Dernières nouvelles de la réforme des rythmes scolaires

doublecasquette a écrit:Union Sportive de l'Enseignement du Premier degré, l'équivalent de l'ASSU dans le secondaire.

ycombe a écrit:

doublecasquette a écrit:Union Sportive de l'Enseignement du Premier degré, l'équivalent de l'ASSU dans le secondaire.

C'est pas l'UNSS dans le secondaire?

ycombe a écrit:

doublecasquette a écrit:Union Sportive de l'Enseignement du Premier degré, l'équivalent de l'ASSU dans le secondaire.

C'est pas l'UNSS dans le secondaire?

The Goon a écrit:

Normandyx a écrit:En province, les PEDT vont bon train, réunion de la maternelle au collège imposée aux directrices, en leur disant qu'il faudrait que le conseil des maitres élise un délégué, réunion USEP pour redynamiser tout ça et les inclure dans les TAP pour avoir des animateurs à bon coût en récupérant quelques jeunes retraités pour animer ces heures contre vacations bien moins coûteuses. Pression sur les collègues pour qu'un enseignant de l'école soit présent à la réunion USEP pour servir de relais etc...  
Dois-je ajouter avec la bénédiction du SE UNSA?

Dans ma commune j'en ai parlé au responsable USEP académique l'an dernier : "alors la mise en rythme de votre côté ?" Réponse "La mairie voudrait nous filer une enveloppe budgétaire et que l'on gère le périsco mais j'ai dit non, c'est pas notre boulot. Nous on veut surtout des enseignants pour l'USEP hors-temps scolaire du mercredi après-midi, travailler avec eux pour les rencontres."
Mise à jour : à partir de janvier c'est l'USEP qui gèrera les animateurs périsco et les rémunèrera. Moralité celui qui paye décide.  
Sans compter que c'est le DASEN qui accorde ou pas des décharges pour l'USEP. Il suffit que lui aussi fasse pression et/ou preuve de bonne volonté si l'USEP joue le jeu. :lol:
Dernier point, l'USEP fait partie de le Ligue d'enseignement, qui est à bloc dans la co-éducation et la réforme.

coindeparadis a écrit:USEP pour les municipalités PS et traînage de genoux et coudes sur l'asphalte de la cour pour les mairies de droite ???

The Goon a écrit:oui il faut voir ça comme un prestataire ou un label, mais ça n'a aucune garantie de qualité. Ca permet juste de faire de la com' avec des partenaires institutionnels, c'est bien dans la logique de poudre aux yeux des TAP, de PEDT et toute cette fumisterie.

The Goon a écrit:oui il faut voir ça comme un prestataire ou un label, mais ça n'a aucune garantie de qualité. Ca permet juste de faire de la com' avec des partenaires institutionnels, c'est bien dans la logique de poudre aux yeux des TAP, de PEDT et toute cette fumisterie.

Normandyx a écrit:accessoirement, cela permet aussi à des "copains" de passer du terrain au statut de "mis à disposition", ce qui pour au moins 2 auxquels je pense, aura été bénéfique pour les enfants. Mais, c'est parfois impressionnant de voir leur évolution de carrière vers la hors classe par exemple...
Renseignez vous, il y en a entre 3 et 5 par académie...

« Il manque trois salles » a expliqué Annick Stéphant, adjointe aux affaires scolaires qui a précisé que « le directeur était opposé à l'utilisation des salles de classe ».

Christian Vallée, directeur, réagit ce lundi et tient à faire connaître ses arguments, et ceux de l'ensemble de l'équipe enseignante.
Une solution ?

Les enseignants sont conscients que la mairie est propriétaire des locaux : « Nous ne pourrons pas nous opposer en cas de réquisition des salles de classe par la mairie ».

« Je m’attendais à recevoir un courrier, mais pas qu’ils aillent aussi loin », constate Camille*. Depuis la rentrée de septembre, elle n’a jamais emmené son fils à l’école le mercredi matin, jour pourtant obligatoire depuis la réforme des rythmes scolaires. Début décembre, Camille, dont le fils est scolarisé en CP à l’école municipale, a reçu une convocation de la part de l’inspection académique, dans laquelle figurent deux avertissements « en cas de persistance » : « La sanction pénale pour manquement à l’obligation d’assiduité scolaire (...), la peine encourue étant une amende de 750 € au plus », et « la sanction pénale pour soustraction aux obligations de l’autorité parentale (...), la peine encourue étant un emprisonnement pouvant aller jusqu’à deux ans et une amende de 30 000 € au plus ».

Pour Camille, la deuxième sanction est de trop. « J’ai regardé l’article de loi complet sur Internet et il concerne les parents qui mettent en danger leur enfant. Pour deux heures de cours ratés dans la semaine, c’est un peu fort ! »

The Goon a écrit:ça c'est parce que tu es une PE égoïste et nombriliste, toujours selon l'UNSA.

Ce que je trouve dingue également c'est que nous ne soyons pas tous bougés en même temps pour dire "assez de mépris, arrêtez la dégradation de nos conditions de travail". Non, on a laissé tomber les parisiens, attendu une réaction du SNU et courbé l'échine.

Avec un peu de recul aujourd'hui, Patrice Picard, directeur de l'élémentaire, avance que «ça se passe relativement bien, avec des intervenants qui ne sont pas des professionnels certes mais suscitent l'intérêt des gamins plutôt contents.» Comme ses collègues Sylvain Bordes et Stéphanie Fréville qui a rejoint l'équipe en septembre, Patrice Picard reconnaît l'énergie et les moyens mis en œuvre par la municipalité dans cette nouvelle organisation. Car aujourd'hui, le seul bémol reste les locaux.

«Nous avons besoin d'un lieu spécifique pour le périscolaire, l'école doit rester l'école. Ça aidera d'autant plus les enfants à comprendre qu'il y l'école et après l'école…», ajoute ce dernier.

Normandyx a écrit:Je crois que les enseignants ont intérêt à être vigilants, au moins pour défendre leur matériel et toujours exposer le problème en conseil d'école pour que ce soit enregistré. Une fois que l'utilisation sera imposée, tout incident doit être signalé par courrier à la mairie (après avoir informé par téléphone) avec copie à l'IEN.

ça veut dire quoi maitresse agréée?     ? :lol:

A l'ordre du jour, notamment, l'abrogation de la délibération du 26 février 2014 relative à la réforme des rythmes scolaires et jugée illégale par le tribunal administratif d'Orléans.
La commune s'est toujours opposée à la réforme Peillon, appliquant la semaine des quatre jours depuis déjà quinze ans, à la demande des parents.

A l'ordre du jour, notamment, l'abrogation de la délibération du 26 février 2014 relative à la réforme des rythmes scolaires et jugée illégale par le tribunal administratif d'Orléans.
La commune s'est toujours opposée à la réforme Peillon, appliquant la semaine des quatre jours depuis déjà quinze ans, à la demande des parents.

coindeparadis a écrit:

Normandyx a écrit:Je crois que les enseignants ont intérêt à être vigilants, au moins pour défendre leur matériel et toujours exposer le problème en conseil d'école pour que ce soit enregistré. Une fois que l'utilisation sera imposée, tout incident doit être signalé par courrier à la mairie (après avoir informé par téléphone) avec copie à l'IEN.

ça veut dire quoi maitresse agréée?     ? :lol:

Ca veut dire PE pour le privé sous contrat.