- LeilEsprit éclairé
J'ai aimé ce conte moi aussi !
Sinon :
En attendant Noël !
Sinon :
En attendant Noël !
- LeilEsprit éclairé
Le dernier Fabrice Colin ! Une lecture de saison !
Anna Claramond ne se souvient plus de rien.
Seul son nom lui est familier. La ville autour d’elle est blanche, belle, irréelle. Presque malgré elle, la jeune fille accepte les assiduités du beau Wynter, l’héritier d’une puissante dynastie. Bal de rêve et cadeaux somptueux se succèdent avec lui mais Anna sent que quelque chose ne va pas. Qu’elle est en danger. de plus, des indices et des messages sont semés à son attention par l’insaisissable Masque, un fugitif recherché.
Qui est son ennemi, qui est son ami ? Anna sait qu’elle doit se souvenir. Mais que lui réservera sa mémoire une fois retrouvée ?
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http://www.bricabook.fr/
- PasseroseNeoprof expérimenté
Je suis le le tome 2 du Clan des Otori, Les Neiges de l'exil. J'ai découvert qu'il existait chez Folio. C'est toujours aussi bien, et j'apprécie le montage parallèle entre les aventures de Takeo et de Kaede. Je me demande seulement jusqu'à quel point cela va être ésotérique...
http://www.evene.fr/livres/livre/lian-hearn-les-neiges-de-l-exil-12150.php
Je lis le Hagakuré en même temps, histoire de rester dans l'ambiance...
http://www.passiondulivre.com/livre-18600-hagakure-ecrits-sur-la-voie-du-samourai.htm
J'édite : il faut lire le lien du Hagakuré pour savoir pourquoi je mets un extrait vidéo de Ghost Dog.
http://www.evene.fr/livres/livre/lian-hearn-les-neiges-de-l-exil-12150.php
Je lis le Hagakuré en même temps, histoire de rester dans l'ambiance...
http://www.passiondulivre.com/livre-18600-hagakure-ecrits-sur-la-voie-du-samourai.htm
J'édite : il faut lire le lien du Hagakuré pour savoir pourquoi je mets un extrait vidéo de Ghost Dog.
- JPhMMDemi-dieu
Lus hier :
Roman sans grand intérêt, décidément P.J. est capable du meilleur comme du plus médiocre... ce qui fait partie de son charme.
Une SF poétique, loin des modèles contemporains. L'adolescence (de l'humanité, du personnage, de la SF peut-être) en toile de fond, un roman riche de mille bonnes idées, mais parfois un peu brouillon.
Roman sans grand intérêt, décidément P.J. est capable du meilleur comme du plus médiocre... ce qui fait partie de son charme.
Une SF poétique, loin des modèles contemporains. L'adolescence (de l'humanité, du personnage, de la SF peut-être) en toile de fond, un roman riche de mille bonnes idées, mais parfois un peu brouillon.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- OrnellaDoyen
j'adore ce petit Père Noël!!!Leil a écrit:J'ai aimé ce conte moi aussi !
Sinon :
En attendant Noël !
- lamelimeloÉrudit
Je lis en ce moment La famille Lament de George Hagen. C'est rocambolesque et cela me plaît bien!
Nous sommes au milieu des années 50 en Rhodésie du Sud. Howard Lament, un jeune ingénieur plein de projets, passionné de valves, rêve de fabriquer un coeur artificiel et d’irriguer le Sahara. Son épouse, Julia, à la fois artiste et enseignante, croit en la bonne étoile de son mari. Le couple, rejetant le racisme ambiant de la société rhodésienne et convaincu que l’avenir est plus prometteur ailleurs ira s’établir, d’abord au Bahreïn, puis en Zambie, en Angleterre et finalement aux États-Unis, entraînant les enfants à sa suite.
Les enfants Lament, c’est d’abord Will, l’aîné, dont l’arrivée dans la famille est le résultat d’une rocambolesque substitution de nourrissons à l’hôpital. Deux jumeaux, Marcus et Julius naîtront également en cours de route. Ceux-là n’ont besoin de personne; ils forment une société à eux seuls. Will veille sur eux, comme sur ses parents d’ailleurs. Il est le véritable ciment de cette famille.
