[Lettres collège] 6e Progression littérature 2023-2024

Et puis il serait bon de consacrer un chapitre, même court, à la poésie. Certes, les Fables relèvent du genre poétique, mais elles sont d'une complexité qui me paraît peu propice à poser les bases de ce genre au collège.

C'est impossible à caser...

Je peux envisager un poème en ouverture de Kipling (tu seras un homme, même si c'est traduit) et de l'Odyssée (heureux qui comme Ulysse).

Impossible de faire mieux franchement.

Le jeu au service de la lecture/compréhension (donc avant/pendant), et non forcément après, ça peut te faire gagner du temps (et personnellement je trouve ça plus intéressant).
Je rappelle l'excellente référence en la matière : Coups de théâtre en classe entière, Dulibine-Grosjean.
Quelques trucs que j'aime faire en théâtre et qui ne prennent pas trop de temps (je prends mes exemples sur Scapin) :
- des images fixes (pour l'évolution d'une scène, les relations entre les personnages, leurs rapports) ; relations parent/enfant ; maître / valet ; amoureux : rapports duo / duel. En s'aidant d'un objet pour symboliser.
- personnage choral (un Scapin, un Géronte, et tout le reste de la classe représente Silvère déguisé en bandit. Je distribue des bouts de tissus pour se cacher un œil ou pour mettre en bandana). Travail de vocabulaire par le jeu juste avant (mais dans la même séance) avec des images fixes collectives : tranquille > inquiet >apeuré > terrifié > terrorisé, pour soutenir le jeu de Géronte, personnage presque muet (sauf "Je ne donnerai pas 200 pistoles > Je me résous à donner 200 pistoles).
- que les élèves aient entendu des morceaux du texte avant de le lire : des phrases (chuchoteurs, ou dans Scapin j'ai relevé les répliques dominants/dominés, à classer en relevant des indices) ou/et quelques passages (dans Scapin de courts passages de conflits (4/5 courtes répliques) à classer selon attaque / riposte / esquive.
Du vocabulaire, et seulement après tout ça on lit le texte sans trop se préoccuper d'études approfondies.

Soirée a écrit:C'est impossible à caser...

Je peux envisager un poème en ouverture de Kipling (tu seras un homme, même si c'est traduit) et de l'Odyssée (heureux qui comme Ulysse).

Impossible de faire mieux franchement.

Personnellement je sacrifierais Kipling pour faire une séquence sur la poésie. Tu peux toujours donner un récit d'aventures en LC.

Je crois qu'à ta place je remplacerais la séquence sur les fables pas une séquence poésie. Il me semble difficile de s'en passer, ça me semble important de poser les bases de ce genre littéraire avec eux.

Merci @Yranoh, je connais bien le Dulibine/Grosjean, j'en ai un exemplaire d'ailleurs. Il m'a beaucoup inspiré avec un groupe dans un autre cadre théâtral, il y a pas mal de temps.

A priori on aura 1h en demi groupe par quinzaine. Je compte l'utiliser pour la rédaction toute l'année et le jeu théâtral/la récitation lors des études dédiées. Ce n'est pas énorme toutefois 1h quinzaine... :/ Et en classe entière seul je ne vois pas trop comment faire sinon de temps en temps qu'un petit groupe de volontaires propose une mise en scène préparée d'un passage.

C'est la première fois que je vais réellement étudier le Médecin malgré lui avec une classe. Je vais forcément tâtonner.

@Maju : les fables c'est important, ils verront la poésie en 5e, 4e et 3e. Les fables par contre... Et puis j'ai un projet en béton (pas encore mis en musique même si j'ai une base)

@Amaliah : en cursive, je pense que peu le liront, si je ne l'étudie pas, ce sera du vent pour beaucoup d'élèves. Faut que je travaille pour condenser l'étude au maximum, mais si on veut faire ce fichu programme c'est quand même assez infernal.

