Le déroutant sujet de philo au concours de Normale sup : "expliquer".

Aenésidème a écrit:

Dalathée2 a écrit: la femme (on rejoint le fantasme)

En flag de sexisme ?

Fuseler : les jambes, la taille, la femme (on rejoint le fantasme)

Botchan a écrit:Fuseler? Des idées?

JPhMM a écrit:

Botchan a écrit:Deuxième essai: "Lyncher", c'est déjà plus porteur.

Ça je sais.

PauvreYorick a écrit:

Cripure a écrit:

Dalathée2 a écrit:J'attends le suet de philo qui sera : "La philosophie". Ce serait rigolo de voir les correcteurs et correctrices s'empoigner autour de la définition de leur matière.

Y a-t-il des profs de philo qui tentent de définir leur discipline ? Ca doit bien prendre l'année entière, non ?

Ou cinq minutes, autoritairement

Dalathée2 a écrit:

JPhMM a écrit:

Botchan a écrit:Deuxième essai: "Lyncher", c'est déjà plus porteur.

Ça je sais.

Quel copieur !

Ascagne a écrit:Je pense que j'aurais préféré tomber sur ce sujet, plutôt que sur le punitif "Pourquoi punir ?" que j'ai eu "dans l'temps".

Botchan a écrit:Fuseler? Des idées?

Cripure a écrit:

Botchan a écrit:Fuseler? Des idées?

De tous temps, les princesses se sont piquées les mains sur des fuseaux et c'est pourquoi nous zalons nous demander si les princesses sont-elles bonnes ?

Cripure a écrit:

Botchan a écrit:Fuseler? Des idées?

De tous temps, les princesses se sont piquées les mains sur des fuseaux et c'est pourquoi nous zalons nous demander si les princesses sont-elles bonnes ?

JPhMM a écrit:

Cripure a écrit:

Botchan a écrit:Fuseler? Des idées?

De tous temps, les princesses se sont piquées les mains sur des fuseaux et c'est pourquoi nous zalons nous demander si les princesses sont-elles bonnes ?

A ne pas confondre avec ficeler.

— Vous travaillez ici depuis longtemps ?
Je m'empourpre. Pourquoi donc a-t’il cet effet sur moi ? J'ai l'impression d'être une godiche de quatorze ans. Regarde devant toi, Steele !
— Quatre ans.
Je lui montre les deux largeurs de gros scotch que nous avons en stock.
— Celui-ci, dit Grey d'une voix douce en désignant le plus large.
Quand je le lui remets, nos doigts s'effleurent très brièvement. Une fois de plus, un courant me traverse comme si j'avais touché un fil électrique, pour me parcourir le corps jusqu'au ventre. Je m'efforce désespérément de reprendre pied.
— Ce sera tout ?
J'ai la voix rauque et haletante. Ses yeux s'agrandissent légèrement.
— Il me faudrait aussi de la corde.
Sa voix est aussi rauque que la mienne.
— Par ici.
Je baisse la tête pour dissimuler mon visage empourpré.
— Vous cherchez quoi, au juste ? Fibre synthétique, naturelle ? De la ficelle, des câbles ?
Je me tais en voyant son expression, ses yeux qui s'assombrissent... Oh la vache.
— Je prendrai cinq mètres de corde en fibre naturelle.
Rapidement, les doigts tremblants, je mesure la corde au mètre sous son regard gris brûlant. [...]
— Vous étiez scoute quand vous étiez petite ? me demande-t-il, ses lèvres ourlées et sensuelles retroussées par un sourire.
Ne regarde pas sa bouche !
— Les activités de groupe, ça n'est pas mon truc, monsieur Grey.
Il hausse un sourcil.
— Et c'est quoi, votre truc, Anastasia ? me demande-t-il d'une voix douce, avec, de nouveau, son sourire « secret ».
Aucun son ne sort de ma bouche. Je vacille sur des plaques tectoniques en mouvement.

Dalathée2 a écrit:

JPhMM a écrit:

Cripure a écrit:
De tous temps, les princesses se sont piquées les mains sur des fuseaux et c'est pourquoi nous zalons nous demander si les princesses sont-elles bonnes ?

A ne pas confondre avec ficeler.

Non, ça, c'est Christian Grey.

