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- doctor whoDoyen
On a beau essayer d'être à l'écoute des pro-réformes intelligents (il y en a), on est toujours atterré par la connerie de ce qui peut se dire chez certains formateurs et IPR.
Le seul truc que je sauverais, c'est le coup du risque intellectuel. Au lycée, quand je fais faire des explications littéraires, je valorise même certains contresens ou faux sens s'ils montre une certaine réflexion.
Mais pas pour un accord du verbe avec nom collectif, au collège !!!
Le seul truc que je sauverais, c'est le coup du risque intellectuel. Au lycée, quand je fais faire des explications littéraires, je valorise même certains contresens ou faux sens s'ils montre une certaine réflexion.
Mais pas pour un accord du verbe avec nom collectif, au collège !!!
AnaroreNiveau 9
J'ai également eu la seconde journée disciplinaire sur la "culture", où l'IPR présent a essayé de discuter avec nous sur comment éviter les répétitions dans le programme et nous a expliqué qu'il fallait évidemment respecter les thèmes, mais qu'on pouvait tout à fait par exemple en 5e faire un courte séquence sur le conte merveilleux, comme introduction à un texte merveilleux de notre choix. Autrement dit : liberté et lecture des sous-titre pour tourner les choses comme nous le souhaitons. Nous avons été reconnaissants de cette humanité de sa part.
Il a ensuite beaucoup parlé de l'importance de la lecture. Selon lui un élève qui lit sera un élève qui parle et qui écrit. Dans la mesure où ça encourage la multiplication de textes de tous horizons et le travail dessus, je ne peux pas m'y opposer. Idem pour l'HDA pour les ouvrir au monde.
Ensuite, une réflexion sur comment apprendre à des 6e en peine de lire et d'écrire à s'en sortir : cahiers de remédiation, exercices tirés du FLE portant sur les syllabes et les phonèmes, enregistrement audio et réécoute pour s'améliorer. Selon lui ces élèves ont en fait (pour la plupart) un problème de systématisation de la lecture. Autrement dit, ils reconnaissent les syllabes et les sons, mais n'arrivent pas à les décoder vite. Donc ils sont tellement concentrés sur ça, qu'ils en oublient le sens. Je pense que c'est effectivement une bonne analyse !
Pour le reste, c'était des exercices et des réflexions sur comment mettre ça en place, réutiliser ce que nous avions déjà comme cours.
Et enfin un petit arrêt sur la grammaire, avec les fameux compléments de verbe et de phrase... il pense que de toute façon les manuels continueront de mettre les deux termes. Apparemment il a raison, j'ai reçu les spécimen de cahier d'exercices de Nathan avec les deux mentions complément de verbe/cod.
Il a ensuite beaucoup parlé de l'importance de la lecture. Selon lui un élève qui lit sera un élève qui parle et qui écrit. Dans la mesure où ça encourage la multiplication de textes de tous horizons et le travail dessus, je ne peux pas m'y opposer. Idem pour l'HDA pour les ouvrir au monde.
Ensuite, une réflexion sur comment apprendre à des 6e en peine de lire et d'écrire à s'en sortir : cahiers de remédiation, exercices tirés du FLE portant sur les syllabes et les phonèmes, enregistrement audio et réécoute pour s'améliorer. Selon lui ces élèves ont en fait (pour la plupart) un problème de systématisation de la lecture. Autrement dit, ils reconnaissent les syllabes et les sons, mais n'arrivent pas à les décoder vite. Donc ils sont tellement concentrés sur ça, qu'ils en oublient le sens. Je pense que c'est effectivement une bonne analyse !
Pour le reste, c'était des exercices et des réflexions sur comment mettre ça en place, réutiliser ce que nous avions déjà comme cours.
Et enfin un petit arrêt sur la grammaire, avec les fameux compléments de verbe et de phrase... il pense que de toute façon les manuels continueront de mettre les deux termes. Apparemment il a raison, j'ai reçu les spécimen de cahier d'exercices de Nathan avec les deux mentions complément de verbe/cod.
