La mairie de Puteaux offre des cartables roses pour les filles et bleus pour les garçons...

ysabel a écrit:Il y a du lourd ici !

Spoiler:

Reine Margot a écrit:

ysabel a écrit:Il y a du lourd ici !

A moin avis ça doit être

Spoiler:

Dimka a écrit:

fracflo a écrit:Je repose aux hommes ma question, et j'en resterai là : pourriez-vous sans horreur tirer sur une femme soldat? Le reste n'est que bavardages...

Non. Personne ne peut tirer sans horreur sur le moindre être humain, hormis quelques cas pathologiques, et il se trouve qu’une femme, aussi soldate soit-elle, appartient au genre humain.

Vous papotez sur la guerre et l’horreur comme on le ferait de la météo ou de la couleur de la future salle de bain, c’est pitoyable, vous n’y connaissez RIEN, vous ne savez même pas ce que ça signifie, « tirer » sur un être humain, de près ou de loin. Vous ne savez pas, vous n’avez jamais vu : les hommes qui reviennent de la guerre en reviennent fous, je l’ai vu dans un autre pays où la guerre n’est pas encore tout à fait technologique, ils deviennent clodos, violents, bandits, ils hurlent la nuit, ils n’arrivent pas à se réintégrer… Je connais un type qui était une loque, avant de se jeter sous un train : tout sauf un idéal humain. L’homme n’a aucun désir de conquête ou de violence, vous parlez d’instinct, comme s’il était aussi simple et évident pour un homme de tuer que pour une femme de faire un enfant : il n’y a que les petits coqs comme Soral pour penser cela, ceux qui fréquentent les salons et les plateaux télé, qui baratinent là-dessus en se prenant pour des hommes, alors qu’ils ne le sont ni selon leurs valeurs, ni selon celles de l’humanisme, ceux qui la chantent bien au chaud depuis leur canapé. Les guerres sont décidées par des élites qui ne les font pas, ou dans le passé qui étaient façonnées dès l’enfance pour en supporter l’horreur. Vous sauriez, vous ne poseriez pas naïvement si on peut tirer sans horreur sur une femme, vous ne feriez pas de la rhétorique comme cela, parce que vous sauriez qu’on ne peut pas tuer un homme sans horreur.

Herrelis a écrit:Dimka, copiteur, j'avais dit la même chose avant mais heu... personne ne m'écoute :'(

Je repose aux hommes ma question, et j'en resterai là : pourriez-vous sans horreur tirer sur une femme soldat? Le reste n'est que bavardages...

Cincinnata a écrit:

Herrelis a écrit:Dimka, copiteur, j'avais dit la même chose avant mais heu... personne ne m'écoute :'(

Mais si mais si (il n'y a pas de smiley qui fait pat pat pat sur la tête d'un autre) :lol:

Herrelis a écrit:

Cincinnata a écrit:

Herrelis a écrit:Dimka, copiteur, j'avais dit la même chose avant mais heu... personne ne m'écoute :'(

Mais si mais si (il n'y a pas de smiley qui fait pat pat pat sur la tête d'un autre) :lol:

*se mouche bruyamment* on dit çaaaaaaa
Vous croyez que les femmes soldats elles ont des boobsplate, comme dans les jeux vidéo, pour qu'on boit bien de loin que ce sont des femmes?

Will.T a écrit:

fracflo a écrit:

S'agissant de l'éducation des enfants, il y a chez 90% des femmes comme un désir presque irrépressible d'enfanter et de materner. C'est ce qu'on appelle l'instinct maternel. Oserez-vous soutenir que c'est l'éducation qui forme ce désir et qu'il ne vient pas du plus profond de leur être?
 

fracflo a écrit:Dans certains pays, les femmes sont autorisées à se battre sur le front.
Qui ne pourrait, sans horreur, tirer sur l'une d'elles?
Est-ce cela, l'identité des hommes et des femmes?

Dimka a écrit:

fracflo a écrit:Je repose aux hommes ma question, et j'en resterai là : pourriez-vous sans horreur tirer sur une femme soldat? Le reste n'est que bavardages...

Non. Personne ne peut tirer sans horreur sur le moindre être humain, hormis quelques cas pathologiques, et il se trouve qu’une femme, aussi soldate soit-elle, appartient au genre humain.

