Réforme du collège : Guerre du tweet

Audrey a écrit:Arf.. votre nom est long, ça bouffe des caractères sur les tweets...

Ah bon parce qu'en plus le nom va dans les messages ?
(Bon sang, j'ai l'impression d'avoir 80 berges et qu'on m'installe le téléphone. Et encore, je parie que mon arrière-grand-père était moins emmanché que moi) (oui, on fait des enfants très tard, dans ma famille).

pailleauquebec a écrit:On a un compte commun :

https://twitter.com/@RefDuCollegeFr

si certains veulent se joindre à nous pour twitter sur ce compte, ils sont les bienvenus.

Paille.

C'est bon, je vous suis (suis abonnée et retweeterai de mes comptes). A très vite pour plein de cuicuitweets

Audrey a écrit:Mais tu n'es pas obligée de donner ton vrai nom sur twitter!

Certes, mais là c'est trop tard, le compte existe déjà depuis un moment (inutile, d'ailleurs) et il n'est pas question que je m'ajoute encore un seul compte à retenir ! Je vais réfléchir à comment faire.

henriette a écrit:Bon sang mais c'est bien sûr : un EPI-tweet, voilà la solution !!!!

Je préférerais...






Une épi-net

Cripure a écrit:

henriette a écrit:Bon sang mais c'est bien sûr : un EPI-tweet, voilà la solution !!!!

Je préférerais...






Une épi-net

Oui cher ours.

J'ai un compte depuis peu, mais j'avoue que j'ai eu du mal à comprendre comment cela fonctionnait.

Je vous suis. :lol:

Bon en fait c'est très basique. On tweete, on lit des tweets et éventuellement on favorise ou on retweete ce qu'on juge intéressant. On peut aussi répondre à des tweets.

Attention à la conjugaison : je tweete sur Twitter. Pour tweeter il faut envoyer des tweets.

Twitter a une ergonomie lamentable. Il est presque impossible d'échanger de façon suivie, pas seulement à cause de la longueur des tweets, mais de leur affichage erratique, qui s'ajoute au caractère asymétrique de ce réseau (on n'est lu - éventuellement - que par ceux qui vous suivent) qui participe de l'illusion de communication.

Compte tenu du reportage, m'est avis que plus les comptes sont nombreux, mieux c'est.

Merci pour les précisions Luigi_B.
J'ai horreur de lire des tweets (merci au passage pour la leçon d'orthographe, j'aurai l'air moins bête !), personne ou presque ne me suit, donc je suppose que je peux abandonner avant même d'avoir commencé.
Ou alors je vais pratiquer le retweetage intensif, mais je ne trouve pas cela très sain.

Luigi_B a écrit:Compte tenu du reportage, m'est avis que plus les comptes sont nombreux, mieux c'est.

Je n'en suis pas sûr, car eux sont 8 pour gérer un seul compte.
Il vaut mieux avoir un compte qui vit, et pour cela être plusieurs sur le même compte donne du poids (volume de tweets plus important, réactivité, idées,...).
Je crois toujours que l'union fait la force.

Luigi_B a écrit:Bon en fait c'est très basique. On tweete, on lit des tweets et éventuellement on favorise ou on retweete ce qu'on juge intéressant. On peut aussi répondre à des tweets.

Attention à la conjugaison : je tweete sur Twitter. Pour tweeter il faut envoyer des tweets.

Twitter a une ergonomie lamentable. Il est presque impossible d'échanger de façon suivie, pas seulement à cause de la longueur des tweets, mais de leur affichage erratique, qui s'ajoute au caractère asymétrique de ce réseau (on n'est lu - éventuellement - que par ceux qui vous suivent) qui participe de l'illusion de communication.

Compte tenu du reportage, m'est avis que plus les comptes sont nombreux, mieux c'est.