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"En dépit de tout ce qu'on peut vous raconter, les mots et les idées peuvent changer le monde." - Le Cercle des Poètes Disparus
"Un baiser, mais à tout prendre, qu'est-ce? Un serment fait d'un peu plus près, une promesse plus précise, un aveu qui se veut confirmer, un point rose qu'on met sur l'i du verbe aimer;
C'est un secret qui prend la bouche pour oreille, un instant d'infini qui fait un bruit d'abeille, une communion ayant un goût de fleur, une façon d'un peu se respirer le coeur, et d'un peu se goûter, au bord des lèvres, l'âme!" - Cyrano de Bergerac
ProvenceBon génie
En gros, il faudrait faire en 6e ce qui n'a pas été correctement mené en CP-CE1... C'est vite oublier les méthodes de lecture qui poussent l'élève à deviner au lieu de lire et la systématisation, dans certains coins, de la lecture silencieuse dans les petites classes...Anarore a écrit:
Ensuite, une réflexion sur comment apprendre à des 6e en peine de lire et d'écrire à s'en sortir : cahiers de remédiation, exercices tirés du FLE portant sur les syllabes et les phonèmes, enregistrement audio et réécoute pour s'améliorer. Selon lui ces élèves ont en fait (pour la plupart) un problème de systématisation de la lecture. Autrement dit, ils reconnaissent les syllabes et les sons, mais n'arrivent pas à les décoder vite. Donc ils sont tellement concentrés sur ça, qu'ils en oublient le sens. Je pense que c'est effectivement une bonne analyse !
RoninMonarque
Tiens il faudrait que cet IPR forme les IEN. Rigolo.
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IsmyrrNiveau 6
Hier, formation disciplinaire lettres.
Où l'on apprend que ""Il est perdu dans la forêt" et "Il a perdu son sac" c'est pareil. Ce sont des prédicats.
L'important, c'est que l'élève comprenne que ce sont des groupes de mots qui dépendent du verbe."
AmaliahEmpereur
Où je découvre que l'IPR que j'ai vue est normale en fait... :shock:
Fires of PompeiiGuide spirituel
Fantômette a écrit:Je remonte le fil pour témoigner à mon tour d'une journée de formation en Lettres que nous avons eue en mars quelques collègues et moi:
L'ambiance était à l'exaspération avant même que cela ne commence: sentiment de perdre encore son temps (et son argent pour les frais de déplacement et de repas) pour RIEN ou, si , pour entendre de vastes conn****.
Celles-ci ont été rapidement confirmées et les présents pouvaient être répartis en 3 groupes: ceux qui s'en fichaient royalement et avaient apporté copies ou bulletins; ceux qui écoutaient, réagissaient et notaient les perles; ceux qui écoutaient avec une véritable attention inquiète et soucieuse de bien appliquer les changements à venir (une minorité heureusement).
Parmi les meilleures énormités (je faisais partie de ceux qui notaient les perles :lol: ):
- habituer l'élève à une lecture tabulaire et pas seulement linéaire (ex: lire les docs "composites" en HG ou en maths).
- Donner la priorité à l'oral (évidemment, l'écrit, c'est devenu trop dur): laisser parler l''élève, si possible "en continu", trace écrite élaborée par l'élève (pas nouveau..)..
- Changer de posture: ne pas être FACE à, mais A COTE ou carrément se mettre A L'ECART (je dis qu'on devrait, tant qu'à faire, laisser les élèves entre eux et aller prendre un petit café).
- Faire accepter à l'élève "le risque intellectuel" (oh que c'est beau, je vais mettre ça dans mes bulletins maintenant!) et le valoriser (: bienveillance = nouveau mantra). La formatrice présente nous a bassinés avec le même exemple repris 50 fois, je n'en pouvais plus:"la meute de chiens aboie". Si l'élève écrit "aboient", c'est bien car il a compris qu'une meute comporte plusieurs chiens.
-ne pas faire d'exercices de grammaire car on s'est aperçu que ce n'est pas efficace (j'aurais dit au contraire les résultats médiocres en la matière s'expliquent par le fait que les élèves n'en font pas assez..).
- The best: ne pas nommer les notions en grammaire: pas besoin! Inutile de savoir que tel mot est un pronom etc. Pas utile de savoir identifier une PSR, parler de compléments de verbe et de phrase suffit etc. Et d'ailleurs chacun peut utiliser la terminologie qu'il veut, ce n'est pas grave.
