Neo défi lecture 2020 - Ici, on papote !

Jenny a écrit:J'ai plein de compte-rendus en retard.

Défi 9 : Un roman sur le thème de l'abandon - Haruki Murakami - Kafka sur le rivage.
Découverte d'Haruku Murakami (J'ai une pile énorme d'ouvrages de lui, j'ai gagné une trentaine de ses livres avant le confinement. ) t coup de coeur pour ce roman qui nous fait plonger petit à petit dans un univers fantastique.
Deux parcours parallèles s'entrecroisent tout au long du livre.
D'un côté, Kafka Tamura fugue de la maison familiale pour échapper à l'emprise de son père qui a proféré à son égard un présage très oedipien. L'adolescent, abandonné par sa mère partie avec sa soeur, tente de fuir cette malédiction et traverse le Japon à la recherche d'un refuge. Il va trouver un lieu où vivre en s'installant dans une bibliothèque dirigée par une mystérieuse femme solitaire et nouer une amitié avec le bibliothécaire...
De l'autre, le vieux Nakataa perdu ses capacités intellectuelles lors d'un événement étrange : l'évanouissement de toute sa classe pendant la Seconde Guerre mondiale. Ses camarades ont repris leurs esprits rapidement, mais il est resté longtemps inconscient et a tout oublié à son réveil. Incapable de lire à nouveau et de travailler, il dépend d'une "pan-sion" attribué par le préfet et des récompenses des habitants pour sa capacité à retrouver les chats perdus du quartier. Nakata a effectivement la particularité de pouvoir discuter avec les chats. A la recherche d'une chatte égarée, il se retrouve à traquer un inquiétant personnage surnommé Johnnie Walker...
Un roman que j'ai eu du mal à lâcher, captivée par cette immersion très progressive dans un univers étrange et par ses deux personnages principaux, qui traversent le Japon dans leur quête.

J'ai du coup enchaîné avec un autre de ses livres pour le défi 24 : Un livre dont le titre ne contient aucun E. - Harumi Murakami - Birthday Girl, illustrations de Kat Menschik
Une nouvelle très joliment illustrée qui met en scène une serveuse le jour de ses 20 ans. Le directeur du restaurant tombe soudainement malade, la narratrice doit le remplacer pour une mission essentielle qui consiste à apporter le repas du soir au mystérieux propriétaire que les employés n'ont jamais vu. Ce dernier lui propose de faire un voeu...

Bon, malheureusement, je n'arrive pas à lire (je n'arrive pas à me concentrer, je suis prise par les corvées du quotidien et les enfants..., et le travail!!), mais je me permets de rebondir: j'ai adoré moi aussi Kafka sur le Rivage, et j'ai été amenée à le relire dans le cadre d'un cours, et c'est un livre truffé de références intertextuelles, notamment au mythe d'Oedipe! C'est fascinant de ce point de vue-là aussi!

Et, Ombre, les Frères Karamazov, j'en ai un excellent souvenir également, malgré quelques longueurs philosophico-théologiques et quelques lourdeurs sans doute liées à la traduction (mais sur un tel nombre de pages, c'est pardonnable!).

Merci Tremere pour le spoiler, ça me revient maintenant !

Les Frères Karamazov, un super souvenir de lecture !

J'ai divisé mon temps de lecture par 2, au moins ! Les enfants et le boulot me prennent tout mon temps...

Moi aussi, Lulu, je n'ai jamais aussi peu lu... Je viens de relire Marx et la poupée de Maryam Madjidi ppour l'auteur iranien qui m'a plus plu que quand je l'ai lu pour la première fois. Je suis en train de venir à bout d'Une Vie après l'autre de Margaret Atkinson sur ma Kindle et je pourrai commencer le dernier Lemaitre et Dalva.

Mina a écrit:mais je me permets de rebondir: j'ai adoré moi aussi Kafka sur le Rivage, et j'ai été amenée à le relire dans le cadre d'un cours, et c'est un livre truffé de références intertextuelles, notamment au mythe d'Oedipe! C'est fascinant de ce point de vue-là aussi!

