Vincent Peillon envisage des grandes vacances de six semaines, différentes selon deux zones.

micaschiste a écrit:

Will.T a écrit:

Luigi_B a écrit:Deux zones pour passer le baccalauréat, ça donne deux baccalauréats ?

Ça s'était déjà le cas quand j'ai passé mon bac, il y avait des sujets différents selon les regroupements d'académies.

oui, en 1993, il y avait apparemment 4 groupes d'après les annales de maths

groupe 1 : Amiens-Créteil-Lille-Paris-Rouen-Versailles
groupe 2 :Bordeaux, Caen, Clermont-Ferrand, Limoges, Nantes, OrlÉans-Tours, Poitiers, Rennes
groupe 3 : Besançon, Dijon, Grenoble, Lyon, Nancy-Metz, Reims, Strasbourg
groupe 4 : Aix-Marseille, Corse, Montpellier, Nice, Toulouse

Et en 83, ily avait un sujet par académie.

micaschiste a écrit:

Will.T a écrit:

Marcel Khrouchtchev a écrit:

micaschiste a écrit:

Will.T a écrit:
Ça s'était déjà le cas quand j'ai passé mon bac, il y avait des sujets différents selon les regroupements d'académies.

oui, en 1993, il y avait apparemment 4 groupes d'après les annales de maths

groupe 1 : Amiens-Créteil-Lille-Paris-Rouen-Versailles
groupe 2 :Bordeaux, Caen, Clermont-Ferrand, Limoges, Nantes, OrlÉans-Tours, Poitiers, Rennes
groupe 3 : Besançon, Dijon, Grenoble, Lyon, Nancy-Metz, Reims, Strasbourg
groupe 4 : Aix-Marseille, Corse, Montpellier, Nice, Toulouse

Quand je l'ai passé en 1998 il y avait encore des sujets différents. Mais dans mes souvenirs, on le passait tous les mêmes jours, non?

Je pense que oui.

Je n'arrive pas à retrouver les dates des épreuves. Mais perso, je n'ai aucun souvenir sur les dates.

Les dates des écrits ont toujours été identiques partout et fixées au BO.Oraux fixés par les recteurs, en revanche.

Moi, je l'aime d'amour, ce miniss' : père divorcé, il va me priver d'une partie de mes vacances avec mes enfants. Ca devient une affaire personnelle entre lui et moi, cette histoire.

Cripure a écrit:

Aevin a écrit:

Olympias a écrit:Intérêt économique, bien sûr...

Ou tout simplement le constat que deux mois de vacances ne sont pas favorables à l'apprentissage des élèves ...

C'est vrai. Depuis que les vacances ont été réduites à 2 mois, plus rien ne va.
Pour le reste, je suppose que vous militez au Sgen, le seul syndicat à exiger que le pouvoir s'essuie les pieds sur ses syndiqués...

Il parait même que le gel de l'indice est favorable à l'apprentissage des élèves d'après une synthèse américaine de 1998 portant sur 564 méta-analyses, et reprise par l'OCDE en 2006 sous le titre "Des enfants-professeurs pour des enfants-apprenants : Précarisation et paupérisation des enseignants — pour une nouvelle forme de docilité pédagogique et politique au service d'un enseignement tourné vers l'intérêt de l'enfant-enfant et qui le reste."

C'est pas faux a écrit:Moi, je l'aime d'amour, ce miniss' : père divorcé, il va me priver d'une partie de mes vacances avec mes enfants. Ca devient une affaire personnelle entre lui et moi, cette histoire.

Une seule solution alors : la grue contre la réforme !

JPhMM a écrit:

Cripure a écrit:

Aevin a écrit:

Olympias a écrit:Intérêt économique, bien sûr...

Ou tout simplement le constat que deux mois de vacances ne sont pas favorables à l'apprentissage des élèves ...