Will.T a écrit:

Anémone a toujours senti que les enfants ne seraient pas compatibles avec son tempérament solitaire. Elle regrette aussi qu’ils l’aient empêchée de se laisser dévorer par le cinéma, sa seule passion.

Finalement, elle a eu deux enfants. Après trois avortements (dont deux dans de mauvaises conditions), la jeune femme issue d’une famille bourgeoise et catho, a été prise d’une « vague peur d’un châtiment divin ». Sans y penser, elle a laissé passer le terme au cours duquel il est possible d’avorter.

« Je me suis fait un enfant dans le dos. »

Ensuite elle a trouvé un père adoptif. Un type bien qui voulait un autre enfant à lui, une fille idéalement. Elle a obtempéré.

Cela n’a pas aidé : les mecs de sa génération, qui ont 70 ans aujourd’hui, n’en foutaient pas une. Anémone dit qu’elle est de la génération de la « double journée » et que ses enfants lui ont « bouffé la moelle épinière ».

« Faut compter vingt ans. Après le bébé tout rond, il y a l’enfant qui devient osseux et qu’il faut inscrire et emmener à des petits cours de tout et n’importe quoi. C’est usant, la vie file et ce n’est plus la vôtre. »

fracflo a écrit:"]Dans certains pays, les femmes sont autorisées à se battre sur le front.
Qui ne pourrait, sans horreur, tirer sur l'une d'elles?
Est-ce cela, l'identité des hommes et des femmes?

Sphinx a écrit:

fracflo a écrit:

S'agissant de l'éducation des enfants, il y a chez 90% des femmes comme un désir presque irrépressible d'enfanter et de materner. C'est ce qu'on appelle l'instinct maternel. Oserez-vous soutenir que c'est l'éducation qui forme ce désir et qu'il ne vient pas du plus profond de leur être?
 

Hihihi, hohoho  

Tristana a écrit:
Tiens, au sujet de l'instinct maternel...

Anémone a toujours senti que les enfants ne seraient pas compatibles avec son tempérament solitaire. Elle regrette aussi qu’ils l’aient empêchée de se laisser dévorer par le cinéma, sa seule passion.

Finalement, elle a eu deux enfants. Après trois avortements (dont deux dans de mauvaises conditions), la jeune femme issue d’une famille bourgeoise et catho, a été prise d’une « vague peur d’un châtiment divin ». Sans y penser, elle a laissé passer le terme au cours duquel il est possible d’avorter.

« Je me suis fait un enfant dans le dos. »

Ensuite elle a trouvé un père adoptif. Un type bien qui voulait un autre enfant à lui, une fille idéalement. Elle a obtempéré.

Cela n’a pas aidé : les mecs de sa génération, qui ont 70 ans aujourd’hui, n’en foutaient pas une. Anémone dit qu’elle est de la génération de la « double journée » et que ses enfants lui ont « bouffé la moelle épinière ».

« Faut compter vingt ans. Après le bébé tout rond, il y a l’enfant qui devient osseux et qu’il faut inscrire et emmener à des petits cours de tout et n’importe quoi. C’est usant, la vie file et ce n’est plus la vôtre. »

http://rue89.nouvelobs.com/2014/08/31/etre-mere-regretter-suis-fait-enfant-dos-254480

« Si j’aurais su… » est un strip dessiné par Julie Guillot sur son blog « Tout va mieux ». Elle y aborde un sujet encore trop souvent considéré comme tabou : les femmes qui ne veulent pas avoir d’enfants.

Herrelis a écrit:Il y a une forte pression sociale sur les femmes qui ne veulent pas d'enfants. Elles sont souvent traitées comme si elles étaient anormales et en parias. C'est bien connu, pour s'épanouir, rien de tel que la maternité! On est combien ici à l'avoir entendu? (et combien à s'être dit qu'on avait dû louper un épisode niveau épanouissement?). Pour certaines femmes c'est naturel, c'est une évidence, mais pas pour toutes. Elles n'en restent pas moins femmes!

@Cincinnata : et avec le bikini en mailles, on a full combo... là personne en face n'osera les frapper! *fervente partisane des armures réalistes pour femmes dans les jeux vidéos. Passe son temps à moder certains jeux pour ça alors que d'autres les modent pour les avoir à pwoual*