C'est vrai. Ca m'a donné envie de lire ou de relire d'autres livres.
Je n'ai pas encore lu Les frères Karamazov. Pas sûre de l'avoir alors ça attendra.

Pour le défi 25 "un livre qui fait peur" j'ai lu Nuisible, un manga horrifique en trois tomes de Hokazono et Yusatomi que j'ai beaucoup aimé. Je ne peux en dire trop sans dévoiler l'histoire mais c'est un récit qui s'inspire d'une part de la mythologie japonaise, d'autre part des recherches scientifiques sur la survie de l'espère humaine en milieu clos [toute analogie avec notre situation actuelle étant fortuite ]

Voici le résumé du tome 1 par l'éditeur :
Ryôichi, lycéen sans problème fait des rêves étranges dans lesquels une jeune fille à la beauté irrésistible se transforme en monstre carnivore. Un jour, Kikuko arrive dans la classe de Ryôichi en tant que nouvelle élève et… elle ressemble comme deux gouttes d’eau à la fille de ses cauchemars !
Au même moment, Tokyo est le théâtre d’évènements curieux : une canicule s’abat sur la ville, les insectes deviennent agressifs et attaquent les animaux domestiques, des crimes mystérieux se produisent…

Attention, ne pas lire ce manga si vous êtes entomophobes (phobie des insectes) !

Je viens juste de finir L'arrache-coeur ,de Boris Vian. J'ai eu un peu de mal à le lire :certains détails sont étranges, les moeurs du village sont très étonnantes, Clémentine est folle d'amour maternel selon moi. J'ai eu beaucoup de mal avec la figure de cette mère surprotectrice qui se martyrise en pensant mieux aimer ses enfants ainsi.
Si j'ai apprécié le côté "fable psychanalytique", j'ai détesté le côté écoeurant.

Je me demande si Kim peut aller dans Fin d'un monde ? Qu'en pensez-vous ?
En tout cas je le relis (ce que je n'avais pas fait depuis très, très longtemps, si bien que c'est une redécouverte), avec un très grand plaisir.

C'est une belle lecture.
Pour moi, ça convient.

Bonjour,

J'ai beaucoup de mal à lire depuis que je télé-travaille tout en m'occupant d'un jeune enfant. Moi qui ai toujours rêvé d'être confinée avec un tas de bouquins, je déchante...

Je viens de finir pour le défi 20. Un livre qui parle d'écriture(s) Le Lambeau de Philippe Lançon.

Philippe Lançon fait partie des victimes de l'attentat du 7 janvier dans les locaux de Charlie Hebdo. Une balle lui arrache une partie du visage. Il raconte son séjour à l'hôpital, sa lente reconstruction dans cet espace hors du temps où il bannit la télévision et la radio et offre une large place à la lecture et à la musique. Les infirmières, les docteurs, sa chirurgienne, en particulier, sont considérés comme des divinités omniscientes. Les opérations s'enchaînent, on lui greffe une partie de son péroné en guise de mâchoire, son lambeau. Parallèlement à cette reconstruction physique, une reconstruction psychique est à l’œuvre. Il va falloir accueillir l'autre, celle qui n'était pas là au début et que sa présence à l'hôpital dérange, essayer de donner un sens à ce qui est arrivé (étonnant chapitre inaugural sur un possible lien entre la pièce qu'il est allé voir la veille, La Nuit des rois, et l'attentat en lui-même) et, surtout, parvenir à vivre en-dehors du cocon de l'hôpital.

L'écriture joue un rôle majeur dans la reconstruction. Philippe Lançon est un critique littéraire. Il convoque des personnages de Proust pour se donner du courage. Et il écrit. Sur sa tablette Velleda, puisqu'il ne peut d'abord pas parler. "Écrire, c'était protester, mais c'était aussi, déjà, accepter", puis il reprend des chroniques dans Libération et Charlie Hebdo. "L'écriture était bien le produit d'un autre moi, un produit précisément destiné à me faire sortir de l'état dans lequel je me trouvais, quand bien même il consistait à raconter cet état."