C'est vrai. Depuis que les vacances ont été réduites à 2 mois, plus rien ne va.
Pour le reste, je suppose que vous militez au Sgen, le seul syndicat à exiger que le pouvoir s'essuie les pieds sur ses syndiqués...

Il parait même que le gel de l'indice est favorable à l'apprentissage des élèves d'après une synthèse américaine de 1998 portant sur 564 méta-analyses, et reprise par l'OCDE en 2006 sous le titre "Des enfants-professeurs pour des enfants-apprenants : Précarisation et paupérisation des enseignants — pour une nouvelle forme de docilité pédagogique et politique au service d'un enseignement tourné vers l'intérêt de l'enfant-enfant et qui le reste."

:aau:

henriette a écrit:

C'est pas faux a écrit:Moi, je l'aime d'amour, ce miniss' : père divorcé, il va me priver d'une partie de mes vacances avec mes enfants. Ca devient une affaire personnelle entre lui et moi, cette histoire.

Une seule solution alors : la grue contre la réforme !

Il y a aussi des dames très bien qui sont contre.

Sur cette simple rumeur, les lycéens de mon département ont débrayé trois jours pleins fin septembre, avec quelques anicroches dans deux centres villes. Je crois que Peillon n'a pas pris la mesure de la réaction des élèves si sa petite ânerie plaisanterie venait à passer de force.
Par ailleurs, on parle de récupérer des cours en plus. Faisons déjà le bilan des cours perdus pour cause de catéchismes divers, ASSR2, alcoolisme, MST, agenda 21, 2D, etc. Il y a déjà deux bonnes semaines à récupérer dans ces idioties manifestations citoyennes

On y ajoute toutes les heures perdues pour des interventions qui pourraient avoir lieu le mercredi après-midi (et pas pendant nos heures de cours...) : projet éducation sexualité, prévention suicide, inscription au bac...
Et cette année, LA NEIGE qui empêche les élèves d'arriver au lycée !!!
Je ne compte pas les sorties scolaires car c'est du vrai travail (ça me fatigue plus qu'une journée de cours)

Si jamais ça passe... ça va être drôle pour les mutations inter-académiques !

Parce que du coup, si on mute dans une académie qui n'est pas dans la même zone que celle d'où l'on vient, on peut se retrouver avec 4 ou 8 semaines de vacances.

saramea a écrit:Si j'avais à défendre l'envie d'un étudiant de devenir enseignant, je lui dirais plutôt qu'il est encore temps de fuir. Il pourra peut-être choisir un métier reconnu et respecté de tous. C'est plus facile pour garder la foi, même même si l'on peut avoir la chance d'avoir en face de soi des élèves qui nous rendent heureux, ce qui n'est pas un privilège accordé à tous. Et s'il n'est pas convaincu, je lui dirai de lire les commentaires qui figurent à la suite des articles sur l'Education Nationale sur le site web des journaux. Il comprendra aisément, tellement c'est à vomir... Envie de pleurer ce soir . Mais à force d'attaquer injustement les enseignants, la société risque bien d'aggraver très sérieusement la crise des vocations et, sans tarder, de trouver d'autres "enseignants": ceux qu'elle mérite... Ou comment une société fait ses premiers pas vers l'ignorance, vers sa décadence.

Ses premiers pas ?
Oh, que c'est injuste !
Elle a déjà largement obtenu ses examens de premier cycle ! :lol!:

Modulo a écrit:Si jamais ça passe... ça va être drôle pour les mutations inter-académiques !

Parce que du coup, si on mute dans une académie qui n'est pas dans la même zone que celle d'où l'on vient, on peut se retrouver avec 4 ou 8 semaines de vacances.

Oui, mais il n'y a pas de honte à demander ce genre de sacrifices aux profs danlintérêdezenfants !