:350:
De nombreux collègues étaient atterrés et on entendait des vagues de plus ou moins fortes de consternation. Certains ont pris la parole et ont été applaudis. A un moment, un formateur présent a applaudi lui aussi!
Les principales interventions ont porté sur:
- l'absence de temps de concertation prévu (pour les AP ,EPI, profs des écoles..)
- l'absence de temps de préparation
- l'absence de rémunération supplémentaire pour tout cela: "on n'est pas corvéable à merci", de rétribution pour les formations hors temps de travail et ça a même dévié à la fin sur la médiocrité des indemnités de correction pour le brevet
- des statistiques comparatifs bidons entre la France, l'Angleterre et la moyenne des pays de l'OCDE
- l'échec des réformes similaires au Québec et en Suède (les formateurs n'ont rien trouvé à redire..)
Bref, une journée qui a transpiré l'ennui et le ras-le-bol général. Je suis intervenue quelques fois, mais je regrette qu'il n'y ait pas eu plus de protestation directe et de vraies questions de fond sur les contenus des programmes.
Je pense qu'on était à la même journée de formation !
J'en garde encore une certaine colère, aucune réponse à nos questions, une des deux IPR qui se permettait d'interrompre/de ne pas écouter entièrement les questions/de ne jamais y répondre...
PetraPortoNiveau 10
Jattends ma formation du 18 et 19 avril mais tout ce que je lis ou vois me fait halluciner j'ai l'impression que l'on bascule dans la cinquième dimension
henrietteMédiateur
Dans mon académie, on a vraiment de la chance, je crois : les formations en Lettres sont assurées par les IPR, et elles sont de bonne tenue.
En particulier, on a beaucoup apprécié qu'ils martèlent, à propos des EPI, de ne pas oublier que nous sommes profs de littérature, et pas profs de communication, et que donc toute contribution des lettres aux EPI doit être menée dans l'optique de la littérature, et donc ne saurait consister à faire faire des affiches et des panneaux.
Ou que le prédicat, ils ne voyaient vraiment pas l'intérêt de ce concept, et qu'on pouvait tout à fait se passer de l'employer.
Ou que la grammaire doit faire l'objet d'une progression cohérente séparée et extrêmement bien réfléchie en amont, et de séances qui lui seront dédiées spécifiquement et régulièrement.
Ou que l'outil informatique n'est qu'un outil, sûrement pas une fin en soi, ni une quelconque panacée ; au lieu de vouloir à tout prix utiliser tel ou tel outil, il faut se demander ce que son usage apporte de plus à l'efficience de notre enseignement : que s'il n'y a pas de vrai gain pour l'élève en terme d'apprentissage, alors il n'y a aucun avantage à l'utiliser.
Bref, du bon sens. Et ça fait du bien d'entendre ça.
En particulier, on a beaucoup apprécié qu'ils martèlent, à propos des EPI, de ne pas oublier que nous sommes profs de littérature, et pas profs de communication, et que donc toute contribution des lettres aux EPI doit être menée dans l'optique de la littérature, et donc ne saurait consister à faire faire des affiches et des panneaux.
Ou que le prédicat, ils ne voyaient vraiment pas l'intérêt de ce concept, et qu'on pouvait tout à fait se passer de l'employer.
Ou que la grammaire doit faire l'objet d'une progression cohérente séparée et extrêmement bien réfléchie en amont, et de séances qui lui seront dédiées spécifiquement et régulièrement.
Ou que l'outil informatique n'est qu'un outil, sûrement pas une fin en soi, ni une quelconque panacée ; au lieu de vouloir à tout prix utiliser tel ou tel outil, il faut se demander ce que son usage apporte de plus à l'efficience de notre enseignement : que s'il n'y a pas de vrai gain pour l'élève en terme d'apprentissage, alors il n'y a aucun avantage à l'utiliser.
Bref, du bon sens. Et ça fait du bien d'entendre ça.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
FantômetteHabitué du forum
J'avais oublié:
- on peut sauter les passages d'un livre s'ils sont trop difficiles pour les élèves
> j'appelle ça la lecture au scalpel.
