- EU1Fidèle du forum
Et au du service public et de ce recrutement national, on ne devrait rien dire et accepter d'être envoyé n'importe où ??
Dans ces cas-là ce n'est pas une pénurie de candidats que vous aurez aux concours, c'est une absence totale de candidats...
Dans ces cas-là ce n'est pas une pénurie de candidats que vous aurez aux concours, c'est une absence totale de candidats...
- ErgoDevin
D'autant que pour la Bretagne, la solution existe. Bon nombre de mes connaissances l'ont choisie: passer le concours dans le privé. A partir du moment où l'on fait le choix de l'EN et du public, on accepte les contraintes, et donc le déplacement.
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- InvitéInvité
Oui, et si on ne l'accepte pas, on ne devient pas fonctionnaire... Ca commence à me faire furieusement penser aux complaintes des médecins libéraux qui s'entassent tous à Paris ou sur la Côte d'Azur...Provence a écrit:EU1 a écrit:Nan mais la question se pose aussi pour d'autres régions... où le privé n'est pas aussi présent
C'est le principe du recrutement national...
- ProvenceEnchanteur
Ergo a écrit: A partir du moment où l'on fait le choix de l'EN et du public, on accepte les contraintes, et donc le déplacement.
Voilà.
- LilypimsGrand sage
LadyC a écrit:holderfar a écrit:Voilà, en plus je suis convaincue qu'on peut faire encore plein de choses pour améliorer les choses dans les établissements, ruraux ou ZEP. Le but, ce n'est pas uniquement que les gens puissent vite se barrer, mais d'essayer de faire en sorte que certains restent et d'améliorer la situation des élèves qui, eux, ne peuvent pas s'en aller.
Mille fois d'accord.
Pourquoi toujours réclamer la m**** pour tous (si je puis dire) au lieu d'essayer d'améliorer la situation?
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...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- lalilalaEmpereur
Lilypims a écrit:LadyC a écrit:holderfar a écrit:Voilà, en plus je suis convaincue qu'on peut faire encore plein de choses pour améliorer les choses dans les établissements, ruraux ou ZEP. Le but, ce n'est pas uniquement que les gens puissent vite se barrer, mais d'essayer de faire en sorte que certains restent et d'améliorer la situation des élèves qui, eux, ne peuvent pas s'en aller.
Mille fois d'accord.
Pourquoi toujours réclamer la m**** pour tous (si je puis dire) au lieu d'essayer d'améliorer la situation?
c'est très EN cette mentalité je trouve...
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- InvitéInvité
Je trouve aussi. Ce n'est plus la peine de se demander pourquoi personne ne nous respecte, on est incapables de se respecter entre nous.
- EU1Fidèle du forum
Autant je peux comprendre que nous ne soyons pas d'accord et je respecte vos idées, mais je vous trouve gonflé de parler de la notion de respect, j'estime n'en manquer envers personne
- Karine B.Guide spirituel
EU1 a écrit:Ce n'est pas une question de savoir "si on veut que ce soit le cas de tout le monde" mais ce n'est pas normal que ce soit seulement certains qui connaissent des situations difficiles
Plusieurs réflexions, à l'arrache :
- Tout le monde n'a pas les mêmes envies et les mêmes attentes : j'ai des amis qui ne veulent pas demander un lycée (dont un agrégé depuis 10 ans en ZEP qui fait un voeu commune avec un seul collège), d'autres ne veulent pas de terminales alors que d'autres se battent pour.
Idem pour les emplois du temps : je demande à travailler le samedi matin par exemple et je préfère venir tous les jours (6) à condition de n'avoir cours que le matin. Pour d'autres, ce serait l'horreur.
- Quant aux TZR : depuis quelques années les stagiaires mettent en premier le voeu ZR Lille Roubaix Tourcoing pour avoir une chance de rester proches géographiquement. Les plus malchanceux sont nommés en extension sur poste fixe dans un coin perdu de l'académie. Actuellement, on donne 40 pts par an aux TZR pour obtenir un poste fixe (dans l'académie), je trouve que c'est beaucoup par rapport à ceux qui ont eu un poste éloigné et qui auront beaucoup de mal à revenir.
- Par ailleurs, une situation qui paraît merveilleuse actuellement l'était beaucoup moins il y a 15 ans : je suis dans un lycée qui pourrait être classé ZEP si on avait des lycées ZEP dans l'académie (on fait passer à 7 de moyenne en 1ère, cette année on a eu des élèves qui urinaient dans les couloirs, qui ont démonté les portes des toilettes, des STG assez durs ...) et quand il y avait des postes, le lycée était un lieu de passage avant d'aller à Lille ou dans le sup. Quand je l'ai eu, on m'a quasiment plainte, maintenant ça devient une perle rare.