Edgar a écrit:

Delim a écrit:Ce que Châtel et ses amis UMP n'ont pas eu le temps de faire, Peillon et le gouvernement socialiste va le réaliser. C'est incroyable!
Même si je ne m'attendais pas à grand chose de bon avec Hollande, il me semble que son quinquennat s'annonce identique à celui de Sarkozy. Sale temps pour les salariés, du privé comme du public.
Par ailleurs -même si cela ne m'étonne pas- j'estime que les syndicats sont d'une grande molesse par rapport à la poursuite de la politique libérale et à l'austérité que l'on nous impose. Que faire pour lutter contre cette casse sociale? Une gré-grève à peine annoncée? J'espère que les prochaines élections municipales seront cruelles pour le PS.

Pour quoi faire ? Au profit de qui ? Pour lancer un signal à qui ? A l'UMP ? C'est-à-dire qu'aujourd'hui, au bout de 2 ans même pas, on en est à vouloir l'alternance ?
Un signal vers le FN ? Pour faire peur aux bourgeois de gauche et de droite ?

Ah non, ça ne va pas recommencer, hein ? On a été nombreux ici, il y a un an, à sonner le tocsin contre le votutil. Apparemment, ça continue : seulement trois possibilités là encore ! Ily a d'autres options, et pas que pour l'éducation !

frimoussette77 a écrit:Avec le zonage, certaines personnes qui muteront risquent d'avoir des vacances plus courtes ou plus longues ou :aab:
Nouvelle idée : muter en cours d'année dans l'intérêt des élèves

C'est ce qui se passe en fac, désormais :les postes sortent "au fil de l'eau" (j'adore ), les gens postulent et s'ils sont pris, ils plaquent leur poste en cours d'année et débarquent en cours d'année. Ah que coucou !

meskiangasher a écrit:Je sais que des conseillers du parti politique au pouvoir lisent ce forum. Qu'ils n'oublient pas que l'électorat enseignant n'est en aucun cas captif. Qu'ils se méfient du coup de pied de l'âne.

Oui mais les élections de 2012 tendent à prouver le contraire. Bien que tout ce que tente de faire Peillon actuellement ait été annoncé à l'avance (pour qui sait entendre), une forte majorité des enseignants se sont d'emblée déclarés en faveur de Hollande ; entre le rejet de Sarkozy et l'obligation quasi morale de voter pour un candidat estampillé "de gauche", le vote enseignant était captif dès le début de la campagne - à l'exception près de la tentation folklorique du Front de Gauche qui était une impasse évidente pour d'autres raisons.
Je l'avais déjà écrit ici à l'époque et ça m'avait valu quelques répliques sarcastiques, mais en tant qu'enseignants la stratégie la moins mauvaise aurait été de mettre notre vote dans la balance et Bayrou, avant son effondrement, tant qu'il bénéficiait encore un peu des retombées en terme d'image de sa position de troisième homme de 2007, était avec son programme sur l'éducation un excellent moyen de faire pression sur le PS dans ce domaine ; sans compter que par ailleurs, il n'aurait pas mené une politique économique et générale très différente de celle de Hollande actuellement, ni même de celle d'un Sarkozy qui aurait été réelu.
Mais parce qu'il avait été de droite par le passé et que nous nous glorifions d'être de gauche, nous n'avons pas soutenu le seul candidat qui faisait l'effort de s'adresser à nous dès le début de sa campagne.
Des ânes nous sommes, des ânes nous resterons ; irrémédiablement tournés vers la gauche et incapables de donner un véritable coup de pied autre part qu'à droite.

C'est pas faux a écrit:

JPhMM a écrit:

Cripure a écrit:

Aevin a écrit:

Olympias a écrit:Intérêt économique, bien sûr...

Ou tout simplement le constat que deux mois de vacances ne sont pas favorables à l'apprentissage des élèves ...

C'est vrai. Depuis que les vacances ont été réduites à 2 mois, plus rien ne va.
Pour le reste, je suppose que vous militez au Sgen, le seul syndicat à exiger que le pouvoir s'essuie les pieds sur ses syndiqués...