Je suis d'accord avec Luigi : c'est la quantité de comptes qui prévaut, étant donné le fonctionnement de twitter.
Un compte unique ne serait valable que s'il était suivi par un grand nombre de personnes, susceptibles de le retweeter.
Il me semble qu'il vaut mieux multiplier les réactions personnelles afin de faire vivre les infos démontant cette réforme lamentable et mensongère, sur la durée (des retweets à toute heure) et pour montrer qu'elle est massivement rejetée.
En face, les soutiens à la réforme sont très actifs, et n'hésitent pas à recourir à une mauvaise foi et à l'insulte politique.

Pour ma part, je ne prends plus le temps de venir sur le forum depuis environ deux mois, je préfère réagir à toutes leurs conneries sur twitter.

HS:
pendant que vous bataillez sur twitter, par les ENT, en tout cas le nôtre, il apparaît que nos chers collègues sont déjà à fond dans la nouvelle mode: je suis inondée de messages sur les "projets"  pour la rentrée, vantés par des collègues zélé(e)s, au nom du fait que "la démarche interdisciplinaire est de plus en plus sollicitée et appréciée par nos élèves" et que l'"interdisciplinarité permet de dynamiser nos pratiques"...(sic).
Les enseignants sont des veaux, dirait mon Général.
:retard:

Des veaux idiots en plus.

Twitter est un média pourri qui est conçu pour quelque chose de très différent de ce pour quoi il est utilisé... S'il s'agit de rejoindre les copains dans un bac à sable et de s'envoyer des petites piques, pourquoi pas mais sinon, je ne comprends même pas qu'on s'y attarde.

the educator a écrit:Twitter est un média pourri qui est conçu pour quelque chose de très différent de ce pour quoi il est utilisé... S'il s'agit de rejoindre les copains dans un bac à sable et de s'envoyer des petites piques, pourquoi pas mais sinon, je ne comprends même pas qu'on s'y attarde.

D'accord pour dire que c'est pourri, mais si c'est ce réseau pourri qui est suivi par nos dirigeants, alors abaissons-nous à nous en servir. Nous n'avons pas choisi nos armes, mais il faut les utiliser au mieux.

pailleauquebec a écrit:

Luigi_B a écrit:Compte tenu du reportage, m'est avis que plus les comptes sont nombreux, mieux c'est.

Je n'en suis pas sûr, car eux sont 8 pour gérer un seul compte.
Il vaut mieux avoir un compte qui vit, et pour cela être plusieurs sur le même compte donne du poids (volume de tweets plus important, réactivité, idées,...).
Je crois toujours que l'union fait la force.

Sur Twitter, l'union se mesure par les échanges. 10 000 tweets qui ne sont ni lus et ni a fortiori retweetés par personne ne pèsent rien.

the educator a écrit:Twitter est un média pourri qui est conçu pour quelque chose de très différent de ce pour quoi il est utilisé... S'il s'agit de rejoindre les copains dans un bac à sable et de s'envoyer des petites piques, pourquoi pas mais sinon, je ne comprends même pas qu'on s'y attarde.

Twitter permet d'échanger avec des gens qui ne répondent pas par d'autres canaux (députés, journalistes, président du CSP ...). Pour ça c'est très bien, même si les échanges sont limités à 140 caractères.

La révolte dans le tweet, ça va plaire à Mutine.

:diable:

Blague à part, c'est pas parce la cellule de l’Élysée est assez bas du casque pour penser lire l'opinion des Français dans Bidule qu'il faut écrire dans Bidule.

***

Objectif Moins de 10 % pour le PS aux régionales.

Pour peser sur Twitter, il faut investir du temps, discuter, retweeter, faire l'actu avec des formules, un vrai travail d'éditorialiste.
Sinon, personne ne vous suit.
Si vous êtes plusieurs à discuter et à vous incruster dans les conversations, ça fera boule de neige.
Cela n'empêche pas d'avoir un compte référent autour duquel graviter.