— Vous travaillez ici depuis longtemps ?
Je m'empourpre. Pourquoi donc a-t’il cet effet sur moi ? J'ai l'impression d'être une godiche de quatorze ans. Regarde devant toi, Steele !
— Quatre ans.
Je lui montre les deux largeurs de gros scotch que nous avons en stock.
— Celui-ci, dit Grey d'une voix douce en désignant le plus large.
Quand je le lui remets, nos doigts s'effleurent très brièvement. Une fois de plus, un courant me traverse comme si j'avais touché un fil électrique, pour me parcourir le corps jusqu'au ventre. Je m'efforce désespérément de reprendre pied.
— Ce sera tout ?
J'ai la voix rauque et haletante. Ses yeux s'agrandissent légèrement.
— Il me faudrait aussi de la corde.
Sa voix est aussi rauque que la mienne.
— Par ici.
Je baisse la tête pour dissimuler mon visage empourpré.
— Vous cherchez quoi, au juste ? Fibre synthétique, naturelle ? De la ficelle, des câbles ?
Je me tais en voyant son expression, ses yeux qui s'assombrissent... Oh la vache.
— Je prendrai cinq mètres de corde en fibre naturelle.
Rapidement, les doigts tremblants, je mesure la corde au mètre sous son regard gris brûlant. [...]
— Vous étiez scoute quand vous étiez petite ? me demande-t-il, ses lèvres ourlées et sensuelles retroussées par un sourire.
Ne regarde pas sa bouche !
— Les activités de groupe, ça n'est pas mon truc, monsieur Grey.
Il hausse un sourcil.
— Et c'est quoi, votre truc, Anastasia ? me demande-t-il d'une voix douce, avec, de nouveau, son sourire « secret ».
Aucun son ne sort de ma bouche. Je vacille sur des plaques tectoniques en mouvement.

Partir du sujet de l'ENS pour arriver à Christian Grey, y'a pas à dire, ça mène à tout la philo.

PauvreYorick a écrit:

Dalathée2 a écrit:

JPhMM a écrit:
A ne pas confondre avec ficeler.

Non, ça, c'est Christian Grey.

— Vous travaillez ici depuis longtemps ?
Je m'empourpre. Pourquoi donc a-t’il cet effet sur moi ? J'ai l'impression d'être une godiche de quatorze ans. Regarde devant toi, Steele !
— Quatre ans.
Je lui montre les deux largeurs de gros scotch que nous avons en stock.
— Celui-ci, dit Grey d'une voix douce en désignant le plus large.
Quand je le lui remets, nos doigts s'effleurent très brièvement. Une fois de plus, un courant me traverse comme si j'avais touché un fil électrique, pour me parcourir le corps jusqu'au ventre. Je m'efforce désespérément de reprendre pied.
— Ce sera tout ?
J'ai la voix rauque et haletante. Ses yeux s'agrandissent légèrement.
— Il me faudrait aussi de la corde.
Sa voix est aussi rauque que la mienne.
— Par ici.
Je baisse la tête pour dissimuler mon visage empourpré.
— Vous cherchez quoi, au juste ? Fibre synthétique, naturelle ? De la ficelle, des câbles ?
Je me tais en voyant son expression, ses yeux qui s'assombrissent... Oh la vache.
— Je prendrai cinq mètres de corde en fibre naturelle.
Rapidement, les doigts tremblants, je mesure la corde au mètre sous son regard gris brûlant. [...]
— Vous étiez scoute quand vous étiez petite ? me demande-t-il, ses lèvres ourlées et sensuelles retroussées par un sourire.
Ne regarde pas sa bouche !
— Les activités de groupe, ça n'est pas mon truc, monsieur Grey.
Il hausse un sourcil.
— Et c'est quoi, votre truc, Anastasia ? me demande-t-il d'une voix douce, avec, de nouveau, son sourire « secret ».
Aucun son ne sort de ma bouche. Je vacille sur des plaques tectoniques en mouvement.

Partir du sujet de l'ENS pour arriver à Christian Grey, y'a pas à dire, ça mène à tout la philo.

Ouais bon. On aurait pu avec tout autant d'à propos atterrir sur Justin Bridou.

PauvreYorick a écrit:

Dalathée2 a écrit:

JPhMM a écrit:
A ne pas confondre avec ficeler.

Non, ça, c'est Christian Grey.

— Vous travaillez ici depuis longtemps ?
Je m'empourpre. Pourquoi donc a-t’il cet effet sur moi ? J'ai l'impression d'être une godiche de quatorze ans. Regarde devant toi, Steele !
— Quatre ans.
Je lui montre les deux largeurs de gros scotch que nous avons en stock.
— Celui-ci, dit Grey d'une voix douce en désignant le plus large.
Quand je le lui remets, nos doigts s'effleurent très brièvement. Une fois de plus, un courant me traverse comme si j'avais touché un fil électrique, pour me parcourir le corps jusqu'au ventre. Je m'efforce désespérément de reprendre pied.
— Ce sera tout ?
J'ai la voix rauque et haletante. Ses yeux s'agrandissent légèrement.
— Il me faudrait aussi de la corde.
Sa voix est aussi rauque que la mienne.
— Par ici.
Je baisse la tête pour dissimuler mon visage empourpré.
— Vous cherchez quoi, au juste ? Fibre synthétique, naturelle ? De la ficelle, des câbles ?
Je me tais en voyant son expression, ses yeux qui s'assombrissent... Oh la vache.
— Je prendrai cinq mètres de corde en fibre naturelle.
Rapidement, les doigts tremblants, je mesure la corde au mètre sous son regard gris brûlant. [...]
— Vous étiez scoute quand vous étiez petite ? me demande-t-il, ses lèvres ourlées et sensuelles retroussées par un sourire.
Ne regarde pas sa bouche !
— Les activités de groupe, ça n'est pas mon truc, monsieur Grey.
Il hausse un sourcil.
— Et c'est quoi, votre truc, Anastasia ? me demande-t-il d'une voix douce, avec, de nouveau, son sourire « secret ».
Aucun son ne sort de ma bouche. Je vacille sur des plaques tectoniques en mouvement.

