Commémorations et jours fériés

J'ai l'impression que le 2e formule insiste sur la dimension héroïque voire sacrificielle.

Dhaiphi a écrit:

Daphné a écrit:Ça existe toujours dans les villages :lol:

Je confirme : le directeur s'y rend accompagné de ma collègue qui fait chanter la Marseillaise aux enfants.
Perso, je me contente de leur prêter mes élèves (sous réserve qu'ils en prennent soin).

Idem chez nous.

roxanne a écrit:Attention, ça durait, au pire , une heure, il y avait un petit discours, un petit défilé.Et je pense que les instits tournaient.Mais je parle d'un temps où tout le monde habitait sur place, et où peut-être les choses se faisaient plus naturellement car sans pression..

Bon, je n'y suis jamais allée, mais il y avait ça aussi quand j'étais petite ; il y avait aussi des (arrière) grand-pères qui allaient au monument aux morts, donc les copains/copines accompagnaient leurs pépés qui se souvenaient de leurs copains/ou de leurs pères.

Ce qui me fait penser que dans un bled où nous avons vécu autrefois, après chaque enterrement d'ancien combattant, le chef de "l'amicale", à la fin des obsèques, après la sonnerie aux morts au clairon, s'exclamait "Bon, alors, à qui le tour ?", et ils partaient se jeter un godet au bistrot en face de l'église.