On constate combien il peut être difficile pour des enfants de vivre un perpétuel déracinement; d’avoir à tisser de nouveaux liens et se recréer à chaque fois un nouveau cercle d’amis. Expliquer aux autres ses origines de blanc africain est déjà en soi un casse-tête:
« Maman, puisqu’on vient d’Afrique, pourquoi on n’est pas noirs? »
Sa mère lui jeta un regard douloureux. Cette question, devinait-elle, n’était que la partie visible de l’iceberg.
« Eh bien, mon petit, la plupart de ceux qui sont originaires d’Afrique sont noirs. Mais toi, comme tu descends d’Irlandais qui ont colonisé l’Afrique au début du XXe siècle, tu es un africain blanc.
— Alors, je suis irlandais
— Eh bien, pas tout à fait. Nos ancêtres étaient venus d’Angleterre pour occuper l’Irlande du Nord. Les irlandais nous considéreraient très certainement comme des britanniques.
— Alors je suis britannique.
— Eh bien, pas tout à fait, parce que tout ça s’est passé il y a très très longtemps. Les britanniques te considéreraient comme un colon.
— Un colon?
— Oui, quelqu’un qui vient des colonies.
— Mais alors, je suis quoi, maman?
— Eh bien, tu es de Rhodésie du Sud.
Pas évident, pour un enfant, d’établir son identité dans de telles conditions. Une chatte y perdrait ses petits.
Les Lament ne sont d’ailleurs jamais vraiment nulle part chez eux; toujours en marge de leur société d’accueil. C’est ainsi qu’au New Jersey, le jour du Memorial Day, alors que chaque citoyen se fait un devoir de tapisser la devanture de sa maison de drapeaux américains, Julia décide plutôt d’afficher un Union Jack à sa porte. Disons que ce n’est pas l’idée du siècle…
On s’attache à cette tribu des Lament qui, malgré les coups durs de la vie, demeure soudée. Au fil des années et à travers ses pérégrinations, c’est toute l’histoire de l’évolution des mentalités des années 50 aux années 70 qui nous est contée: celle du féminisme naissant et de la redéfinition du partage des rôles hommes/femmes, entre autres.
Le parcours de l’auteur, George Hagen, est semblable à celui de ses personnages. Originaire du Zimbabwe, à 6 ans il émigre, d’abord en Angleterre puis, 5 ans plus tard, aux États-Unis. Il est donc vraisemblable que les sentiments éprouvés par Will dans le roman soient teintés de sa propre expérience de déraciné chronique. L’écriture de Hagen a été comparée à celle de John Irving. Et, effectivement, on croit reconnaitre une parenté spirituelle avec l’auteur américain dans cette prose à la fois humoristique et profonde. Peut-etre pas le Irving inspiré de la grande époque du Monde selon Garp ou de L’Oeuvre de Dieu, la part du diable. Disons, celui d’oeuvres mineures mais néanmoins divertissantes comme L’épopée du buveur d’eau.
Nous sommes au milieu des années 50 en Rhodésie du Sud. Howard Lament, un jeune ingénieur plein de projets, passionné de valves, rêve de fabriquer un coeur artificiel et d’irriguer le Sahara. Son épouse, Julia, à la fois artiste et enseignante, croit en la bonne étoile de son mari. Le couple, rejetant le racisme ambiant de la société rhodésienne et convaincu que l’avenir est plus prometteur ailleurs ira s’établir, d’abord au Bahreïn, puis en Zambie, en Angleterre et finalement aux États-Unis, entraînant les enfants à sa suite.
Les enfants Lament, c’est d’abord Will, l’aîné, dont l’arrivée dans la famille est le résultat d’une rocambolesque substitution de nourrissons à l’hôpital. Deux jumeaux, Marcus et Julius naîtront également en cours de route. Ceux-là n’ont besoin de personne; ils forment une société à eux seuls. Will veille sur eux, comme sur ses parents d’ailleurs. Il est le véritable ciment de cette famille.
On constate combien il peut être difficile pour des enfants de vivre un perpétuel déracinement; d’avoir à tisser de nouveaux liens et se recréer à chaque fois un nouveau cercle d’amis. Expliquer aux autres ses origines de blanc africain est déjà en soi un casse-tête:
« Maman, puisqu’on vient d’Afrique, pourquoi on n’est pas noirs? »
Sa mère lui jeta un regard douloureux. Cette question, devinait-elle, n’était que la partie visible de l’iceberg.
« Eh bien, mon petit, la plupart de ceux qui sont originaires d’Afrique sont noirs. Mais toi, comme tu descends d’Irlandais qui ont colonisé l’Afrique au début du XXe siècle, tu es un africain blanc.