Le programme de 6e est clairement infaisable vu les horaires impartis. Mais à choisir, je ne sacrifierais pas la poésie pour faire à tout prix le roman d'aventures. Je donnerais un récit d'aventures abordable (La Rivière à l'envers, Sans Famille par exemple) en LC avec parcours de lecture qu'on corrige en classe de temps en temps, histoire d'accompagner la lecture mais pas d'en faire une OI.

En effet, si tu tiens absolument à ta séquence sur les fables, la solution d'Amaliah peut te tirer d'affaire.

Si ça ne tenait qu'à moi ce serait 6 chapitres maxi en 6e (et de même en 5e);

Je vais voir comment me dépatouiller avec tout ça. J'aimerais partir sur le principe de respecter la lettre des programmes même si c'est vraiment nous rendre le travail impossible, ces programmes de 6e.

Merci pour vos suggestions à toutes les trois.

Tu peux essayer de faire une lecture suivie, que tu intitules pompeusement chapitre, sur l’aventure et préserver ainsi le chapitre sur la poésie.

C'est ce que je fais aussi. Le roman d'aventures est mon dernier chapitre, que je n'aurai vraisemblablement pas le temps de traiter en classe : je le proposerai alors en cursive, avec des arrêts réguliers sur les épisodes marquants.

J'ai prévu une lecture suivie des Métamorphoses d'Ovide, ça a bien plu cette année.

Dans l'absolu entre les Métamorphoses, l'Odyssée, les fables et les poèmes en ouverture de chapitre (pour les 4 derniers chapitres), je pense que la poésie aura été bien approchée si j'arrive à tout faire.

Même si c'est de façon rapide je souhaite étudier le Livre de la jungle, je suis un peu au fait que le roman d'aventures saute parfois en 5e aussi pour des raisons de temps.

henriette a écrit:Quelle progression as-tu prévu en langue, Milicius ?

Je réponds tardivement que pour l’instant c’est assez flou.

Je pense m’appuyer sur le labo de grammaire en adaptant les exemples proposés aux textes vus en classe pour faire un effet de rappel.
Là je suis sur mon téléphone mais je vais poster un document pdf que j’ai fait pour montrer un exemple concret.

Les élèves ont tendance à confondre "nom" et "sujet" alors je ne te conseillerais pas de mélanger des exercices sur ces deux notions en début d'année.

S'il s'agit de ta première leçon, elle porte donc sur le nom et pas sur le sujet, difficile de demander aux élèves d'identifier les noms sujets sans faire un rappel sur la manière dont on trouve le sujet d'un verbe.
De plus, ta consigne n'est pas claire : "identifier" ne veut rien dire pour un élève. Il faudrait dire de souligner de telle ou telle couleur les noms communs et les noms propres puis d'entourer les noms qui sont sujets par exemple.

Par ailleurs, ne proposer que ces deux exercices sur le nom me semble plus que léger, un bon élève met 5 minutes à faire ces deux exercices, presque tous les élèves savent différencier noms communs et noms propres et tu n'auras pas vraiment travaillé sur le nom : qu'est-ce qui différencie un nom d'un autre mot, d'un verbe notamment? Qu'est-ce qu'un GN et qu'est-ce que le noyau d'un GN, par exemple?

A mon avis, tu te complexifies donc inutilement le travail car l'effet de rappel que tu souhaites est superficiel et les élèves se fichent pas mal que les phrases soient en relation avec les textes vus et tu passes du temps à créer des phrases au lieu de le passer à sélectionner des exercices progressifs qui conviennent à des 6e. Pourquoi ne choisis-tu pas des exos dans le Labo tout simplement?

Merci beaucoup pour les réponses : je voulais justement profiter de cette séance - et même de l'exercice 2-  pour expliquer la distinction entre nom et sujet (même si j'avoue que je crains vraiment de manquer de clarté et de pédagogie pour la partie langue, je ferai de mon mieux. Mais au-delà de toutes les peurs de rentrée, c'est mon plus gros stress concret pour cette année, je sais que je patauge avec très peu d'assurance et beaucoup de confusions dans ce domaine).

