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- gauvain31Empereur
Une institutrice de Graulhet a fait un malaise suite à un entretien à la DASEN. Un mouvement de grève a été décidé pour le 21 novembre pour dénoncer de façon générale " le mépris de la hiérarchie" :
Extrait :
La suite ici :
https://www.letarnlibre.com/linstitutrice-graulhetoise-seffondre-au-pied-de-la-dsden-apres-un-entretien-appel-a-la-greve-et-au-rassemblement-le-21-novembre-a-albi/
Extrait :
Le Tarn Libre a écrit:“Une collègue de l’école Victor-Hugo de Graulhet a été reçue pendant 1h30, mercredi après-midi, en entretien à la DSDEN par l’ensemble des chef·fe·s (DASEN, IEN A, Secrétaire Générale, IEN), accompagnée par deux représentant·e·s de la FSU-SNUipp. L’entretien a été d’une dureté assez rare et extrêmement éprouvant, à tel point qu’en sortant de celui-ci, cette collègue a eu de plus en plus de mal à respirer jusqu’à s’effondrer au pied des marches de la DSDEN”, explique l’organisation syndicale avant de poursuivre : “les pompier·ère·s ont dû la stabiliser sur place et l’amener aux urgences
La suite ici :
https://www.letarnlibre.com/linstitutrice-graulhetoise-seffondre-au-pied-de-la-dsden-apres-un-entretien-appel-a-la-greve-et-au-rassemblement-le-21-novembre-a-albi/
- nonoHabitué du forum
J'espère que cette collègue va vite se remettre.gauvain31 a écrit:Une institutrice de Graulhet a fait un malaise suite à un entretien à la DASEN. Un mouvement de grève a été décidé pour le 21 novembre pour dénoncer de façon générale " le mépris de la hiérarchie" :
Extrait :Le Tarn Libre a écrit:“Une collègue de l’école Victor-Hugo de Graulhet a été reçue pendant 1h30, mercredi après-midi, en entretien à la DSDEN par l’ensemble des chef·fe·s (DASEN, IEN A, Secrétaire Générale, IEN), accompagnée par deux représentant·e·s de la FSU-SNUipp. L’entretien a été d’une dureté assez rare et extrêmement éprouvant, à tel point qu’en sortant de celui-ci, cette collègue a eu de plus en plus de mal à respirer jusqu’à s’effondrer au pied des marches de la DSDEN”, explique l’organisation syndicale avant de poursuivre : “les pompier·ère·s ont dû la stabiliser sur place et l’amener aux urgences
La suite ici :
https://www.letarnlibre.com/linstitutrice-graulhetoise-seffondre-au-pied-de-la-dsden-apres-un-entretien-appel-a-la-greve-et-au-rassemblement-le-21-novembre-a-albi/
On n'a aucune information sur les raisons de cet "entretien". Mais quelles qu'en soient les raisons, rien ne justifie une telle violence.
C'est tout simplement scandaleux !
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Prof en LP
- EdithWGrand sage
De tout cœur avec cette collègue. Il faut rappeler encore et encore qu’il y a des consultations de souffrance au travail, une centaine en France, dont les personnels (juristes, psy…) sont formés à l’écoute et au soutien sur ce genre de situation qui peut s’apparenter à du harcèlement voire être considérée comme un accident du travail. Encore heureux qu’elle ait été accompagnée… vu le résultat, si elle avait été seule
- 288Niveau 10
L'article ne fait que relayer les propos syndicaux. Espérons que cette collègue soit accompagnée au mieux, sur le plan de la santé comme sur le plan professionnel. Pour être reçue par l'ensemble de la direction académique, sa situation devait être grave...
- VerduretteModérateur
Il n'y a décidément pas que les élèves qui ont besoin de cours d'empathie.
Heureusement que cette collègue était accompagnée. J'espère d'abord qu'elle va mieux.
Nous ne connaissons pas les motivations de cette convocation, donc ne conjecturons pas mais souvenons-nous de notre collègue Jean Willot qui aurait pu affronter pareil entretien suite aux propos abusifs d'une mère de famille, s'il n'avait pas mis fin à ses jours devant tant d'injustice.