— Alors, je suis irlandais
— Eh bien, pas tout à fait. Nos ancêtres étaient venus d’Angleterre pour occuper l’Irlande du Nord. Les irlandais nous considéreraient très certainement comme des britanniques.
— Alors je suis britannique.
— Eh bien, pas tout à fait, parce que tout ça s’est passé il y a très très longtemps. Les britanniques te considéreraient comme un colon.
— Un colon?
— Oui, quelqu’un qui vient des colonies.
— Mais alors, je suis quoi, maman?
— Eh bien, tu es de Rhodésie du Sud.
Pas évident, pour un enfant, d’établir son identité dans de telles conditions. Une chatte y perdrait ses petits.
Les Lament ne sont d’ailleurs jamais vraiment nulle part chez eux; toujours en marge de leur société d’accueil. C’est ainsi qu’au New Jersey, le jour du Memorial Day, alors que chaque citoyen se fait un devoir de tapisser la devanture de sa maison de drapeaux américains, Julia décide plutôt d’afficher un Union Jack à sa porte. Disons que ce n’est pas l’idée du siècle…
On s’attache à cette tribu des Lament qui, malgré les coups durs de la vie, demeure soudée. Au fil des années et à travers ses pérégrinations, c’est toute l’histoire de l’évolution des mentalités des années 50 aux années 70 qui nous est contée: celle du féminisme naissant et de la redéfinition du partage des rôles hommes/femmes, entre autres.
Le parcours de l’auteur, George Hagen, est semblable à celui de ses personnages. Originaire du Zimbabwe, à 6 ans il émigre, d’abord en Angleterre puis, 5 ans plus tard, aux États-Unis. Il est donc vraisemblable que les sentiments éprouvés par Will dans le roman soient teintés de sa propre expérience de déraciné chronique. L’écriture de Hagen a été comparée à celle de John Irving. Et, effectivement, on croit reconnaitre une parenté spirituelle avec l’auteur américain dans cette prose à la fois humoristique et profonde. Peut-etre pas le Irving inspiré de la grande époque du Monde selon Garp ou de L’Oeuvre de Dieu, la part du diable. Disons, celui d’oeuvres mineures mais néanmoins divertissantes comme L’épopée du buveur d’eau.
- JPhMMDemi-dieu
Fini hier...
Le temps a été dompté, il est devenu un pouvoir et une source de revenus, le spectacle ultime. Pour des sommes extravagantes, de riches touristes visitent l'Histoire. Meurtres, pillages, massacres, Peste noire... les pires immondices de l'Histoire, les pires atrocités qu'un être humain puissent connaître sont devenus des spectacles pour Tour Opérateurs.
Au hasard d'une rencontre, un jeune diplômé en histoire devient guide touristique temporel. Descendant d'une diaspora de grecs byzantins, il décide de se spécialiser dans la visite des différentes époques de Byzance/Constantinople/Istanbul, et il devient rapidement l'un des meilleurs guides, amenant ses groupes de touristes aux charnières des événements historiques.
Mais jouer avec le pouvoir que donne le mouvement dans le temps n'est pas sans danger. Initié à la richesse facile, aux orgies, grisé par sa nouvelle vie au sein de la noblesse byzantine des Comnènes, le très jeune et génial golden boy va oublier un instant qu'il n'est qu'un infime rouage dans une mécanique tout entière orientée vers le profit. Une infime erreur d'appréciation va l'aspirer dans la mécanique de temps parallèles bientôt incontrôlables...
Une œuvre majeure de la SF, écrite à la fin des années soixante, prémonitoire à plus d'un titre sur les transformations de notre monde...
Le temps a été dompté, il est devenu un pouvoir et une source de revenus, le spectacle ultime. Pour des sommes extravagantes, de riches touristes visitent l'Histoire. Meurtres, pillages, massacres, Peste noire... les pires immondices de l'Histoire, les pires atrocités qu'un être humain puissent connaître sont devenus des spectacles pour Tour Opérateurs.
Au hasard d'une rencontre, un jeune diplômé en histoire devient guide touristique temporel. Descendant d'une diaspora de grecs byzantins, il décide de se spécialiser dans la visite des différentes époques de Byzance/Constantinople/Istanbul, et il devient rapidement l'un des meilleurs guides, amenant ses groupes de touristes aux charnières des événements historiques.