Pour terminer, je suis d'accord avec ceux qui disent
1) qu'il faut prioritairement améliorer les conditions d'enseignement pour les TZR et pour les ZEP afin que ça devienne des postes choisis
2) que mettre les collègues en opposition est contre-productif : pendant qu'on se bat entre nous, il y en a qui doivent bien rire ...
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- InviteeFVénérable
Ergo a écrit:A partir du moment où l'on fait le choix de l'EN et du public, on accepte les contraintes, et donc le déplacement.
A mon humble avis, accepter les contraintes ne veut pas dire non plus perdre toute lucidité et trouver le système idyllique.
Selon moi on peut accepter les désagréments intrinsèques sans toutefois s'en réjouir.
Et pointer du doigt les éléments les plus pénibles (autrement dit : râler) me semble être un droit élémentaire.
Exemple : mon salaire ne me permet pas de rentrer chez moi plus d'une fois par trimestre.
Sans crier sur les toits que cela est trop injuste, je revendique le droit de pouvoir dire que je trouve cela rude et aussi celui de pouvoir caresser l'espoir de, d'ici trois ans, pouvoir rentrer une fois par mois chez les miens.
Cela ne me semble pas incompatible ni avec le rôle de fonctionnaire (l'éthique, la responsabilité, etc.) ni avec la réalité du concours.
Et je ne blâme personne pour cela, simplement j'estime qu'il est absolument naturel que je sois dans une position relativement neutre, ni "Tout va très bien Mme la marquise" ni "je suis une victime du système". Et absolument naturel également que je puisse dire sans animosité ni sensiblerie ce qu'il en est de mon quotidien : ce n'est pas la joie tous les jours , je fais avec et c'est le jeu, ma pauv' Lucette, mais ça n'est pas la joie tous les jours.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
EU1 a écrit:Autant je peux comprendre que nous ne soyons pas d'accord et je respecte vos idées, mais je vous trouve gonflé de parler de la notion de respect, j'estime n'en manquer envers personne
Je pense qu'Holdefar évoque plutôt le discrédit dans lequel tombe la profession à l'extérieur.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Karine B. a écrit:
Pour terminer, je suis d'accord avec ceux qui disent
1) qu'il faut prioritairement améliorer les conditions d'enseignement pour les TZR et pour les ZEP afin que ça devienne des postes choisis
2) que mettre les collègues en opposition est contre-productif : pendant qu'on se bat entre nous, il y en a qui doivent bien rire ...
- jonjon71Fidèle du forum
Provence a écrit:Ergo a écrit: A partir du moment où l'on fait le choix de l'EN et du public, on accepte les contraintes, et donc le déplacement.
Voilà.
Y compris quand on est marié et qu'on a des enfants alors, non ?
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
jonjon71 a écrit:Provence a écrit:Ergo a écrit: A partir du moment où l'on fait le choix de l'EN et du public, on accepte les contraintes, et donc le déplacement.
Voilà.
Y compris quand on est marié et qu'on a des enfants alors, non ?
Il ne faut pas faire croire non plus que seuls les célibataires doivent partir travailler loin de chez eux parfois! Je crois avoir lu des situations dramatiques de couples séparés par des centaines de kilomètres, non?
- Karine B.Guide spirituel
EU1 a écrit:holderfar : l'idée reste la même mais je la dis autrement : l'idée n'est pas de pénaliser les familles mais bien de donner un coup de pouce aux célibataires. Cela ne veut pas dire pénaliser les familles .
s'il n'y a pas assez de postes, tu auras beau donner 10 000 pts, tu donneras juste l'illusion aux collègues et la déception n'en sera que plus grande
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- ProvenceEnchanteur
jonjon71 a écrit:Provence a écrit:Ergo a écrit: A partir du moment où l'on fait le choix de l'EN et du public, on accepte les contraintes, et donc le déplacement.
Voilà.
Y compris quand on est marié et qu'on a des enfants alors, non ?
Tes enfants, ils peuvent vivre avec toi n'importe où. Si la famille est éclatée géographiquement, c'est un autre problème.
- Karine B.Guide spirituel
EU1 a écrit:Se fasse avoir avec ce système qui le pénalise.
Vous savez combien il faut d'années pour un célibataire qui veut rentrer en bretagne ?
