors faut un système qui nous compte, pour chaque heure de cours, 20-30 min de récupération (temps de repos compté dans ces heures de présence). Et puis, de toute façon, ils n'ont pas les moyens de nous procurer à chacun un bureau au calme et un ordinateur, ça coûterait bien trop cher. Donc je ne m'inquiète pas tant que ça. Mais la peur pourrait amener, par contraste, certains à être soulagés d'accepter autre chose de moins pire...

Je pense que là, avec ces forcenés aux manettes, il faut s'inquiéter. L'annualisation et l'alourdissement des ORS, faites de cours ou non, nous pendent au nez. Que l'agent soit lessivé ou pas par la fatigue inhérente du travail, qu'il soit dans des conditions matérielles élémentaires pour l'exercer, ça n'a aucune importance. Un agent = une unité qui doit être cracher de la productivité, à coût constant dans le meilleur des cas, donc qui doit assurer un maximum de tâches. D'ailleurs, que ces tâches soient utiles ou non en termes de service rendu au public, ça n'a non plus aucune espèce d'importance. Cf la logique comptable qui a détruit l'hôpital. Cf l'inclusion dans l'éducation nationale, qui relève plus de la maltraitance institutionnelle que d'une vraie réflexion profondément humaine, sincère, complexe sur le regard social porté sur le handicap et ceux qui le vivent.

+1000 Voilà l'humain comme moyen;  c'est l'ADN du macronisme. Avec un autre gouvernement, je serais moins inquiet, mais celui-ci a la particularité d'être à l'image de son maître à savoir subversif, provocant et prêt à tout pour casser toutes les protections des salariés (La loi El-khomery, c'est SA loi) . Vraiment prêt à tout.  Ils feront tout pour presser le citron

Truc inquiétant depuis peu: chaque année, nos chefs d'établissement remettent l'idée de la semestrialisation sur le tapis. Il doit y avoir des pression venues d'en haut...

Les dernières nouvelles que j'ai eu des discussions à propos de la DGH sont aussi inquiétantes (chantage à la charge de pp pour avoir les heures, chantage à l'EIST, essai d'imposer des décisions...). On sent qu'il y a des choses dans l'air (et que ça vient en bonne part de plus haut).

Kimberlite a écrit:Truc inquiétant depuis peu: chaque année, nos chefs d'établissement remettent l'idée de la semestrialisation sur le tapis. Il doit y avoir des pression venues d'en haut...

Les dernières nouvelles que j'ai eu des discussions à propos de la DGH sont aussi inquiétantes (chantage à la charge de pp pour avoir les heures, chantage à l'EIST, essai d'imposer des décisions...). On sent qu'il y a des choses dans l'air (et que ça vient en bonne part de plus haut).

Pareil chez moi ...

Cube² a écrit:

Poupoutch a écrit:
L'administration. J'étais l'assistante de direction. Donc compta, factures, devis, relations clients et gestion sociale (paies, arrêts maladie, contrats de travail, ruptures conventionnelles, licenciement, déclarations URSSAFF et autres joyeusetés).

Il faut préciser que le patron était une personne avec une grande conscience sociale. Il faisait donc le maximum pour que ses employés soient bien payés et bien traités. Dès que les finances permettaient des augmentations, des embauches en CDI de personnes en CDD, etc., il le faisait. Le cadre humain était chouette. (les clients étaient des c****, ceci dit).

Je fais actuellement un boulot proche de ce que tu faisais Poupoutch, et dans un cadre semblable. Le bac est mon plus haut diplôme, et à ancienneté égale, je gagne bien plus qu'un(e) certifié(e), avec les avantages qui vont avec comme l'a cité Poupoutch. Même si le boulot ne me plait pas (plus) vraiment, c'est en partie ce qui me fait hésiter à rejoindre l'EN, d'autant plus quand je vois la dégradation des conditions de travail.

Je ne regrette pas une seconde mon choix, mais c'est en partie parce que j'ai fait un burn out lorsque j'occupais ce poste (je l'occupais pour pouvoir continuer de travailler à l'université, ce pourquoi j'avais besoin d'un employeur principal qui cotise pour mon chômage et ma retraite...). J'ai appris à limiter mon implication personnelle dans mon travail et à économiser mes forces, et j'assume parfaitement de ne pas être à jour dans mes préparations, mes corrections, etc. Je pense que, si j'avais commencé ce métier sans d'abord travailler sur cela, je me serais déjà épuisée et, même comme cela, j'ai frisé une grave rechute l'an dernier. Il faut avoir conscience de ce dans quoi on s'engage : le temps de travail peut, potentiellement, être infini, et le boulot sort rarement de notre esprit, on peut très vite être débordé.
Fin du HS.