Mais jouer avec le pouvoir que donne le mouvement dans le temps n'est pas sans danger. Initié à la richesse facile, aux orgies, grisé par sa nouvelle vie au sein de la noblesse byzantine des Comnènes, le très jeune et génial golden boy va oublier un instant qu'il n'est qu'un infime rouage dans une mécanique tout entière orientée vers le profit. Une infime erreur d'appréciation va l'aspirer dans la mécanique de temps parallèles bientôt incontrôlables...
Une œuvre majeure de la SF, écrite à la fin des années soixante, prémonitoire à plus d'un titre sur les transformations de notre monde...
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- FrisouilleEnchanteur
"Entre 1939 et 1945, la Martinique fut coupée de la métropole et du monde extérieur. L'amiral Robert, envoyé plénipotentiaire du maréchal Pétain, y fit régner une manière de tyrannie vichyste. C'est dans cette atmosphère coloniale tragi-comique que Raphaël Confiant a choisi de tisser les destins de ces personnages hauts en couleur que sont Rigobert et Philomène, nègres du bidonville du Morne Pichevin, d'Alcide, l'instituteur sorti du rang, d'Amédée Mauville, l'intellectuel mulâtre en rupture de classe, du travailleur agricole indien Vidrassamy et du patriarche blanc créole Henri Salin du Bercy. L'auteur, ce faisant, brosse une impressionnante fresque de l'époque."
Un moment que j'avais envie de connaître ce livre, d'une part parce que cette période historique m'intéresse et d'autre part parce qu'aujourd'hui encore, certaines personnes parlent non sans un tremblement dans la voix du temps où la Martinique a vécu sous le terrible Amiral Robert...
Au milieu de personnages rendant hommage à la truculence rabelaisienne, l'auteur invoque la Martinique des années 40, en faisant allusion, au passage, grâce aux récits enchâssés qui sont sa "touche", à la négritude de Césaire née dans les brumes parisiennes, et livre quelques pans de sa réflexion personnelle qui le mènera, ainsi que Chamoiseau et Bernabé, à donner naissance à la créolité.
J'aime particulièrement l'affrontement entre le pas-si-terrible Robert et le béké patriarche, luttant pour garder la main-mise sur l'île. J'ignore où est la vérité historique dans tout ça, mais l'Amiral paraît finalement plus humain que sa "légende" ne le laisse penser. en revanche, le béké, les békés présents dans le roman.... et bien ce sont des békés, malheureusement. La Révolution n'a pas eu lieu ici.
Bref, un grand et beau roman, que je vais approfondir. :lecteur:
- LoEsprit sacré
Je ne me souviens plus si j'en ai déjà parlé ici, mais j'ai relu ça hier soir:
L'histoire d'une jeune fille qui entre en prépa dans un établissement prestigieux, et qui subit un bizutage d'une rare violence. Les choses dérapent.
Parfois insoutenable et un peu exagéré. Mais des analyses intéressantes sur le phénomène de manipulation et le syndrôme de Stockholm.
L'histoire d'une jeune fille qui entre en prépa dans un établissement prestigieux, et qui subit un bizutage d'une rare violence. Les choses dérapent.
Parfois insoutenable et un peu exagéré. Mais des analyses intéressantes sur le phénomène de manipulation et le syndrôme de Stockholm.
- lulucastagnetteEmpereur
Lu Ivanhoé en abrégé dans cette collection...
Je n'avais jamais lu Walter Scott avant, et ça ne m'attirait pas du tout...
Et là j'ai dévoré le bouquin et je vais chercher le texte intégral et me faire Quentin Durward dans la foulée...
Je n'avais jamais lu Walter Scott avant, et ça ne m'attirait pas du tout...
Et là j'ai dévoré le bouquin et je vais chercher le texte intégral et me faire Quentin Durward dans la foulée...
- lulucastagnetteEmpereur
Je continue dans les classiques que je n'ai pas encore lus...
Je l'avais reçu en spécimen et j'ai trouvé l'édition très bien faite : les Lettres de la religieuse portugaise qui m'ont permis de réviser mon subjonctif imparfait ! :lol:
Je l'avais reçu en spécimen et j'ai trouvé l'édition très bien faite : les Lettres de la religieuse portugaise qui m'ont permis de réviser mon subjonctif imparfait ! :lol:
- RuthvenGuide spirituel
lulucastagnette a écrit:Je continue dans les classiques que je n'ai pas encore lus...