Il parait même que le gel de l'indice est favorable à l'apprentissage des élèves d'après une synthèse américaine de 1998 portant sur 564 méta-analyses, et reprise par l'OCDE en 2006 sous le titre "Des enfants-professeurs pour des enfants-apprenants : Précarisation et paupérisation des enseignants — pour une nouvelle forme de docilité pédagogique et politique au service d'un enseignement tourné vers l'intérêt de l'enfant-enfant et qui le reste."

:aau:

Moonchild a écrit:le vote enseignant était captif dès le début de la campagne - à l'exception près de la tentation folklorique du Front de Gauche qui était une impasse évidente pour d'autres raisons.

Ah zut alors... Si vous écrivez ça, c'est que c'était vraiment viable, alors... Quelle déception !
Voyez-vous, enfant de la Lune, si les seuls choix qui nous restent sont 1) une impasse 2) un seul et unique même boulevard, je doute que le système tienne encore debout très longtemps. Mais bon, je ne vais peut-être pas développer des heures, ce qui est fait est fait.

Peillon est retors, il a lâché son projet 6 semaines l'été pour mieux faire passer nos 4,5 j! Pour nous discréditer encore plus profond...

http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20130222.OBS9829/pourquoi-peillon-joue-gros-sur-les-rythmes-scolaires.html

Lorsqu'il prend la parole, ce mercredi 23 janvier, lors du conseil des ministres, François Hollande assortit les félicitations d'usage d'un de ces avertissements dont il a le secret. Pour le président, le projet de loi "d'orientation et de programmation pour la refondation de l'école de la République" est un texte ambitieux qui souligne la priorité donnée à la jeunesse au cours de son quinquennat.
Mais - et c'est ce "mais" qui fait dresser les oreilles, ce jour-là, à l'Elysée - il ne faudrait pas qu'aux yeux des Français la question des rythmes scolaires occulte une volonté réformiste d'une tout autre ambition. Autour de la table du conseil, personne ne moufte. Pas même le premier concerné - Vincent Peillon. Sauf que lui est un des rares ministres à mesurer le sel particulier du propos présidentiel.

Avec un brin d'angoisse, Hollande et Ayrault surveillent comme le lait sur le feu une colère qui monte dans le corps enseignant et une grogne qui avance à bas bruit chez les élus locaux.

Peillon - ce n'est un mystère pour personne- court d'autant plus vite qu'il a le sentiment de rattraper le temps perdu. Si cela n'avait tenu qu'à lui, tout aurait été réglé depuis l'automne dernier. Il serait revenu sur la semaine de quatre jours, décidée à la hussarde par Darcos en 2007 et entrée en vigueur l'année suivante, par des méthodes à peu près comparables. La concertation ? Ne l'avait-il pas conduite, en catimini mais en liaison constante avec le candidat Hollande, durant toute la campagne, dans les locaux de la délégation du Parlement européen, boulevard Saint- Germain à Paris ?
Les syndicalistes enseignants ? N'avaient-ils pas été associés, bien avant le 6 mai, au projet présidentiel ? Et comment les élus, notamment socialistes, auraient-ils pu contester le retour à la semaine de quatre jours et demi que réclame leur parti depuis la nuit des temps !

Mais à Matignon, dès les premiers pas d'Ayrault, en juin, on a choisi de brider les ministres trop pressés. Pas question de laisser des électrons libres dans le gouvernement. La sanction, pour Peillon, a pris la forme d'une concertation reprise à l'identique, avec de nouvelles réunions sans fin qui n'ont rien changé sur le fond mais ont ouvert la voie à toutes les surenchères.
Le pompon, dans cette histoire, est revenu à Hollande. Dans son discours au Congrès des Maires de France, fin novembre 2012, le président ne s'est pas contenté de broder sur "les clauses de conscience" ouvertes au sujet du mariage gay. Une autre de ses improvisations portait, ce jour-là, sur les rythmes scolaires.
Sous les yeux effarés de son ministre de l'Education, il a ainsi accordé aux élus le droit de choisir l'année où la réforme, chez eux, entrerait en vigueur. Si l'Elysée et Matignon, la main dans la main, avaient voulu montrer aux acteurs du dossier combien pouvait être flottante leur détermination, ils ne s'y seraient pas pris autrement.
L'école va mal
Question de style. Question de méthode également. La ligne Peillon avance au clairon. Le ministre n'a pas son pareil pour asséner que l'école va mal et que l'éducation des enfants tournera bientôt à la catastrophe si rien n'est fait pour enrayer ce déclin. Tout avec lui est urgence et obligation morale alors que, au sommet de l'Etat, tout demeure prudence et souci d'équilibre.