Ce livre a aussi un écho particulier aujourd'hui car il s'agit d'un très  bel hommage au personnel de santé qui colmate les brèches d'un navire qui prend l'eau de toute part, avec un engagement sans faille, admirable : "C'est l'Assistance Publique : des gens souvent héroïques, travaillant avec un matériel fatigué qui paraît les envoyer à leurs maigres salaires, à leurs efforts par vocation, à leurs douleurs masquées et au fait que tout le monde ici, patients et soignants, paraît coûter trop cher à une société dont l'unique pensée de derrière semble être de réduire l'imagination, l'attention et les frais ; car il n'y a pas que les patients, ici, pour avoir une vie difficile."

Moi aussi, je suis surprise de constater que je lis moins que d'habitude, entre le travail, l'intendance, et les enfants dont il faut bien s'occuper.

Défi 1, Un livre d'un auteur autrichien : Marie-Antoinette, Stefan Zweig

Zweig a écrit:le destin, de temps à autre, choisit un héros insignifiant pour montrer que d'une matière fragile il sait tirer le plus intense pathétique, d'une âme faible et indolente la plus haute tragédie. Marie-Antoinette est un des plus beaux exemples de cet héroïsme involontaire.

Le récit de la vie de Marie-Antoinette, de son mariage arrangé avec Louis XVI à son exécution. Le livre est à la fois très instructif et captivant. Il propose une certaine vision de Marie-Antoinette, qui n'est pas forcément la seule valable mais qui s'appuie sur de nombreux documents. Il serait d'ailleurs intéressant d'étudier la part de retranscription fidèle des faits et la part d'invention de l'auteur, notamment quand il s'agit de nous faire entrer dans les pensées de l'héroïne. Si vous voulez en apprendre plus sur cette figure historique et sur le contexte de la fin du XVIIIe, ça me parait un bon moyen de s'instruire.

Verdict : à lire

Ca me tente ! Peut fonctionner pour le défit "femme forte" ?

*Ombre* a écrit:Moi aussi, je suis surprise de constater que je lis moins que d'habitude, entre le travail, l'intendance, et les enfants dont il faut bien s'occuper.

J'aurais pu écrire ceci ! J'espère revenir vite sur le fil mais c'est loin d'être gagné.

Défi 49-Un livre qui mentionne une partie du corps: J'ai lu Ce que tient ta main droite t'appartient de Pascal Manoukian. Après la mort de sa femme enceinte Charlotte, victime d'une attaque terroriste tandis qu'elle discutait avec des amies à une terrasse de bistrot parisien, Karim peine à faire son deuil et à comprendre les dérives de sa religion. Il part alors en Syrie, dans les ruines d'Alep pour se venger des instigateurs de l'attentat mais aussi comprendre comment Daech embrigade les âmes égarées.
C'est un livre très dur car réaliste; l'auteur est journaliste et retrace très bien l'engrenage qui mène à l'embrigadement, sans pathos ni sensationnalisme. Il faut un peu de temps avant de pouvoir se remettre de cette lecture.

Défi 35-Un livre traduit de l'hébreu: Le garçon qui voulait dormir de Aharon Appelfeld dont certains ont déjà parlé. Cette quête d'identité, en grande partie autobiographique,m'a peu touchée, certainement en raison de ma précédente lecture. Le style est poétique, mêlant onirisme et réalité et je reconnais le talent littéraire. Peut-être dans un autre contexte. Parfois une rencontre se fait au mauvais moment...

AsarteLilith a écrit:Ca me tente ! Peut fonctionner pour le défit "femme forte" ?

Je le pense.

AsarteLilith a écrit:Ca me tente ! Peut fonctionner pour le défit "femme forte" ?

Oui, clairement.