Heureusement que cette collègue était accompagnée. J'espère d'abord qu'elle va mieux.
Nous ne connaissons pas les motivations de cette convocation, donc ne conjecturons pas mais souvenons-nous de notre collègue Jean Willot qui aurait pu affronter pareil entretien suite aux propos abusifs d'une mère de famille, s'il n'avait pas mis fin à ses jours devant tant d'injustice.
- nonoHabitué du forum
+1Verdurette a écrit:Il n'y a décidément pas que les élèves qui ont besoin de cours d'empathie.
Heureusement que cette collègue était accompagnée. J'espère d'abord qu'elle va mieux.
Nous ne connaissons pas les motivations de cette convocation, donc ne conjecturons pas mais souvenons-nous de notre collègue Jean Willot qui aurait pu affronter pareil entretien suite aux propos abusifs d'une mère de famille, s'il n'avait pas mis fin à ses jours devant tant d'injustice.
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Prof en LP
- ZoéNiveau 5
Certes, nous ne connaissons pas les motifs de la convocation mais n'a-t-on aucune expérience de cette hiérarchie pour écrire "ne conjecturons pas" aussi facilement?
Personne ne devrait se sentir à ce point abandonné, voire massacré, par une hiérarchie pour avoir exercé un métier devenu tellement difficile et conflictuel que plus personne ne s'y risque...
Personne ne devrait se sentir à ce point abandonné, voire massacré, par une hiérarchie pour avoir exercé un métier devenu tellement difficile et conflictuel que plus personne ne s'y risque...
- VerduretteModérateur
Ne conjecturons pas sur les motifs, je pense que ma phrase est claire. Cela dit, quels que soient les motifs, je suis bien d'accord, il n'est pas admissible de traiter les gens de la sorte, et c'est ce que sous-entendait mon allusion à jean Willot. Je ne me suis pas remise de ce qui lui est arrivé.
J'ai aussi remarqué une chose, mais j'insiste sur le fait que mon vécu (c'est tout de même arrivé trois fois dans des lieux différents) n'en fait pas une vérité générale : j'ai vu des collègues démolis pour une broutille, alors que d'autres réellement responsables de faits graves (harcèlement sexuel sur parents d'élèves et collègues, maltraitance sur enfants en maternelle) s'en tiraient sans trop de soucis.
J'ai aussi remarqué une chose, mais j'insiste sur le fait que mon vécu (c'est tout de même arrivé trois fois dans des lieux différents) n'en fait pas une vérité générale : j'ai vu des collègues démolis pour une broutille, alors que d'autres réellement responsables de faits graves (harcèlement sexuel sur parents d'élèves et collègues, maltraitance sur enfants en maternelle) s'en tiraient sans trop de soucis.
- zigmag17Empereur
Verdurette a écrit:Ne conjecturons pas sur les motifs, je pense que ma phrase est claire. Cela dit, quels que soient les motifs, je suis bien d'accord, il n'est pas admissible de traiter les gens de la sorte, et c'est ce que sous-entendait mon allusion à jean Willot. Je ne me suis pas remise de ce qui lui est arrivé.
J'ai aussi remarqué une chose, mais j'insiste sur le fait que mon vécu (c'est tout de même arrivé trois fois dans des lieux différents) n'en fait pas une vérité générale : j'ai vu des collègues démolis pour une broutille, alors que d'autres réellement responsables de faits graves (harcèlement sexuel sur parents d'élèves et collègues, maltraitance sur enfants en maternelle) s'en tiraient sans trop de soucis.
Peut-être parce que les manipulateurs et prédateurs ont des profils psychologiques et une rhétorique que les gens "normaux" ou sains disons n'ont pas pour se défendre face à des personnes telles que des représentants de l'EN qui viennent réclamer des comptes. Je doute qu"un agresseur se sente facilement démoli par des accusations menées par du personnel de l'EN qui ne doit pas l' impressionner tellement, tandis que la majorité que nous sommes, soucieux de bien faire notre métier avec une conscience et une morale, pouvons culpabiliser facilement et nous laisser enfoncer par des accusations qu'elles soient fondées ou non.