Aux pros du tweet :
Est-ce qu'il faut "suivre" des comptes pour que ceux-ci vous suivent en retour ?

doctor who a écrit:Pour peser sur Twitter, il faut investir du temps, discuter, retweeter, faire l'actu avec des formules, un vrai travail d'éditorialiste.
Sinon, personne ne vous suit.
Si vous êtes plusieurs à discuter et à vous incruster dans les conversations, ça fera boule de neige.
Cela n'empêche pas d'avoir un compte référent autour duquel graviter.

Très important : les 'hachetagues' : dès que vous évoquez la réforme du collège, placez dans votre tweet #college2016 ainsi tout est catalogué dans cette rubrique.

Nan mais franchement, qui vous prend au sérieux quand vous écrivez 140 caractères? Les mêmes armes que les dirigeants, mais au secours, le duel de tapettes à mouches... Twitter, c'est un truc de cours de récré, c'est sti qui dit qui y'est, et de journaliste, qui vendent des titres et point barre. ça doit rester un moyen d'échanges de "brèves", mais franchement, animer un débat de fond à coup de tweets, c'est entériner la bêtise à l'oeuvre dans le pouvoir et les médias.

the educator a écrit:Nan mais franchement, qui vous prend au sérieux quand vous écrivez 140 caractères? Les mêmes armes que les dirigeants, mais au secours, le duel de tapettes à mouches... Twitter, c'est un truc de cours de récré, c'est sti qui dit qui y'est, et de journaliste, qui vendent des titres et point barre. ça doit rester un moyen d'échanges de "brèves", mais franchement, animer un débat de fond à coup de tweets, c'est entériner la bêtise à l'oeuvre dans le pouvoir et les médias.

Une information non communiquée n'existe pas, et c'est exactement la même chose pour les opinions.

Si la réforme est discutée sur Twitter,  c'est  aussi sur Twitter qu'il faut être, car il ne faut surtout pas que les pro  réforme mobilisent cet espace pour faire croire à l'opinion publique que les enseignants sont majoritairement favorables à cette réforme.

Puis bon, Twitter n'est ni meilleur ni pire qu'autre chose : il est ce qu'on en fait !

Audrey a écrit:Un conseil: indiquez votre compte twitter sur votre profil néo, come Olympias et moi... ;-)

Comment fait-on ? J'ai essayé d'enregistrer mon pseudo twitter, le lien vers mon profil, mais ce n'est pas ce qu'il faut faire.
Merci pour ta réponse.

Au moins twitter oblige à être synthétique.
Et on peut placer des liens dans les messages pour détailler.

Les médias et les politiques y sont, donc il faut y aller. Connaître la vérité tout seul dans son coin ne sert pas à grand chose.

Bon, je ne comprends toujours pas bien le fonctionnement (pas encore de compte...)
Si je tweete avec #college2016, mon tweet apparaît dans le fil qui répertorie tous les #college 2016, c'est bien ça ?
Si je l'adresse @jenesaisqui, il apparaît forcément sur la page de jenesaisqui ou c'est plus compliqué ?

Si un tweet me hérisse, je réponds, ma réponse apparaît dans le fil de la personne ? Forcément, pas de blocage possible ?
La réponse apparaît-elle aussi dans la liste de mes tweets sur mon compte ?

Si je retweete, je diffuse. Est-ce que je retweete des propos qui sont très critiquables pour ajouter une réaction et en susciter d'autres ?

Un mode d'emploi de A à Z, ça se trouve ?
Pour le moment, je lis, mais c'est tout. Et j'ai encore l'impression que c'est une arène qui donne l'illusion d'un dialogue.

pailleauquebec a écrit:Au moins twitter oblige à être synthétique.
Et on peut placer des liens dans les messages pour détailler.

Les médias et les politiques y sont, donc il faut y aller. Connaître la vérité tout seul dans son coin ne sert pas à grand chose.