Il serait possible de dire que le sujet est ce qui cause l'action lorsque la phrase est à la voix active ou est concerné par l'action lorsqu'elle est à la voix passive alors qu'un nom n'est pas forcément sujet et peut justement être complément du sujet ou faire partie d'une expansion du nom mais ils ne possèdent pas ces notions, c'est vraiment complexe d'expliquer la langue car ça suppose de posséder déjà des connaissances linguistiques la plupart du temps.
Il est en tout cas possible de rappeler qu'il y a la plupart du temps plusieurs noms dans une phrase simple et que donc, tous ne sont pas sujets (mais là encore, la notion de phrase simple n'est pas forcément acquise en début de sixième).

Peut-être faut-il commencer par revoir la notion de verbe comme suggéré.

D’accord avec les remarques précédentes. Les exercices sont trop peu nombreux et les notions abordées bien trop simples. L’exercice sur le sujet risque d’amplifier la confusion plutôt que de la régler. Par ailleurs, il faut trouver le sujet du verbe et non celui de la phrase: quid d’une phrase qui contient plusieurs propositions ?

Provence a écrit:D’accord avec les remarques précédentes. Les exercices sont trop peu nombreux et les notions abordées bien trop simples. L’exercice sur le sujet risque d’amplifier la confusion plutôt que de la régler.

C'est franchement mon problème en cours particulier et pour le peu de stage en petits groupes que j'ai effectué : j'ai bien vu que je perdais les élèves à essayer de leur expliquer les notions au programme et je finissais pas dire que la grammaire posait davantage de problèmes qu'elle n'apportait de solutions lorsqu'on s'y penchait (ce qui est assez insatisfaisant pour les élèves et l'enseignant même si ce n'est pas complètement faux ).

J'ai tout de même compris pas mal de bases linguistiques simples avec ces expériences pédagogiques mais bien les expliquer à des classes de 30 élèves, c'est autre chose...
Néanmoins, je n'ai pas le choix : il faut absolument faire un minimum de grammaire avec les élèves l'an prochain car tous ne fonctionnent pas comme les littéraires qui apprennent généralement l'orthographe et la grammaire en lisant et à leur insu (ils ne font pas de faute mais ne peuvent pas expliquer forcément comment fonctionnent la langue : perso, je ne suis pas du tout linguiste et il est vrai que si les concours étaient vraiment exigeants, je n'aurais pas dû être admis pour cette raison, par exemple, impossible d'envisager une agrégation de lettres pour moi pour cette raison.).

J'aime créer mes propres cours : si je dois toute l'année copier-coller dans le labo de grammaire ou autre manuel, ce sera frustrant pour moi mais c'est peut-être le meilleur moyen de donner aux élèves des exercices bien calibrés.

PS : notre formatrice de l'ISFEC est agrégée de grammaire, c'est un atout mais j'espère qu'elle ne va pas me laminer quand elle va s'apercevoir de mes énormes lacunes sur ce point que je ne pourrais pas totalement lui cacher si elle prend le temps de nous interroger sur nos préparations de cours et les points de langue traités. Peut-être vaut-il mieux jouer la carte de la sincérité, ce qui me permettra de lui poser toutes mes questions y compris les plus bêtes mais elle m'impressionne.
Ceci dit, le jour de la pré-rentrée, elle a pris un exemple qui m'a un peu rassuré : une stagiaire qui avait confondu pendant toute une séance (d'inspection) les adverbes de manière en -ment avec le participe présent il me semble (quelque chose du genre, je ne suis plus certain mais c'était énorme)...je n'en suis quand même pas à ce niveau.

En te lisant, j'ai l'impression que tu ne te sens pas à l'aise toi-même avec les connaissances grammaticales attendues au collège.
Si c'est bien le cas, alors le meilleur service que tu puisse te rendre, et rendre à tes élèves, c'est de suivre pas à pas le Labo de grammaire, pour les leçons comme pour les exercices.

