La promesse de revalorisation des rémunérations des enseignants est inconstitutionnelle

Laotzi a écrit:Quelle surprise.
Cela valait le coup de "suspendre les appels à la grève".

Moonchild a écrit:

Laotzi a écrit:Quelle surprise.
Cela valait le coup de "suspendre les appels à la grève".

Il n'y a bien sûr aucune surprise, mais face à un ministre qui n'hésite pas à mentir éhontément à longueur d'interventions dans les médias, ce n'est peut-être pas une mauvaise idée de jouer sans illusion le jeu de la négociation pour pouvoir mettre factuellement en évidence sa duplicité sans qu'il puisse prétendre être victime d'une cabale montée par quelques "éléments radicalisés".

Ruthven a écrit:Le compte-rendu des séances de négociation laisse peu d'optimisme (enfin pour ceux qui en ont eu) : voir plus haut

Ruthven a écrit:Le compte-rendu des séances de négociation laisse peu d'optimisme (enfin pour ceux qui en ont eu) :

https://www.snalc.fr/national/article/5313/

EXEMPLES DE QUESTIONS POSÉES PAR LE MINISTÈRE
• Comment améliorer la transmission des savoirs fondamentaux et l’approche pédagogique ?
• Comment renforcer le suivi individualisé des élèves et sur quelle base ?
• Faut-il adapter les 108 heures aux nouvelles réalités du métier de professeurs des écoles ? Quelle clef de
répartition en termes de contenu ? Quelle valorisation ?
• Comment mieux structurer la relation aux familles afin d’améliorer la restitution des évaluations aux parents ?
• Comment améliorer le remplacement des professeurs absents ?
• Quelle utilisation positive des dispositions du décret du 6 septembre 2019 relatives à la formation pendant la
période des vacances des classes ?

EXEMPLES DE QUESTIONS POSÉES PAR LE MINISTÈRE
• Quelles évolutions dans la transmission des savoirs et des approches pédagogiques ?
• Comment mieux travailler les liaisons collèges-Lycées et lycées-Supérieur ?
• Comment renforcer le lien avec les parents distants de l’institution ?
• Qui doit avoir le dernier mot sur l’orientation ?

Simeon a écrit:Il y aura au printemps une grande consultation en ligne des enseignants, annoncé par Attal (Blanquer semble avoir disparu...)
Qu'attendre des discussions de février si on repasse un tour de consultation inutile après ?

http://videos.assemblee-nationale.fr/video.8649599_5e2fe849e50aa.1ere-seance--questions-orales-sans-debat-28-janvier-2020

(cf la question Mesure en faveurs des enseignants)

micaschiste a écrit:

Simeon a écrit:Il y aura au printemps une grande consultation en ligne des enseignants, annoncé par Attal (Blanquer semble avoir disparu...)
Qu'attendre des discussions de février si on repasse un tour de consultation inutile après ?

http://videos.assemblee-nationale.fr/video.8649599_5e2fe849e50aa.1ere-seance--questions-orales-sans-debat-28-janvier-2020

(cf la question Mesure en faveurs des enseignants)

Qui va croire à une consultation  ? Discussions ? Vraiment ?
Marre d'être les gentils ou, au pire, les violents qui lancent des livres périmés !

amalricu a écrit:Et après on nous dira d'avoir la révolte discrète et digne, sans colère je vous prie, car cela ne se fait pas et la Sainte Vocation nous l'interdit.

Déjà, utiliser votre bulletin de vote en sanction aux prochaines municipales comme 1/3 des électeurs/trices comptent le faire (vu sur la toile) : un an de gilets jaunes et le mouvement de retraites en sus, faut que ça claque dans la face des premiers de la classe des LREM

Lokomazout a écrit:

amalricu a écrit:Et après on nous dira d'avoir la révolte discrète et digne, sans colère je vous prie, car cela ne se fait pas et la Sainte Vocation nous l'interdit.

Déjà, utiliser votre bulletin de vote en sanction aux prochaines municipales comme 1/3 des électeurs/trices comptent le faire (vu sur la toile) : un an de gilets jaunes et le mouvement de retraites en sus, faut que ça claque dans la face des premiers de la classe des LREM

C'est clair. Où qu'ils se trouvent, il faut qu'ils payent, eux comme leurs complices. Chez moi, la "référente" (!) LaREM du secteur s'est discrètement glissée dans la liste du maire sortant divers droite...

Mathador a écrit:

Lokomazout a écrit:

amalricu a écrit:Et après on nous dira d'avoir la révolte discrète et digne, sans colère je vous prie, car cela ne se fait pas et la Sainte Vocation nous l'interdit.