Partir du sujet de l'ENS pour arriver à Christian Grey, y'a pas à dire, ça mène à tout la philo.

Ouais bon. On aurait pu avec tout autant d'à propos atterrir sur Justin Bridou.

Dalathée2 a écrit:

JPhMM a écrit:

Cripure a écrit:
De tous temps, les princesses se sont piquées les mains sur des fuseaux et c'est pourquoi nous zalons nous demander si les princesses sont-elles bonnes ?

A ne pas confondre avec ficeler.

Non, ça, c'est Christian Grey.

— Vous travaillez ici depuis longtemps ?
Je m'empourpre. Pourquoi donc a-t’il cet effet sur moi ? J'ai l'impression d'être une godiche de quatorze ans. Regarde devant toi, Steele !
— Quatre ans.
Je lui montre les deux largeurs de gros scotch que nous avons en stock.
— Celui-ci, dit Grey d'une voix douce en désignant le plus large.
Quand je le lui remets, nos doigts s'effleurent très brièvement. Une fois de plus, un courant me traverse comme si j'avais touché un fil électrique, pour me parcourir le corps jusqu'au ventre. Je m'efforce désespérément de reprendre pied.
— Ce sera tout ?
J'ai la voix rauque et haletante. Ses yeux s'agrandissent légèrement.
— Il me faudrait aussi de la corde.
Sa voix est aussi rauque que la mienne.
— Par ici.
Je baisse la tête pour dissimuler mon visage empourpré.
— Vous cherchez quoi, au juste ? Fibre synthétique, naturelle ? De la ficelle, des câbles ?
Je me tais en voyant son expression, ses yeux qui s'assombrissent... Oh la vache.
— Je prendrai cinq mètres de corde en fibre naturelle.
Rapidement, les doigts tremblants, je mesure la corde au mètre sous son regard gris brûlant. [...]
— Vous étiez scoute quand vous étiez petite ? me demande-t-il, ses lèvres ourlées et sensuelles retroussées par un sourire.
Ne regarde pas sa bouche !
— Les activités de groupe, ça n'est pas mon truc, monsieur Grey.
Il hausse un sourcil.
— Et c'est quoi, votre truc, Anastasia ? me demande-t-il d'une voix douce, avec, de nouveau, son sourire « secret ».
Aucun son ne sort de ma bouche. Je vacille sur des plaques tectoniques en mouvement.

Partir du sujet de l'ENS pour arriver à Christian Grey, y'a pas à dire, ça mène à tout la philo.

PauvreYorick a écrit:

Dalathée2 a écrit:

JPhMM a écrit:
A ne pas confondre avec ficeler.

Non, ça, c'est Christian Grey.

— Vous travaillez ici depuis longtemps ?
Je m'empourpre. Pourquoi donc a-t’il cet effet sur moi ? J'ai l'impression d'être une godiche de quatorze ans. Regarde devant toi, Steele !
— Quatre ans.
Je lui montre les deux largeurs de gros scotch que nous avons en stock.
— Celui-ci, dit Grey d'une voix douce en désignant le plus large.
Quand je le lui remets, nos doigts s'effleurent très brièvement. Une fois de plus, un courant me traverse comme si j'avais touché un fil électrique, pour me parcourir le corps jusqu'au ventre. Je m'efforce désespérément de reprendre pied.
— Ce sera tout ?
J'ai la voix rauque et haletante. Ses yeux s'agrandissent légèrement.
— Il me faudrait aussi de la corde.
Sa voix est aussi rauque que la mienne.
— Par ici.
Je baisse la tête pour dissimuler mon visage empourpré.
— Vous cherchez quoi, au juste ? Fibre synthétique, naturelle ? De la ficelle, des câbles ?
Je me tais en voyant son expression, ses yeux qui s'assombrissent... Oh la vache.
— Je prendrai cinq mètres de corde en fibre naturelle.
Rapidement, les doigts tremblants, je mesure la corde au mètre sous son regard gris brûlant. [...]
— Vous étiez scoute quand vous étiez petite ? me demande-t-il, ses lèvres ourlées et sensuelles retroussées par un sourire.
Ne regarde pas sa bouche !
— Les activités de groupe, ça n'est pas mon truc, monsieur Grey.
Il hausse un sourcil.
— Et c'est quoi, votre truc, Anastasia ? me demande-t-il d'une voix douce, avec, de nouveau, son sourire « secret ».
Aucun son ne sort de ma bouche. Je vacille sur des plaques tectoniques en mouvement.

Partir du sujet de l'ENS pour arriver à Christian Grey, y'a pas à dire, ça mène à tout la philo.

Ouais bon. On aurait pu avec tout autant d'à propos atterrir sur Justin Bridou.

Audrey a écrit:Alors, la pensée est-elle plus forte que l'acte?

Spoiler:

Audrey a écrit: Tout le monde regarde "la philo selon Philippe", c'est ça? ;-)