Je l'avais reçu en spécimen et j'ai trouvé l'édition très bien faite : les Lettres de la religieuse portugaise qui m'ont permis de réviser mon subjonctif imparfait ! :lol:
La couverture est ... surprenante, on hésite entre Harlequin et Pierre et Gilles.
Je viens de finir Le vin de la violence de J. Morrow, un roman de SF sur un peuple qui a réussi à détruire tout instinct de violence réelle mais qui est incapable de faire face à la moindre agression. Cela se lit vite, mais n'est pas extraordinaire, j'ai préféré de loin Le dernier chasseur de sorcières et la trilogie de Jéhovah.
J'attaque Les tragédies grecques sont-elles tragiques ? de P. Judet de La Combe qui reconduit la notion de tragique à une philosophie à la charnière du XVIII-XIXème peu soucieuse des faits philologiques, mais qu'il faut connaître pour retrouver la vérité des tragédies derrière les interprétations successives. Assez énervant pour le moment par son discours de philologue scientifique contre une philosophie qui ne s'intéresserait qu'aux généralités.
Et pour les cours, je suis dans L.Marin, Philippe de Champaigne ou la présence cachée; A. Tapié, Vanité. Mort, que me veux-tu ? et d'autres livres sur les vanités.
- lulucastagnetteEmpereur
Ruthven a écrit:
La couverture est ... surprenante, on hésite entre Harlequin et Pierre et Gilles.
Je me suis fait la même réflexion...
- Invité13Habitué du forum
Commencé en anglais Indignation de Philip Roth (j'adore cet auteur) et un polar à la mater': Mémoire infidèle de E Georges, pas mal pour l'instant mais je n'ai pas bcp avancé et ce n'est pas maintenant que ça va s'emballer !
- InvitéePhMonarque
La théorie de la contorsion ! Hihihihi, qu'est ce que c'est drôle! Ma famille dit que c'est moi tout craché!
- InvitéNGrand sage
Plusieurs livres en cours ...
Celui du swap Noel, assez épais et à la trame complexe ...
Recueil de nouvelles de K.Atkinson que j'avais découverte avec Une souris bleue envoyé par mon amie d'enfance qui me fait chaque fois de superbes surprises...
Un don de Toni Morrison, en attente de temps
Des BDs humour ( les motos râleuses et on a offert le même à ma nièce très gronchon sur son lit d'hopital ( normal à 12 ans, passer Noel à l'hopital c'est très bof ! )...
Celui du swap Noel, assez épais et à la trame complexe ...
Recueil de nouvelles de K.Atkinson que j'avais découverte avec Une souris bleue envoyé par mon amie d'enfance qui me fait chaque fois de superbes surprises...
Un don de Toni Morrison, en attente de temps
Des BDs humour ( les motos râleuses et on a offert le même à ma nièce très gronchon sur son lit d'hopital ( normal à 12 ans, passer Noel à l'hopital c'est très bof ! )...
- AbraxasDoyen
Lu ça — si vous avez le cœur vraiment bien accroché… Et comme on dit, les faits rapportés sont vrais…
- lulucastagnetteEmpereur
Abraxas a écrit:Lu ça — si vous avez le cœur vraiment bien accroché… Et comme on dit, les faits rapportés sont vrais…
Je l'ai lu il y a quelques mois, ça m'a filé la nausée (mais j'ai tenu jusqu'au bout).
Dites-moi, Abraxas, vous en pensez quoi, de Teulé ?
- CarabasVénérable
Jaime beaucoup Ghost Dog.Passerose a écrit:Je suis le le tome 2 du Clan des Otori, Les Neiges de l'exil. J'ai découvert qu'il existait chez Folio. C'est toujours aussi bien, et j'apprécie le montage parallèle entre les aventures de Takeo et de Kaede. Je me demande seulement jusqu'à quel point cela va être ésotérique...
http://www.evene.fr/livres/livre/lian-hearn-les-neiges-de-l-exil-12150.php
Je lis le Hagakuré en même temps, histoire de rester dans l'ambiance...
http://www.passiondulivre.com/livre-18600-hagakure-ecrits-sur-la-voie-du-samourai.htm
J'édite : il faut lire le lien du Hagakuré pour savoir pourquoi je mets un extrait vidéo de Ghost Dog.
Et le Clan des Otori aussi. Bonne lecture.
Alléchant.JPhMM a écrit:Fini hier...