La rhétorique de la manipulation chez des collègues auteurs de faits indignes peut certainement contrer celle des représentants de l'EN .
Se défendre face à une autorité quelconque n'est pas donné à tout le monde et si les gens honnêtes sont démolis pour des broutilles, c'est sûr que les prédateurs sexuels ou autres , que leurs exactions n'empêchent pas de dormir, ne vont pas s'émouvoir pour si peu.
Je pense que le différence est là.
- ZoéNiveau 5
Je suis d'accord avec toi, les réactions sont bien diverses chez les collègues. Mais le métier, devient quand même particulièrement insupportable. Même quelqu'un qui serait fragile ou inexpérimenté, ou je ne sais quoi suggérant qu'un autre resterait quasi imperturbable dans la même situation, ne devrait jamais sortir d'un entretien dans cet état.
C'est l'équation capital humain-pression inhumaine qui me chiffonne.
On est censé gérer l'inclusion, parfois 80% d'une classe en collège, par exemple, qui est "à profil particulier" (donc quadrature du cercle), la violence des élèves et des parents, les multiples injonctions chronophages d'un travail qui se perd dans les modes sociétales, au lieu de favoriser les savoirs fondamentaux, avec le sourire aux lèvres, la réactivité dominicale itou, le petit doigt sur la couture du pantalon, pour un salaire de misère au regard de "la mission", et on n'aurait même pas droit à un peu d'égard et de considération d'une hiérarchie confortablement épargnée par tout ça?
Comme tu le dis, l'horreur des suicides, et des assassinats maintenant, suffiraient à ce que cette hiérarchie nous respecte à défaut de nous valoriser.
C'est l'équation capital humain-pression inhumaine qui me chiffonne.
On est censé gérer l'inclusion, parfois 80% d'une classe en collège, par exemple, qui est "à profil particulier" (donc quadrature du cercle), la violence des élèves et des parents, les multiples injonctions chronophages d'un travail qui se perd dans les modes sociétales, au lieu de favoriser les savoirs fondamentaux, avec le sourire aux lèvres, la réactivité dominicale itou, le petit doigt sur la couture du pantalon, pour un salaire de misère au regard de "la mission", et on n'aurait même pas droit à un peu d'égard et de considération d'une hiérarchie confortablement épargnée par tout ça?
Comme tu le dis, l'horreur des suicides, et des assassinats maintenant, suffiraient à ce que cette hiérarchie nous respecte à défaut de nous valoriser.
- zigmag17Empereur
Zoé a écrit:Je suis d'accord avec toi, les réactions sont bien diverses chez les collègues. Mais le métier, devient quand même particulièrement insupportable. Même quelqu'un qui serait fragile ou inexpérimenté, ou je ne sais quoi suggérant qu'un autre resterait quasi imperturbable dans la même situation, ne devrait jamais sortir d'un entretien dans cet état.
C'est l'équation capital humain-pression inhumaine qui me chiffonne.
On est censé gérer l'inclusion, parfois 80% d'une classe en collège, par exemple, qui est "à profil particulier" (donc quadrature du cercle), la violence des élèves et des parents, les multiples injonctions chronophages d'un travail qui se perd dans les modes sociétales, au lieu de favoriser les savoirs fondamentaux, avec le sourire aux lèvres, la réactivité dominicale itou, le petit doigt sur la couture du pantalon, pour un salaire de misère au regard de "la mission", et on n'aurait même pas droit à un peu d'égard et de considération d'une hiérarchie confortablement épargnée par tout ça?
Comme tu le dis, l'horreur des suicides, et des assassinats maintenant, suffiraient à ce que cette hiérarchie nous respecte à défaut de nous valoriser.
Je suis résolument d'accord avec ça.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Verdurette a écrit:Il n'y a décidément pas que les élèves qui ont besoin de cours d'empathie.
Heureusement que cette collègue était accompagnée. J'espère d'abord qu'elle va mieux.