C'est ce que confie parfois Peillon, au fil de ses rencontres, quand il dit qu'il n'a rien changé aux obligations de l'Etat - 24 heures d'enseignement hebdomadaires, et 36 semaines par an - mais que pour le reste, notamment pour le rythme de la journée scolaire, il a laissé aux différents acteurs du système cette part d'autonomie qui, à elle seule, explique ce sentiment de vertige, constaté chez beaucoup.

Ils le font exprès le nouvel Obs ou ce titre est un appel au lynchage?
Profs: deux semaines de vacances en moins

Ca m'a surpris aussi qu'ils reviennent sur la journée de carence. Mais, d'ailleurs, je l'ai immédiatement dit à ma mère : "c'est la vaseline pour nous faire passer un truc encore plus gros".
Ca n'a pas loupé.
Et bien sûr, annoncé un dimanche soir en pleine vacances scolaires histoire de tester l'opinion sans faire trop de remous.

A peine deux commentaires.... et ils sont ....

C'est-à-dire qu'aujourd'hui, au bout de 2 ans même pas, on en est à vouloir l'alternance ?

6 mai 2012 - 25 février 2013, 2 ans ? ou un peu moins de 10 mois ?

Le 6 mai, certains votes marquaient un rejet viscéral de la casse systématique entreprise par Chatel, l'homme du marketing chez L'Oréal. Son mépris du métier de prof, les jeunes en savent quelque chose.

Mais il ne faudrait pas qu'aux yeux des Français la question des rythmes scolaires occulte une volonté réformiste d'une tout autre ambition

Par exemple en créant une discipline de morale laïque enseignée par les profs de philo, avec épreuve au bac le 14 juillet ? Le plus simple n'aurait-il pas consisté à modifier le contenu et les méthodes de l'éducation civique (et l'ECJS depuis Allègre).
Tiens, Allègre, cela ne rappelle rien aux dirigeants de la gauche ?

Un com sur le nouvel obs:

Une simple petite question à Mr le Ministre: La loi et les travaux (fort nombreux) de fin d'année scolaire et de préparation de rentrée font obligation aux personnels d'encadrement (Principaux, Proviseurs, Adjoints...) de prendre leurs vacances d'été à S+2 et de rentrer à R-2 ; c'est à dire de partir en congés 2 semaines après les élèves et enseignants et de reprendre le travail 2 semaines avant. Mr le Ministre prévoit donc d'accorder deux semaines de congés d'été au personnel de direction!!!!...Incompétence?, Ignorance?

2 semaines ? C'est encore trop. Mais pas d'affolement, le ministre qui s'est fait recadrer par Ayrault va encore revenir sur son récent cafouillage. Et on n'a pas fini.

Modulo a écrit:Si jamais ça passe... ça va être drôle pour les mutations inter-académiques !

Parce que du coup, si on mute dans une académie qui n'est pas dans la même zone que celle d'où l'on vient, on peut se retrouver avec 4 ou 8 semaines de vacances.

Même chose pour les élèves. On va se retrouver avec des élèves qui, ayant déménagé une semaine après leur rentrée seront obligés de se caler sur les nôtres qui ont déjà trois semaines de classe dans les pattes.