Parce que faire ses propres corpus de phrases c'est bien gentil mais cela nécessite de maîtriser parfaitement ce qu'on veut faire travailler, pourquoi, et comment.
Et même ainsi tu n'es pas à l'abri d'une mauvaise surprise d une difficulté sur telle ou telle phrase que tu n'avais pas du tout vu venir, qui va te déstabiliser en classe et renvoyer l'épouvantable signal aux élèves que la grammaire c'est dur, flou et compliqué.
Parce que non, au niveau collège, la grammaire c'est simple, cohérent, structuré et structurant. On laisse de côté les cas bizarres, limites, etc.

Je pense que tu fais fausse route : il ne faut pas faire "un minimum de grammaire", il faut en faire beaucoup, c'est important, surtout en 6e. Et je pense que tu pointes toi même le souci: tu n'es pas tout à fait au clair sur certaines notions,  ce qui te gêne lorsque tu cherches comment les faire comprendre à tes élèves. Mais je pense que tu en tires une conclusion erronée (Comment faire en sorte que ça n'impacte pas trop mon enseignement ?), alors qu'à mon avis, il faut surtout que tu te procures une bonne grammaire et que tu travailles ces notions. C'est un travail de plus longue haleine, mais cela nourrira ton enseignement. En attendant, effectivement, mieux vaut t'appuyer sur un manuel fiable (le TdL en est un).

Je ne suis pas linguiste non plus, mais j'ai réellement (re)découvert la grammaire à l'occasion des cours de préparation au CAPES (il y a 25 ans certes...).
L'excellent M. Pellat (GMF) officiait alors dans mon Université. Je sais bien que la GMF est parfois critiquée, mais elle m'a donné une base solide, qui me paraît indispensable.
Pour ma part, je commence, ces derniers temps, par le verbe et non le nom. Après, il y a le choix : commencer par la phrase simple, les fonctions, ou bien commencer par les classes grammaticales... Depuis 2 ans je commence par les fonctions.

Comme l'ont dit les autres, appuie-toi sur des manuels pour la progression et les exercices. Le TDL et Le Labo sont vraiment bien conçus.

Pour les classes grammaticales, explique leurs caractéristiques. Variables, invariables, qu'expriment-elles ou que désignent-elles ? Peut-on les supprimer, les déplacer ? À quoi servent-elles (relier, modifier le sens d'un mot...)

N'invente pas des exercices ; tu peux à la rigueur modifier quelques phrases pour réinvestir du vocabulaire vu en cours, mais l'idée n'est pas de tout créer ex nihilo alors que des enseignants confirmés ont passé du temps à faire des exercices qui conviennent très bien.
Bosse la grammaire avec des manuels comme le Grévisse de l'étudiant, le Grévisse de l'enseignant. Quand tu maîtriseras ceux-là, tu pourras te tourner vers la GMF.

N'hésite pas à dire à tes tuteurs et formateurs que la grammaire est ton point faible ; mais travaille à combler tes lacunes. C'est bien plus important que de vouloir faire les cours les plus originaux qui soient.

Bon courage, tu vas y arriver : la grammaire ce n'est pas compliqué : les règles ne s'apprennent pas bêtement par coeur, on les retient quand on comprend leur cohérence.

Milicus a écrit:J'aime créer mes propres cours : si je dois toute l'année copier-coller dans le labo de grammaire ou autre manuel, ce sera frustrant pour moi mais c'est peut-être le meilleur moyen de donner aux élèves des exercices bien calibrés.

J'adore mon métier et réfléchir à mes cours mais j'utilise le Labo sans aucune frustration. Bien au contraire, je réfléchis à la manière dont je peux présenter ma leçon par exemple. Utiliser le Labo ne m'empêche pas de faire mon propre cours. Par contre, quel gain de temps!

Je te conseille de suivre la progression du Labo : d'abord, les notions de sujet, verbe, proposition; puis un zoom sur le verbe; dans un 3e temps le nom. Les notions se mettent en place très simplement et très progressivement. Il faudrait que tu étudies bien la manière dont le Labo met en place les notions pour voir ce qui est trop complexe pour des 6e (pas de voix passive, pas d'expansions du nom en effet).