ça dépend de la discipline, une année où j'étais commissaire paritaire national, des néotits de philo ont été envoyés en extension avec 21 pts
Avec un voeu préférentiel, on cumule 150 pts en 6 ans
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- InvitéInvité
Voilà, c'est ça, et le fait qu'on se tire dans les pattes.Marcel Khrouchtchev a écrit:EU1 a écrit:Autant je peux comprendre que nous ne soyons pas d'accord et je respecte vos idées, mais je vous trouve gonflé de parler de la notion de respect, j'estime n'en manquer envers personne
Je pense qu'Holdefar évoque plutôt le discrédit dans lequel tombe la profession à l'extérieur.
- lalilalaEmpereur
Marcel Khrouchtchev a écrit:jonjon71 a écrit:Provence a écrit:Ergo a écrit: A partir du moment où l'on fait le choix de l'EN et du public, on accepte les contraintes, et donc le déplacement.
Voilà.
Y compris quand on est marié et qu'on a des enfants alors, non ?
Il ne faut pas faire croire non plus que seuls les célibataires doivent partir travailler loin de chez eux parfois! Je crois avoir lu des situations dramatiques de couples séparés par des centaines de kilomètres, non?
+1. Je suis pacsée depuis 2009 et je n'ai jamais réussi à avoir la région où se trouvait mon copain pour le moment...aujourd'hui il y a environ 600km entre nous.
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- archebocEsprit éclairé
roxanne a écrit:Mais j'ai vécu le "traumatisme" (relatif on est bien d'accord) d'avoir fait partie de ces TZR auxquels on a enlevé leurs points durement gagnés à titre rétroactif parce que sinon ces pauvres pacsés-mariés se retrouvaient avec moins de points que certains tzr celib (entendue de la bouche d'un élu snes)..c'est comme ça que j'ai perdu 80 points d'un coup (un copain en a perdu 150 !!!)
C'était quand cette horreur ? C'était une mesure nationale ? Les syndicats n'ont rien fait ? Il n'y a pas eu de recours au TA ?
mamamanette a écrit:Dans certains pays comme le Canada, les enseignants qui ont déjà un peu d'expérience peuvent accepter une mutation de quelques années (4 ou 5 il me semble) en établissement difficile.
Le deal : ils restent dans le même établissement sur la période, s'y investissent, se donnent à fond. Ils sont également payés davantage. Ensuite, ils ont exactement la mutation qu'ils souhaitent. Cela fonctionne très bien. Les élèves ont face à eux des gens d'expérience, qui ne changent pas chaque année, et personne ne se sent lésé, forcé ou abandonné. Les années difficiles sont récompensées.
Le problème, c'est que vu la démographie scolaire, il y a trop d'établissements qui nécessiteraient ce type de remédiation, rapportés aux affectations pouvant servir de récompense. Mais à une époque, les points de ZEP étaient doublés si on restait 5 ans dans le poste. Ce n'est plus le cas ?
EU1 a écrit:Et l'idée n'est pas forcément de se barrer lke plus vite possible, c'est juste de ne pas resté forcément "coincé" pour que mutation ne rime pas avec souffrance
Celui qui ne peut pas vivre ailleurs qu'en Bretagne, sinon c'est la souffrance, il n'aurait pas dû faire prof, mais marin pêcheur. Qu'une famille passe devant à tous les coups, oui, c'est normal. A condition que ce soit raisonnable.
En particulier, si les deux conjoints sont fonctionnaires, les points ne devraient jouer que dans un seul sens (le sens qui permettrait de libérer une place dans la région la plus demandée). Le rapprochement familial est une demande légitime, et prioritaire. Le rapprochement familial au bord de la mer me semble un droit beaucoup plus discutable. Les bigorneaux ne font pas partie de la famille.
Le monstre à faire disparaître au plus vite, c'est le double mouvement inter/intra. Mais on n'en prend pas le chemin. Pourtant, à l'heure des réseaux de communication, la gestion des ressources humaines par académies est une aberration.
- piescoModérateur
EU1 a écrit:pas forcément les séparer mais peut-être faire en sorte de baisser les points de pacs pour que l'écart soit moins important qu'avec un celib...
ça revient au même.
- piescoModérateur
Provence a écrit:EU1 a écrit:
Et bien rentrer dans sa région ça veut dire pouvoir rentrer là où l'on a ses attaches, où l'on a grandi, l'endroit où l'on veut vivre... après c'est sûr que certains collègues ne le souhaitenant pas forcément mais beaucoup, j'imagine que oui
Je comprends bien que chacun aimerait choisir son lieu de vie. Mais l'Etat répartit le personnel en fonction des besoins, non des envies de chacun. On le sait quand on passe le concours.