Comment trouvez vous vos lectures ? Pour ma part, c'est un mélange de hasard et de ce que j'ai dans ma bibliothèque

AsarteLilith a écrit:Comment trouvez vous vos lectures ? Pour ma part, c'est un mélange de hasard et de ce que j'ai dans ma bibliothèque

Je puise dans ma bibliothèque personnelle qui, heureusement, est bien fournie (je pense en avoir pour jusqu'à la fin de mes jours!). Je privilégie les découvertes littéraires mais j'aime bien relire certaines œuvres. Difficile d'imaginer les librairies et médiathèques fermées encore un moment. Je me refuse à commander un livre par internet.
Pour lé défi, j'aime bien l'idée de devoir faire avec ce qu'on a sous la main, de puiser dans des ressources qu'on avait oubliées et qu'on redécouvre, avec joie, au détour d'une étagère ou au fond d'un carton.

Pour l'instant, je puise dans ma PAL conséquente : environ 80 ouvrages en attente, dont des Pléaide.
Je peux aussi puiser dans notre bibliothèque qui est bien fournie (livres de mon compagnon, livres "hérités"...).
L'objectif est de diminuer la PAL et j'ai promis à ma libraire de passer une grosse commande à sa réouverture, je privilégierais les petites maisons d'éditions. Je crains que cette crise les fragilise.

AsarteLilith a écrit:Comment trouvez vous vos lectures ? Pour ma part, c'est un mélange de hasard et de ce que j'ai dans ma bibliothèque

J'ai encore un petit stock de la bibliothèque du coin (j'avais fait le plein juste la veille de l'annonce de la fermeture). De toutes façons, j'ai tellement peu de temps pour lire...

Pour le défi 13 : un livre qui évoque la chance ou la malchance, j'ai lu Le maître du haut château de Philip K Dick.
Il s'agit d'une uchronie qui décrit un monde dans lequel l'Allemagne nazie et le Japon ont gagné la deuxième guerre mondiale et se partagent le monde (et notamment les Etats-Unis). L'idée de départ m'a emballée mais je n'ai pas accroché au roman qui ne démarre jamais vraiment et qui n'exploite pas autant que je l'attendais le pitch de départ.
J'ai commencé la série il y a quelques semaines (j'ai un peu de mal à accrocher d'ailleurs). Le livre est très différent. J'ai été gênée par les trop nombreux passages en italique (quasiment la moitié du texte) qui sont des incursions dans l'esprit des personnages mais qui gênent la lecture.
Je ne savais pas trop où caser ce roman alors j'ai choisi cet item car au centre du texte il y a le recours incessant à un petit ouvrage chinois, le Yi King, qui permet d'obtenir par tirage des oracles en interprétant des hexagrammes : cela permet ainsi de savoir si la chance est avec soi ou pas.

Ouiiii ! Joli point de vue ! Je l'ai lu aussi et, sans avoir vu la série, j'ai eu le même problème que toi !

Pour le défi n°37 (Un livre qui évoque l'idée de bonheur), j'ai lu Pensées pour moi-même de Marc Aurèle. Le livre est constitué de fragments, d'aphorismes parfois, que l'empereur philosophe s'adresse à lui-même afin d'améliorer sa conduite quotidienne et tendre vers une idée du bonheur empreinte de stoïcisme.

Quelques extraits:

" Jette donc tout, ne garde que ce peu de chose. Et encore souviens-toi que chacun ne vit que dans l'instant présent, dans le moment; le reste, c'est le passé ou un obscur avenir. Petite est donc l'étendue de la vie; petit, le coin de terre où l'on vit; petite, la plus longue renommée dans la postérité […]"

" Si tu t'engages en outre à ne rien attendre et à ne rien fuir, mais à te contenter de l'action présente, quand elle est conforme à la nature, et d'une franchise héroïque dans ton langage et tes paroles, tu vivras heureux.

Enfin, une petite sentence qui résonne bien avec l'actualité:

" Ils se cherchent des retraites, maisons de campagne, plages ou montagne; et toi aussi, tu prends l'habitude de désirer fortement des choses de ce genre. Voilà qui est absolument vulgaire, puisqu'il t'est loisible de faire retraite en toi-même à l'heure que tu voudras."