Ne pas savoir quelque chose en classe, ça arrive à tout le monde. En 6e, les élèves ont souvent beaucoup de questions sur la mythologie et il n'y a aucun souci à leur dire qu'on va chercher la réponse et qu'on la leur donnera au prochain cours. Cependant si chaque notion de grammaire te pose problème, ça peut vite devenir très compliqué en termes de gestion de classe, je l'ai vu cette année avec une contractuelle en 5e qui m'avait demandé d'assister à son cours pour l'aider. Elle n'était pas au point en grammaire, j'ai entendu quelques horreurs dont certains élèves avaient conscience, et perdait ses moyens au fil de la séance, désarçonnée par les réactions des élèves et son ignorance. C'était une situation intenable. Je te conseille donc de lire et relire la leçon du Labo qui est adaptée aux élèves et de réfléchir afin que le déroulement de ta séance soit clair et précis, il faudra de toute façon tenir compte des impondérables du cours.

Pour ma part, je dis souvent aux élèves que la grammaire, c'est une démarche rigoureuse, quasi scientifique et un cours de langue, c'est très calme, très rassurant si les jalons sont bien posés. Quelle satisfaction de voir que les élèves comprennent petit à petit et progressent!

Edit : Je vois que nous sommes unanimes.

Je me suis mal exprimé lorsque j'ai écrit "il faut absolument faire un minimum de grammaire l'an prochain" je voulais justement pointer l'impératif d'en faire, c'est-à-dire l'impossibilité de s'y soustraire.
Et plus généralement, d'étude de la langue d'ailleurs.

Oui, une amie m'a conseillé (depuis longtemps) le Bescherelle Collège.

https://i.servimg.com/u/f25/20/48/98/62/besche10.jpg

Alors Henriette, avec toute la meilleure volonté du monde, je pense que j'ai l'esprit un peu tordu car je me pose mille questions même avec de la grammaire niveau collège (mais parfois pour rien, j'avoue).

Henriette a écrit:Et même ainsi tu n'es pas à l'abri d'une mauvaise surprise d une difficulté sur telle ou telle phrase que tu n'avais pas du tout vu venir, qui va te déstabiliser en classe et renvoyer l'épouvantable signal aux élèves que la grammaire c'est dur, flou et compliqué.

Je plaide coupable d'avoir très souvent provoqué cet effet lorsque j'essayais d'expliquer un point de grammaire et je m'en veux beaucoup.

Pourtant j'adore la littérature et je suis sûr que j'apporte quelque chose aux élèves mais vraiment la partie langue c'est mon point faible.
Enfin je peux suivre le TDL, oui... pas trop le choix (mais du coup je ne prépare rien à part le lire et ce n'est pas sécurisant).

Je peux photocopier du coup où il faut que je recrée des phrases similaires pour ne pas être en photocopillage?

Edit : merci pour les deux derniers messages qui répondent à toutes mes questions.

Juste lire le TDL, ce n'est pas sécurisant en effet. Il faut que tu t'appropries le cours, le contenu comme la démarche. Comment commences-tu l'heure? A quel moment distribues-tu la leçon? Faut-il la compléter? A quels moments fais-tu les exercices? Sur les mots variables, par exemple, je vois la partie de la leçon sur le nom, puis on fait les exercices sur le nom, puis on repasse à la leçon etc.
J'ai beau utiliser le Labo, je ne peux pas dire que je ne prépare rien. Enfin du moins les premières années! Cela dit, je viens de retaper certaines de mes leçons de grammaire pour en changer la présentation et faire en sorte que ce soit plus facile pour les élèves.

Pour t’entraîner en grammaire et apprendre les notions (même s’il y a des mises à jour à faire), tu peux aussi t’appuyer sur ce type de manuel aux leçons très complètes et didactiques :
https://www.livrenpoche.com/products/grammaire-6e-5e-2?utm_source=google_shopping&utm_medium=cpc&utm_campaign=Shopping%20GF%20avec&gclid=EAIaIQobChMIsI_RltH6gAMVSUhBAh0MVQqMEAQYASABEgLfU_D_BwE