Ce que je vois bien venir aussi, c'est de la paperasse inutile, des comptes-rendus à faire sur notre travail "invisible".
Notre CDE nous a demandé de justifier les heures d'orientation en rédigeant un document pour dire ce que nous faisions... Certains ont refusé mais d'autres l'ont fait... Auront-ils droit à une prime lorsque la "revalorisation" sera actée ?

C'est une évolution qu'on voit dans d'autres métiers (recherche, police, ...), perdre du temps à justifier qu'on ne perd pas son temps

Kimberlite a écrit:Truc inquiétant depuis peu: chaque année, nos chefs d'établissement remettent l'idée de la semestrialisation sur le tapis. Il doit y avoir des pression venues d'en haut...

C'était déjà le cas dans mon ancien établissement il y a deux ans. Dans celui où je travaille depuis le mois de septembre aussi : découpage de l'année scolaire en deux semestres. J'ai du mal à voir les implications de ce changement d'organisation.

Dans mon collège, on était passé aux semestres il y a deux ans : on reviendra aux trimestres l'année prochaine !
Au lycée, par contre, ils sont passés aux semestres cette année ...

Petit pois a écrit:Dans mon collège, on était passé aux semestres il y a deux ans : on reviendra aux trimestres l'année prochaine !
Au lycée, par contre, ils sont passés aux semestres cette année ...

Je confirme ici (mais pas tous les lycées de Toulouse) et pour être franc , c'est une respiration. Surtout pour nous en SVT et dans ce contexte de préparation de cours/tp . Pour la première fois depuis la réforme Châtel , je prends du temps avec les élèves de Seconde, car nous n'avons plus que 1h30.

Cela convient pour le type de lycée favorisé ou je suis. Mais, Rendah et Kimberlite , si vous êtes dans un collège défavorisé style REP, alors cela ne convient pas du tout pour ce type de population qui a besoin d'êrte suivi très régulièrement .

slylan a écrit:

Kimberlite a écrit:Truc inquiétant depuis peu: chaque année, nos chefs d'établissement remettent l'idée de la semestrialisation sur le tapis. Il doit y avoir des pression venues d'en haut...

C'était déjà le cas dans mon ancien établissement il y a deux ans. Dans celui où je travaille depuis le mois de septembre aussi : découpage de l'année scolaire en deux semestres. J'ai du mal à voir les implications de ce changement d'organisation.

Moins de bulletins et de soirées consacrées aux conseils de classe déjà...
Deux trois ans que nous y sommes passés ici... (collège). Ca fait clairement moins de soirées passées au collège. Pour le reste, je n'y ai vu aucun souci sur l'organisation des EDT ou autres.

gp20 a écrit:

slylan a écrit:

Kimberlite a écrit:Truc inquiétant depuis peu: chaque année, nos chefs d'établissement remettent l'idée de la semestrialisation sur le tapis. Il doit y avoir des pression venues d'en haut...

C'était déjà le cas dans mon ancien établissement il y a deux ans. Dans celui où je travaille depuis le mois de septembre aussi : découpage de l'année scolaire en deux semestres. J'ai du mal à voir les implications de ce changement d'organisation.

Moins de bulletins et de soirées consacrées aux conseils de classe déjà...
Deux trois ans que nous y sommes passés ici... (collège). Ca fait clairement moins de soirées passées au collège. Pour le reste, je n'y ai vu aucun souci sur l'organisation des EDT ou autres.

Alors ça doit dépendre des établissements. Ce que j'ai connu, moi, c'était plus de bulletins car des "relevés de mi-semestre" avec appréciation sur le travail s'étaient ajoutés.

Au lycée cela ne colle pas car comme l'année se finit en mai et non fin juin, le 2e semestre fait perdre beaucoup d'heures pour les matières semestrialisées. J'en ai fait les frais des années avec la semestrialisation des TPE, puisqu'on alignait une heure de cours dessus.