De nombreux passages à méditer pour la sagesse qu'ils diffusent mais un peu répétitifs toutefois.

Bonjour à tous,
il me reste un sac de livres de médiathèque (empruntés suite à vos idées, vous les verrez bientôt paraître ici) et des livres non lus de ma bibliothèque personnelle pour quelques mois encore. Donc tout va bien.
Pour le défi n°34, titre sans -e, j'ai lu Globalia de Jean-Christophe Rufin. Auteur que j'apprécie, genre que je n'aime pas trop (dystopie), après un début un peu difficile, j'ai bien aimé sa manière d'envisager une société futuriste. Les jeunes y sont méprisés, seul compte le grand âge, la consommation, l'obsolescence programmée des machines, la chirurgie esthétique, l'artificiel. Les livres sont bien sûr dangereux comme toute forme d'enseignement, le passé n'existe pas, etc...
"La sécurité, c'est la liberté. La sécurité, c'est la protection. La protection, c'est la surveillance. La surveillance, c'est la liberté. La protection, ce sont les limites. Les limites, c'est la liberté." Cette merveilleuse société bien nommée Globalia recouvre la majorité du globe, mais pas sa totalité. Elle est préservée des "non-zones" par des bulles entièrement étanches que Baïkal et Kate rêvent de franchir pour découvrir ce qui se cache derrière ce décor qui ne les a jamais fait rêver.
Un livre que je n'aurais pas eu entre les mains sans le programme de 3e (et que je n'aurais sans doute pas pris le temps de lire hors confinement), une découverte intéressante. Conviendrait aussi pour le défi sur le bonheur puisque Globalia veut évidemment le bonheur de ses citoyens, bonheur entièrement normalisé, qui doit être le même pour tous, oeillères offertes.
Je décale donc Rainbow pour Rimbaud que j'avais d'abord placé dans ce défi au numéro 10 "livre dont l'histoire se passe sur plusieurs continents" puisque les personnages suivent Rimbaud de Charleville en Egypte, en passant par Paris....

AsarteLilith a écrit:Comment trouvez vous vos lectures ? Pour ma part, c'est un mélange de hasard et de ce que j'ai dans ma bibliothèque

Idem ; il y a ma PAL (environ 40 livres en attente) et en dehors du confinement, je prends des livres à la médiathèque (en me laissant guider par mes envies) et à ma librairie d'occasion.


Lecture pour le défi 28 (Femmes fortes) : Le vol du paon mène à Lhassa d'Elodie Bernard.
Durant l'été 2008, Elodie Bernard, 24 ans, est partie seule, sans autorisation, à la découverte de Lhassa et du Tibet. Ce livre raconte son récit de voyage, ses rencontres.

Mon avis : le bilan est mitigé. J'ai beaucoup aimé la description de la région du Tibet, la façon dont elle a travaillé, les portraits des Tibétains et des Chinois qu'elle a rencontré, les rues, les fêtes... Son parcours, son audace, forcent l'admiration. Certains passages, où elle décrit la religion bouddhiste de manière très détaillée ou l'histoire du Tibet, m'ont paru moins intéressants.

J'ai choisi la catégorie Femmes fortes non seulement pour l'autrice mais aussi pour plusieurs femmes qu'elle rencontre durant son périple.

AsarteLilith a écrit:Comment trouvez vous vos lectures ? Pour ma part, c'est un mélange de hasard et de ce que j'ai dans ma bibliothèque

Moi aussi, je pioche dans ma bibliothèque personnelle où s'accumulent trop de livres jamais lus. Avant même le confinement, je m'étais fait mon défi dans le défi de chercher avant tout à puiser dans cette réserve.
De toute façon, pour l'instant, entre le boulot, l'intendance et les enfants (vérifier leur travail mais aussi leur consacrer du temps, tout simplement), je lis bien moins.

Idem pour moi, sans enfants toutefois