Le temps a été dompté, il est devenu un pouvoir et une source de revenus, le spectacle ultime. Pour des sommes extravagantes, de riches touristes visitent l'Histoire. Meurtres, pillages, massacres, Peste noire... les pires immondices de l'Histoire, les pires atrocités qu'un être humain puissent connaître sont devenus des spectacles pour Tour Opérateurs.
Au hasard d'une rencontre, un jeune diplômé en histoire devient guide touristique temporel. Descendant d'une diaspora de grecs byzantins, il décide de se spécialiser dans la visite des différentes époques de Byzance/Constantinople/Istanbul, et il devient rapidement l'un des meilleurs guides, amenant ses groupes de touristes aux charnières des événements historiques.
Mais jouer avec le pouvoir que donne le mouvement dans le temps n'est pas sans danger. Initié à la richesse facile, aux orgies, grisé par sa nouvelle vie au sein de la noblesse byzantine des Comnènes, le très jeune et génial golden boy va oublier un instant qu'il n'est qu'un infime rouage dans une mécanique tout entière orientée vers le profit. Une infime erreur d'appréciation va l'aspirer dans la mécanique de temps parallèles bientôt incontrôlables...
Une œuvre majeure de la SF, écrite à la fin des années soixante, prémonitoire à plus d'un titre sur les transformations de notre monde...
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Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- InvitéNGrand sage
Perso je n'accroche pas du tout mais alors pas du tout ( pire : je n'y comprends rien ) à la science fiction.
J'ai un gros souci perturbant : j'adore comprendre ce que je lis...Et la science fiction c'est vraiment un univers qui ne me plait pas.
Mais bon chacun ses gouts;
Mon amie "kiffe" Tolkien
J'ai un gros souci perturbant : j'adore comprendre ce que je lis...Et la science fiction c'est vraiment un univers qui ne me plait pas.
Mais bon chacun ses gouts;
Mon amie "kiffe" Tolkien
- thrasybuleDevin
Tolkien, c'est de la SF?nateka a écrit:Perso je n'accroche pas du tout mais alors pas du tout ( pire : je n'y comprends rien ) à la science fiction.
J'ai un gros souci perturbant : j'adore comprendre ce que je lis...Et la science fiction c'est vraiment un univers qui ne me plait pas.
Mais bon chacun ses gouts;
Mon amie "kiffe" Tolkien
- InvitéNGrand sage
thrasybule a écrit:Tolkien, c'est de la SF?nateka a écrit:Perso je n'accroche pas du tout mais alors pas du tout ( pire : je n'y comprends rien ) à la science fiction.
J'ai un gros souci perturbant : j'adore comprendre ce que je lis...Et la science fiction c'est vraiment un univers qui ne me plait pas.
Mais bon chacun ses gouts;
Mon amie "kiffe" Tolkien
Non ? Ce n'est pas le cas ? de la Heroic fantasy, alors ? C'est pas celui qui a écrit le pavé très descriptif Le seigneur des anneaux ?
- CarabasVénérable
Voilà, Heroïc Fantasy. Ce n'est pas de la SF.
La SF est fondée sur le progrès technique, tandis que la fantasy s'inscrit dans un univers de magie...
La SF est fondée sur le progrès technique, tandis que la fantasy s'inscrit dans un univers de magie...
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Terry Pratchett
- PasseroseNeoprof expérimenté
Nateka, je suis fan de Tolkien aussi. Je l'ai lu plusieurs fois. Ce n'est pas si descriptif que cela. C'est qu'il aimait inventer ou recréer des peuples, leurs langues... Enorme travail de philologue (ce qu'il était, d'ailleurs).
Carabas, tu es contente de ton livre sur les libertins du VXIII e ? Tu l'avais "demandé" ?
Carabas, tu es contente de ton livre sur les libertins du VXIII e ? Tu l'avais "demandé" ?
- InvitéNGrand sage
Carabas a écrit:Voilà, Heroïc Fantasy. Ce n'est pas de la SF.
La SF est fondée sur le progrès technique, tandis que la fantasy s'inscrit dans un univers de magie...
Ah bon ? Merci pour ces détails ...
- Reine MargotDemi-dieu
Tolkien hélas m'ennuie terriblement, les longues énumérations de peuples, de régions, descriptions à n'en plus finir de contrées ont eu raison de mon intérêt. le film a rendu tout cela plus synthétique et efficace!
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
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