Déjà, utiliser votre bulletin de vote en sanction aux prochaines municipales comme 1/3 des électeurs/trices comptent le faire (vu sur la toile) : un an de gilets jaunes et le mouvement de retraites en sus, faut que ça claque dans la face des premiers de la classe des LREM

C'est clair. Où qu'ils se trouvent, il faut qu'ils payent, eux comme leurs complices. Chez moi, la "référente" (!) LaREM du secteur s'est discrètement glissée dans la liste du maire sortant divers droite...

Une seule solution maintenant, la publicité pour qu'elle devienne un sparadrap du capitaine Haddock. À Grenoble, par exemple, on peut féliciter Alain Carignon, l'un des rares politiciens à avoir réellement mis les pieds en prison, pour avoir contribué à ce que son parti perde toutes les élections depuis 1995. Et dire qu'il compte se présenter en tête de liste cette année …

Meurtre entre amis

« C’est d’abord une cartouche envoyée par ses anciens collègues du Conseil d’Etat », expliquait, lundi matin, le ministre du Budget, Gérald Darmanin, devant un groupe de députés. Les élus s’inquiétaient de l’avis ravageur du Conseil d’Etat sur la réforme des retraites.
Un coup d’œil à la biographie du Premier ministre se révèle à cet égard instructif. Dès sa sortie de l’ENA dans la botte de sa promotion, il intègre comme auditeur puis comme maître des requêtes la vénérable institution du Palais-Royal. Il y passera cinq ans avant de se faire élire député du Havre.
Apparemment, il n’a pas appris l’art de caresser dans le sens du poil ses anciens collègues.

Juristes douteux

L’assassinat du projet par le Conseil d’Etat a sidéré l’Elysée. Un conseiller de Macron, sous le couvert de l’anonymat, l’avoue :
« On s’attendait à des réserves mais pas à un tel réquisitoire. C’est le cabinet du Premier ministre et le secrétariat général du gouvernement qui, avec les ministres concernés, ont rédigé le projet de loi. C’est difficile de croire que le secrétaire général du gouvernement, lui-même conseiller d’Etat, Marc Guillaume, n’ait rien vu venir. Si ce n’est pas le cas, il faut se poser des questions sur ses compétences. »
Et aussi sur celles de la palanquée de hauts fonctionnaires qui, à l’Elysée, travaillent sur la réforme des retraites. Pour certains depuis deux ans…

Robin54 a écrit:Mais au fait il est où Jean-Mimi depuis 4 jours...?

Robin54 a écrit:Mais au fait il est où Jean-Mimi depuis 4 jours...?

Robin54 a écrit:Mais au fait il est où Jean-Mimi depuis 4 jours...?

Verdurette a écrit:Question : A quel point sommes-nous, nous,  indispensables ?  Les efforts faits dans notre direction sont la réponse.
Leurs rejetons sont au chaud à l'Ecole Alsacienne, chez Hattemer, à l'Ecole active bilingue ou à Franklin,  pour les autres ... qu'ils se dém...dent.

(tous établissements que je respecte  tout à fait par ailleurs mais qui ne suffiront pas à accueillir la totalité de la population scolaire).

Robin54 a écrit:Mais au fait il est où Jean-Mimi depuis 4 jours...?

Spoiler:

Pauvre Martin a écrit:Dans la « Mare aux Canards » du jour, ces deux indications :

Meurtre entre amis

« C’est d’abord une cartouche envoyée par ses anciens collègues du Conseil d’Etat », expliquait, lundi matin, le ministre du Budget, Gérald Darmanin, devant un groupe de députés. Les élus s’inquiétaient de l’avis ravageur du Conseil d’Etat sur la réforme des retraites.
Un coup d’œil à la biographie du Premier ministre se révèle à cet égard instructif. Dès sa sortie de l’ENA dans la botte de sa promotion, il intègre comme auditeur puis comme maître des requêtes la vénérable institution du Palais-Royal. Il y passera cinq ans avant de se faire élire député du Havre.
Apparemment, il n’a pas appris l’art de caresser dans le sens du poil ses anciens collègues.

Pauvre Martin a écrit:

Juristes douteux

L’assassinat du projet par le Conseil d’Etat a sidéré l’Elysée. Un conseiller de Macron, sous le couvert de l’anonymat, l’avoue :
« On s’attendait à des réserves mais pas à un tel réquisitoire. C’est le cabinet du Premier ministre et le sécrétariat général du gouvernement qui, avec les ministres concernés, ont rédigé le projet de loi. C’est difficile de croire que le secrétaire général du gouvernement, lui-même conseiller d’Etat, Marc Guillaume, n’est rien vu venir. Si ce n’est pas le cas, il faut se poser des questions sur ses compétences. »
Et aussi sur celles de la palanquée de hauts fonctionnaires qui, à l’Elysée, travaillent sur la réforme des retraites. Pour certains depuis deux ans…