+ 1
- piescoModérateur
archeboc a écrit:EU1 a écrit:Et l'idée n'est pas forcément de se barrer lke plus vite possible, c'est juste de ne pas resté forcément "coincé" pour que mutation ne rime pas avec souffrance
Celui qui ne peut pas vivre ailleurs qu'en Bretagne, sinon c'est la souffrance, il n'aurait pas dû faire prof, mais marin pêcheur. Qu'une famille passe devant à tous les coups, oui, c'est normal. A condition que ce soit raisonnable.
En particulier, si les deux conjoints sont fonctionnaires, les points ne devraient jouer que dans un seul sens (le sens qui permettrait de libérer une place dans la région la plus demandée). Le rapprochement familial est une demande légitime, et prioritaire. Le rapprochement familial au bord de la mer me semble un droit beaucoup plus discutable. Les bigorneaux ne font pas partie de la famille.
Le monstre à faire disparaître au plus vite, c'est le double mouvement inter/intra. Mais on n'en prend pas le chemin. Pourtant, à l'heure des réseaux de communication, la gestion des ressources humaines par académies est une aberration.
et pour ce qui est en gras.
- Karine B.Guide spirituel
archeboc a écrit:roxanne a écrit:Mais j'ai vécu le "traumatisme" (relatif on est bien d'accord) d'avoir fait partie de ces TZR auxquels on a enlevé leurs points durement gagnés à titre rétroactif parce que sinon ces pauvres pacsés-mariés se retrouvaient avec moins de points que certains tzr celib (entendue de la bouche d'un élu snes)..c'est comme ça que j'ai perdu 80 points d'un coup (un copain en a perdu 150 !!!)
C'était quand cette horreur ? C'était une mesure nationale ? Les syndicats n'ont rien fait ? Il n'y a pas eu de recours au TA ?
2004 (et si, les syndicats ont fait quelque chose, mais les personnels ? A part les TZR qui participaient à l'inter ...)
Le barème n'étant qu'indicatif, un recours au TA est assuré d'échouer (et de confirmer que le barème n'est qu'indicatif, donc le faire disparaître. C'est une invention d'ailleurs assez récente, fin 70 début 80, avant c'était à la tête)
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- nuagesGrand sage
C'est sûr! Il ne donne aucune satisfaction sauf peut-être pour les collègues qui ont été nommés dans une académie très éloignée de celle qu'ils souhaitent et qui peuvent ainsi se rapprocher (très relativement) du lieu où ils veulent vivre. Mais le paradoxe c'est que certains se retrouvent nommés à l'autre bout de l'académie de leur voeu (certaines académies sont immenses) donc finalement ils ont muté pour encore ne pas vivre où ils ont des attaches. Je ne pense pas que beaucoup de personnes souhaitent vivre dans une "académie" mais plutôt dans une région précise , c'est pour cela que l'ancien mouvement était meilleur (choix de postes précis à travers toute la France ) A cause des risques liés au double mouvement , beaucoup de collègues ne tentent plus de bouger et se résignent.archeboc a écrit:
Le monstre à faire disparaître au plus vite, c'est le double mouvement inter/intra.
Pour en revenir à la discussion générale, je ne souhaiterais jamais à personne de mauvaises conditions de travail, c'est vraiment usant.
- c0c0Niveau 7
nuages a écrit:C'est sûr! Il ne donne aucune satisfaction sauf peut-être pour les collègues qui ont été nommés dans une académie très éloignée de celle qu'ils souhaitent et qui peuvent ainsi se rapprocher (très relativement) du lieu où ils veulent vivre. Mais le paradoxe c'est que certains se retrouvent nommés à l'autre bout de l'académie de leur voeu (certaines académies sont immenses) donc finalement ils ont muté pour encore ne pas vivre où ils ont des attaches. Je ne pense pas que beaucoup de personnes souhaitent vivre dans une "académie" mais plutôt dans une région précise , c'est pour cela que l'ancien mouvement était meilleur (choix de postes précis à travers toute la France ) A cause des risques liés au double mouvement , beaucoup de collègues ne tentent plus de bouger et se résignent.archeboc a écrit:
Le monstre à faire disparaître au plus vite, c'est le double mouvement inter/intra.
Pour en revenir à la discussion générale, je ne souhaiterais jamais à personne de mauvaises conditions de travail, c'est vraiment usant.
+ 1000, personnellement je n'ose pas demander mon académie d'origine (qui est aussi celle dans laquelle travaille mon conjoint) car j'ai peur de me retrouver encore plus loin de lui que je ne le suis actuellement !
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