Nous ne connaissons pas les motivations de cette convocation, donc ne conjecturons pas mais souvenons-nous de notre collègue Jean Willot qui aurait pu affronter pareil entretien suite aux propos abusifs d'une mère de famille, s'il n'avait pas mis fin à ses jours devant tant d'injustice.
Tu as raison. On ne conjecture pas sur les attendus, les origines, les causes.
Le fait n'en demeure pas moins d'une rare brutalité et reste, en lui-même, inadmissible.
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Si tu vales valeo.
- Choup90Niveau 10
Un complément d'informations : https://www.ladepeche.fr/2023/11/20/une-enseignante-jette-un-stylo-sur-un-eleve-les-parents-portent-plainte-laffaire-vire-a-la-polemique-11591810.php
Article à lire : elle n'a pas vraiment jeté le stylo "sur" l'élève, contrairement à ce que dit l'en-tête de l'article que j'ai cité en résumé.
La polémique enfle dans le Tarn, suite au geste d'humeur d'une institutrice, qui a jeté un stylo sur un élève. Les parents ont déposé plainte. Les enseignants dénoncent le manque de soutien de leur hiérarchie. Deux écoles de Graulhet seront en grève ce mardi.
Article à lire : elle n'a pas vraiment jeté le stylo "sur" l'élève, contrairement à ce que dit l'en-tête de l'article que j'ai cité en résumé.
- zigmag17Empereur
Choup90 a écrit:Un complément d'informations : https://www.ladepeche.fr/2023/11/20/une-enseignante-jette-un-stylo-sur-un-eleve-les-parents-portent-plainte-laffaire-vire-a-la-polemique-11591810.php
La polémique enfle dans le Tarn, suite au geste d'humeur d'une institutrice, qui a jeté un stylo sur un élève. Les parents ont déposé plainte. Les enseignants dénoncent le manque de soutien de leur hiérarchie. Deux écoles de Graulhet seront en grève ce mardi.
Article à lire : elle n'a pas vraiment jeté le stylo "sur" l'élève, contrairement à ce que dit l'en-tête de l'article que j'ai cité en résumé.
Edifiant.
Ca continue. Le rappel aux obligations pour les élèves, jamais??? On vit dans un monde horrible. Je me mets à la place de la collègue. Total soutien à elle.
- nonoHabitué du forum
Entièrement d'accord !!!!zigmag17 a écrit:Choup90 a écrit:Un complément d'informations : https://www.ladepeche.fr/2023/11/20/une-enseignante-jette-un-stylo-sur-un-eleve-les-parents-portent-plainte-laffaire-vire-a-la-polemique-11591810.php
La polémique enfle dans le Tarn, suite au geste d'humeur d'une institutrice, qui a jeté un stylo sur un élève. Les parents ont déposé plainte. Les enseignants dénoncent le manque de soutien de leur hiérarchie. Deux écoles de Graulhet seront en grève ce mardi.
Article à lire : elle n'a pas vraiment jeté le stylo "sur" l'élève, contrairement à ce que dit l'en-tête de l'article que j'ai cité en résumé.
Edifiant.
Ca continue. Le rappel aux obligations pour les élèves, jamais??? On vit dans un monde horrible. Je me mets à la place de la collègue. Total soutien à elle.
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Prof en LP
- VerduretteModérateur
+ 1000 Tout mon soutien à la collègue et aux écoles concernées.
C'est donc bien le même genre de problématique que pour Jean Willot qui avait pris un élève par le bras pour lui faire descendre des marches dans la cour (après le lui avoir demandé x fois). La mère avait porté plainte un mardi soir sans même daigner s'adresser d'abord à l'école et dès le jeudi il était convoqué. C'est curieux ça va beaucoup moins vite dans l'autre sens.
Marre. Ras-le-bol.
C'est donc bien le même genre de problématique que pour Jean Willot qui avait pris un élève par le bras pour lui faire descendre des marches dans la cour (après le lui avoir demandé x fois). La mère avait porté plainte un mardi soir sans même daigner s'adresser d'abord à l'école et dès le jeudi il était convoqué. C'est curieux ça va beaucoup moins vite dans l'autre sens.