Et l'idée que le professeur de Français peut/est justement là pour les accompagner: pas même évoquée...
Je dis: éditons Balzac ou Zola sans tous les passages descriptifs: longs et ennuyeux. Ne gardons que les dialogues!
Quelle chance Henriette!
Je ne raconte même pas ce que m'a dit une IPR lors de mon inspection...
- on peut sauter les passages d'un livre s'ils sont trop difficiles pour les élèves
> j'appelle ça la lecture au scalpel. Et l'idée que le professeur de Français peut/est justement là pour les accompagner: pas même évoquée...
Je dis: éditons Balzac ou Zola sans tous les passages descriptifs: longs et ennuyeux. Ne gardons que les dialogues!
Quelle chance Henriette!
Je ne raconte même pas ce que m'a dit une IPR lors de mon inspection...
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"La dictature s'épanouit sur le terreau de l'ignorance." G.Orwell
- RoninMonarque
Moi, Balzac, si c'est pas abrégé et sur tablette, c'est niet !
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- FantômetteHabitué du forum
et en BD!
Ceci dit, j'adore la BD, là n'est pas le problème.
Ceci dit, j'adore la BD, là n'est pas le problème.
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"La dictature s'épanouit sur le terreau de l'ignorance." G.Orwell
- AnaroreNiveau 9
Fantômette a écrit:et en BD!
Y a qu'à demander
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"En dépit de tout ce qu'on peut vous raconter, les mots et les idées peuvent changer le monde." - Le Cercle des Poètes Disparus
"Un baiser, mais à tout prendre, qu'est-ce? Un serment fait d'un peu plus près, une promesse plus précise, un aveu qui se veut confirmer, un point rose qu'on met sur l'i du verbe aimer;
C'est un secret qui prend la bouche pour oreille, un instant d'infini qui fait un bruit d'abeille, une communion ayant un goût de fleur, une façon d'un peu se respirer le coeur, et d'un peu se goûter, au bord des lèvres, l'âme!" - Cyrano de Bergerac
V.MarchaisEmpereur
Mais vous savez que la nana qui a fait Candy (oui Candy, celle-là même qui vit au pays on l'on pleure on rit, il y a des méchants et des gentils) a fait une adaptation de Mme Bovary en manga ?
liskayaNeoprof expérimenté
Fantômette a écrit:
Je ne raconte même pas ce que m'a dit une IPR lors de mon inspection...
Si, si ! Raconte !
- FantômetteHabitué du forum
J'aime les éditions Delcourt! Ils n'ont pas adapté en BD de nombreux classiques?
A un moment je voulais faire la collection mais c'était épuisé.
A un moment je voulais faire la collection mais c'était épuisé.
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"La dictature s'épanouit sur le terreau de l'ignorance." G.Orwell
- FantômetteHabitué du forum
liskaya a écrit:Fantômette a écrit:
Je ne raconte même pas ce que m'a dit une IPR lors de mon inspection...
Si, si ! Raconte !
J'attends un peu
En gros, elle m'a redit en entretien certains mantras de la réforme sur la grammaire: pas d'analyse de la nature des mots, analyser par groupes (tout le contraire de ce que j'ai lu dans le dernier livre de Colette Ouzilou sur la dyslexie, qui insiste sur l'importance de l'analyse grammaticale et les conséquences désastreuses de l'analyse par groupes de mots), parler de cplt de phrase, de verbe, aller à l'essentiel en élaguant (car on n'a pas le temps de toute façon); aborder les notions de grammaire comme ça vient, selon les "besoins des élèves" (mais ils ont besoin de TOUT!!), à partir de leurs écrits ou leurs remarques orales (pas de progression structurée et réfléchie donc, pas de leçon de grammaire en tant que telles).
Je complèterai + tard
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laMissSage
liskaya a écrit:Fantômette a écrit:
Je ne raconte même pas ce que m'a dit une IPR lors de mon inspection...
Si, si ! Raconte !
(popcorn)
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Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- FantômetteHabitué du forum
Ça me rappelle un sketch des Inconnus 
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- AnaroreNiveau 9
Je ne savais pas Véronique ! Et alors, ça donne quoi sous la plume de la dame ?
