EAF Métropole, série générale

Un petit "coup de gueule" de zigmag, ça faisait longtemps ! 
En tant que p.p, je peux vous dire que je passe beaucoup de temps à corriger les appréciations des collègues et j'ai l'impression que je suis la seule à être dérangée par les fautes que je relève. Certains s'en fichent complètement.

Dorine a écrit:Un petit "coup de gueule" de zigmag, ça faisait longtemps ! 
En tant que p.p, je peux vous dire que je passe beaucoup de temps à corriger les appréciations des collègues et j'ai l'impression que je suis la seule à être dérangée par les fautes que je relève. Certains s'en fichent complètement.

Moi, PP également, je ne corrige pas les fautes, ce n'est pas mon rôle, les collègues n'ont qu'à se relire...

zigmag17 a écrit:mon point de vue est que l'orthographe et la syntaxe devraient être (au même titre que des opérations mathématiques ) la condition sine qua non pour obtenir un diplôme.

Il y a des opérations mathématiques que 99,999999999 % des enseignants de lettres sont incapables d'effectuer. On leur retire leur capes ou leur agrégation ?

ylm a écrit:

zigmag17 a écrit:mon point de vue est que l'orthographe et la syntaxe devraient être (au même titre que des opérations mathématiques ) la condition sine qua non pour obtenir un diplôme.

Il y a des opérations mathématiques que 99,999999999 % des enseignants de lettres sont incapables d'effectuer. On leur retire leur capes ou leur agrégation ?

Tant que ce ne sont pas des enseignants de maths il reste un peu d’espoir .

ylm a écrit:

zigmag17 a écrit:mon point de vue est que l'orthographe et la syntaxe devraient être (au même titre que des opérations mathématiques ) la condition sine qua non pour obtenir un diplôme.

Il y a des opérations mathématiques que 99,999999999 % des enseignants de lettres sont incapables d'effectuer. On leur retire leur capes ou leur agrégation ?

J'ai bien parlé d'un diplôme, pas d'un concours.
Mais je maintiens ceci: le français devrait être évalué à l'aune de l'importance qu'on lui accorde, aussi bien dans les examens que dans les concours. La différence avec les maths c'est que l'on pratique la langue française en permanence tandis que les maths non ( peut-être que je me trompe).
En tant que professeur de mathématiques tu n'es pas confronté à des difficultés chez certains tes élèves, qui ne comprennent pas un énoncé ou rédigent mal leurs réponses en raison d'un manque de maîtrise de la langue française ? Si oui cela ne t'interpelle pas?