Marre. Ras-le-bol.
- gnafron2004Grand sage
Je cite l'article:
"un rappel au cadre a été posé lors de l’entretien, l’incitant à infléchir son attitude vis-à-vis des élèves et des parents d’élèves".
Merveilleux.
Total soutien à cette collègue.
"un rappel au cadre a été posé lors de l’entretien, l’incitant à infléchir son attitude vis-à-vis des élèves et des parents d’élèves".
Merveilleux.
Total soutien à cette collègue.
- nonoHabitué du forum
C'est à devenir fou, vraiment ! Au secours !!!!gnafron2004 a écrit:Je cite l'article:
"un rappel au cadre a été posé lors de l’entretien, l’incitant à infléchir son attitude vis-à-vis des élèves et des parents d’élèves".
Merveilleux.
Total soutien à cette collègue.
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- zigmag17Empereur
nono a écrit:C'est à devenir fou, vraiment ! Au secours !!!!gnafron2004 a écrit:Je cite l'article:
"un rappel au cadre a été posé lors de l’entretien, l’incitant à infléchir son attitude vis-à-vis des élèves et des parents d’élèves".
Merveilleux.
Total soutien à cette collègue.
Comment s'appelle l'institution déjà qui organise des minutes de silence pour manifester sa profonde douleur face à des exactions commises à l'encontre de ses membres censés être protégés, pour que "plus jamais" la parole d'un enseignant ne soit l'objet de diffamation, de distorsion, car comme on le sait tout cela peut mener au pire?
Oui, l'institution qui protège ses profs???
Ah zut le nom m'échappe...
- M le MauditNiveau 9
Ce que je trouve dingue c'est qu'on puisse prendre ce type de plainte, c'est affligeant...
- EolullNiveau 3
Pour un stylo ??? Dites-moi que c'est une blague ?
Du bas de mon inexpérience, j'aurais parié que nous sommes convoqués de la sorte pour des faits gravissimes, non ?
Bah non, très visiblement. C'est écœurant.
Du bas de mon inexpérience, j'aurais parié que nous sommes convoqués de la sorte pour des faits gravissimes, non ?
Bah non, très visiblement. C'est écœurant.
- CasparProphète
Choup90 a écrit:Un complément d'informations : https://www.ladepeche.fr/2023/11/20/une-enseignante-jette-un-stylo-sur-un-eleve-les-parents-portent-plainte-laffaire-vire-a-la-polemique-11591810.php
La polémique enfle dans le Tarn, suite au geste d'humeur d'une institutrice, qui a jeté un stylo sur un élève. Les parents ont déposé plainte. Les enseignants dénoncent le manque de soutien de leur hiérarchie. Deux écoles de Graulhet seront en grève ce mardi.
Article à lire : elle n'a pas vraiment jeté le stylo "sur" l'élève, contrairement à ce que dit l'en-tête de l'article que j'ai cité en résumé.
Ce qui est rassurant c'est que les commentaires de l'article sont tous favorables à notre collègue, auquel j'apporte comme vous tous mon soutien.
- roxanneOracle
Un collègue avait eu une plainte contre lui pour " plainte abusive" et avait été convoqué par la police.
- CochonouNiveau 9
-
- CasparProphète
Cochonou a écrit:L'attitude des parents de l'élève à l'égard de notre collègue est scandaleuse, et l'attitude de notre hiérarchie l'est tout autant. Quelle honte !
La baisse du nombre de candidats aux concours de recrutement et la hausse des démissions ne sont pas dues au hasard, et elles s'expliquent en partie par les difficultés du métier, dont cet événement est une illustration.
La France ne mérite pas ses enseignants.
C'est surtout l'attitude la hiérarchie qui est choquante ici, que des parents stupides portent plainte pour une broutille ce n'est pas très étonnant (à y bien réfléchir l'attitude le la hiérarchie n'est pas étonnante non plus malheureusement).
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