Cela dit j'ai trouvé une adaptation en manga d'Alice au Pays des merveilles qui est pas mal. Alors, on peut avoir des surprises !
Il y a aussi certaines aventures de Sherlock Holmes dans cette collection qui sont bien résumées et accessibles pour des 6e.
Oui Delcourt est bien en général. Ils ont sorti Candide, L'appel de la forêt, Les Hauts de Hurlevent, Le Dernier jour d'un condamné, Le Roman de Renart et j'en passe. J'ai utilisé quelques planches parfois pour une étude comparée ou pour travailler sur les techniques de plans, ça a beaucoup plu aux élèves (forcément :abd: )
Cela dit j'ai trouvé une adaptation en manga d'Alice au Pays des merveilles qui est pas mal. Alors, on peut avoir des surprises !
Il y a aussi certaines aventures de Sherlock Holmes dans cette collection qui sont bien résumées et accessibles pour des 6e.
Oui Delcourt est bien en général. Ils ont sorti Candide, L'appel de la forêt, Les Hauts de Hurlevent, Le Dernier jour d'un condamné, Le Roman de Renart et j'en passe. J'ai utilisé quelques planches parfois pour une étude comparée ou pour travailler sur les techniques de plans, ça a beaucoup plu aux élèves (forcément :abd: )
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"Un baiser, mais à tout prendre, qu'est-ce? Un serment fait d'un peu plus près, une promesse plus précise, un aveu qui se veut confirmer, un point rose qu'on met sur l'i du verbe aimer;
C'est un secret qui prend la bouche pour oreille, un instant d'infini qui fait un bruit d'abeille, une communion ayant un goût de fleur, une façon d'un peu se respirer le coeur, et d'un peu se goûter, au bord des lèvres, l'âme!" - Cyrano de Bergerac
- laMissSage
Et sinon : il y a le bon IPR et le mauvais IPR !
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Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- AnaroreNiveau 9
laMiss a écrit:Et sinon : il y a le bon IPR et le mauvais IPR !
Y a le mauvais IPR, y voit un truc qui bouge, y tire c'est sûr ! Alors que le bon... :fou:
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C'est un secret qui prend la bouche pour oreille, un instant d'infini qui fait un bruit d'abeille, une communion ayant un goût de fleur, une façon d'un peu se respirer le coeur, et d'un peu se goûter, au bord des lèvres, l'âme!" - Cyrano de Bergerac
lucBNiveau 9
J'ai acheté ( pour rire évidemment) Les Misérables en manga, et l'ai laissé au CDI. Résultats : le manga est mauvais au possible, merdique même, mais les réactions des élèves de 4°... ç'a été de lire le bouquin pour comparer, et ils ont adoré le bouquin, ouf ( bon la version école des Loisirs, mais quand même )... Des petits 6° ont emprunté les versions light des Misérables après avoir lu ledit manga.V.Marchais a écrit:Mais vous savez que la nana qui a fait Candy (oui Candy, celle-là même qui vit au pays on l'on pleure on rit, il y a des méchants et des gentils) a fait une adaptation de Mme Bovary en manga ?
Résultat : je suis l'arroseur arrosé. J'ai découvert le manga il y a peu et je pense que le manga, c'est comme toute la littérature : il y a à boire et à manger. J'ai lu une série que j'ai adorée : Dragon Head ( mais que je ne conseillerais jamais aux élèves ) et Freak island.
Presse-puréeGrand sage
Fantômette a écrit:La formatrice présente nous a bassinés avec le même exemple repris 50 fois, je n'en pouvais plus:"la meute de chiens aboie". Si l'élève écrit "aboient", c'est bien car il a compris qu'une meute comporte plusieurs chiens.
Et on corrige ou on laisse l'élève dans l'erreur?
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- FantômetteHabitué du forum
Je ne sais plus si elle a parlé de correction à un quelconque moment !
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"La dictature s'épanouit sur le terreau de l'ignorance." G.Orwell
- Presse-puréeGrand sage
Fantômette a écrit:Je ne sais plus si elle a parlé de correction à un quelconque moment !
J'ai mon idée sur la question...
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
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